Dans une salle de classe...

hj: clicke sur ETAP de ma signature.

Enki écoutait attentivement Ai-Line, il s'accouda à la table et réfléchissait pendant qu'elle parlait, souriant a son imitation. Il comprenait très bien l'agacement que ca pouvait etre d'être suivit, surveillé. Mais l'inquiétude que montrait ce vieil homme était paternel et enviable.



pense: pourquoi elle se plaind? Il y a des tas d'enfants et de gens dans cette école qui ont grandit seule ou sans amour, sans entourage ni sans parent. Elle a au moins une personne qui se fait du sourcis.


Il remarqua, qu'elle n'énonçait jamais sa mère. Pour ne pas faire de bourde il ne dit rien a ce sujet-là, de puis le retour de celui-dont-il-ne-faut-pas-prononcer-le-nom plusieurs parents d'élèves avaient trouvé la mort. Il ne voulait pas remurer le couteau dans une plaie béante si tel était le cas.


Enki suivit la jeune fille du regard. Elle était allée chercher une bougie qu'elle venait d'allumer. Son visage éclairé de la sorte, elle lui fit penser à un tableau qu'il aimait beaucoup. Elle posa la chandelle sur la table, pour lui signe que la discussion n'était pas prête d'être terminée. Il lui sourit et répondit comme son coeur lui disait en ne parlant pas trop fort, laissant son regard sur la chandelle qui valsait et entrainait avec elle les ombres de la pièce.



Ai-Line, je comprends bien ce que tu dois ressentir et je vais te sembler, "ringard" comme disent certaines ou lâche, si tu veux le traduire dans ton jargon fleuri. Moi, j'ai rien à faire dans ton histoire. Le mieux que je puisse faire c'est te faire oublier sa présence quand t'es avec moi si des fois, un jour, pour n'importe quoi, devoirs, infos, discussion, bureau des plaintes... tu veux parler. Je suis là, si tu veux, et même si je ne te connais que depuis ce soir, je suis prêt à me plier en quatre pour que tu vives pas mal un truc pareil.
Mais je vais jamais mentir pour toi. Je vais jamais mentir à cet homme que je ne connais pas, je ne tromperais jamais personne en connaissance de cause... ca tu peux en être certaine. Je déconseille de chercher quelqu'un d'autre pour le faire, tu ne vas te rapporter que plus d'ennuis, je sais pas quel âge t'as mais encore une phrase de vieux ringard: il faut que tu grandisses et que comprennes qu'il y a pire dans la vie que d'être choyée par un majordhomme ou l'attention des gens qui t'entourent. Si tu refuses cette attention, je peux rien pour toi.


Il la regarda a la lueur de la bougie espérant qu'elle ne le prendrait pas mal. Il parlait comme il le sentait, avec calme et lucidité oubliant des fois qu'il s'adressait à une quasi inconnue.

Elle met ses jambes en tailleurs sur la table et pose ses mains sur ses genoux et regarde Enki, l'écoutant avec une certaine intention. Il avait l'air du peu qu'elle le connaisse d'un préfet respectueux et à l'écoute, mais déjà en lui parlant de l'histoire d'Oscar c'était déjà de trop pour elle et ne parlera pas un mot de plus sur elle. Les histoires à Poudlard circule très vite et elle ne voulait se trouver avec des boulets à côté d'elle qui voudrait savoir comment elle a eu ce majordome ou si elle vraiment une fille de riche. Elle ne voulait pas qu'on pense d'elle d'une petite fille gâtée et qu'on la respecte parce qu'on a de l'argent mais pour ce qu'elle a dans la tête. Elle préférait être reconnu autrement que par son porte monnaie.


* Il est partit pour me prendre pour une bourge qui se plaint là ? *


- Ce n'est pas l'attention d'Oscar qui me gène le plus même si il en fait un peu trop... Mais les bruits qui courent derrière, les rumeurs... Ce n'est pas tous les jours qu'un élève ramène son majordome à l'école.


Elle tourne la tête vers la porte et soupire un moment. Sa solitude est dû par un manque de confiance aux personnes, elle préférait rester loin de tout ce monde et discutait de ça avec un préfet de Poufsouffle la gênait encore plus. Et si il venait à raconter ça à d'autres personnes ? En tout cas pour ce soir elle en avait finit de parler d'elle et préféra changer de sujet.


- Qu'est ce qu'elle te fait pour te faire fuir comme ça, la fille dont tu as fermé la porte au nez ? C'est une amie d'enfance ?


Peut être qu'elle lui a déjà posé la question mais la réponse ne lui a paru pas très convaincante et puis cela l'éviter de parler d'elle. Posait t'elle un problème pour son statue de préfet ? Etre "folle" ne suffie pas pour fuir la personne, sauf si celle ci a fait quelques choses de gênant. Ai-Line ne préféra pas imaginer la scène.

[hj : OK merci ^^'... Mais bon je sais pas si je dois m'inscrire : la longueur de fait pas forcement la qualité T_T]

Enki sourit sans juger. Effectivement, ce n'était pas commun ça de ramener son majordome à l'école mais si l'école avait accepté c'est que ca devait être nécéssaire.


Il évita soigneusement ce qu'il pensait des ragots et des rumeurs. Ces choses là n'atteignent que ceux qui manquent de confiance en eux. Ca ne servait à rien de se barricader, si les imbéciles voulaient nuire à une réputation, il le ferait. Ce qui comptait c'était de ne pas s'en préoccuper. Quand on a rien a se reprocher, on ne précède pas le malheur qui pourrait arriver et il ne sert a rien de déranger sa bonne conscience.


Elle aborba a nouveau le sujet de Dwi. Enki donna une réponse timide pour ne pas trop s'étaler.


Sandwi est une...


Qu'est-ce que Sandwi pouvait bien être pour lui ? Une amie ? Oui sans doute.


C'est une amie.

Elle s'attendait à une réponse plus développée que "une amie". Peut être était ce une tradition que les filles courent derrière les garçons en Angleterre ? Peut être... Elle avait déjà vu des amis de la famille s'insultaient de "Face de Gnome", " Vieille Chouette déplumée" ou même "Tu es aussi aimable qu'un Doxy. Après ça, ils s'embrassaient et se reprenaient de l'Hydromel aux épices. Elle se pince la main gauche pour oublier ce petit retour dans le temps qui la faisait frissonnée rien qu'à revoir leurs visages dans son esprit. Elle essaya de se concentrer sur un autre sujet qui lui serait dans son intérêt.


- Il y a toujours des tentaculas vénéneuse dans les serres ?


Si celui ci venait à lui demandait l'objet de cette question, elle tenterait encore une autre fois d'en poser une autre pour éviter de parler de ces petits projets. Surtout à un préfet... Elle conserve son visage totalement neutre pour éviter tous soupçons. Si il devait rester avec elle la nuit autant qu'il lui soit utile. Les questions sur les choses qui se passe à Poudlard : Les Bals, les sorties à Prés au Lard ou même des questions sur le prochain devoir d'un professeur pour pomper, n'était pas trop son truc. Mais si celui ci venait à lui en parler, elle ne ferait que écouter.

Elle avait lâché l'affaire assez vite, ce n'était pas plus mal. Il ne savait qu'en penser et en parler avec une inconnue lui semblait bizarre. Elle lui posa alors la question sur les tentacules vénéneuses. Il réfléchit et se dit qu'il était incapable de lui répondre. Sans doute voulait-elle préparer une potion à base de cette plante. Il n'en connaissait pas les propiétés.



Je n'en sais rien du tout, tu devrais demander au professeur Chourave demain. Il y a plusieurs serres tu risquerais de passer beaucoup d temps à chercher si quelqu'un ne t'oriente pas... moi j'en suis parfaitement incapable. Je suis plutôt bon en botanique mais je ne connais pas toutes les plantes par coeur... Je peux te poser une question indiscrète Ai-Line, demanda t-il subitement en se redressant vers elle, et en la regardant dans les yeux avec curiosité.

Elle ne s'attendait que celui ci lui dise d'aller voir le professeur Chourave à propos de la Tentacula vénéneuse. Elle passa sa main derrière sa nuque signe d'être légèrement ennuyée de la réponse qu'il lui a fournis. Ai-Line ne redemandera pas à quelqu'un d'autre, question de discrétion. Elle voudrait épargner tous les soupçons sur ce qu'elle prépare. La tentacula vénéneuse était une plante carnivore géante à la morsure mortel : elle voudrait en retirer le poison puissant de cette plante et la conserver pour plus tard...


- Non c'est bon, je me débrouillerais toute seul... Il doit bien exister un plan du château à la bibliothèque...


Celui ci se maintient devant et le regarde bizarrement comme si il cherchait à lire au fond de ses yeux comme un livre ouvert. Elle continuait à maintenir son regard en essayant de rester la plus calme possible. Un préfet avait toujours tendance à se méfier de tout et de rien.

*... Je ne veux pas d'un deuxième pot de colle ... *

- va y, pose toujours...

Enki inspira et demanda:



Tu es en quelle année et dans quelle maison ? Si j'ai bien compris, tu viens d'arriver, tu es nouvelle, mais pourquoi autant de répugnance à aller dans ta chambre commune, il faudra bien que tu y ailles à un moment tu ne penses pas?

Il n'avait jamais rencontré encore une personne qui n'avait pas envie d'aller dans sa salle commune. Lui-même n'y était presque jamais sauf pour s'occuper des tableaux d'affichage avec Shanty. De plus, c'était un vrai poulailler. Il était l'un des rare garçon de poufsouffle et les filles avaient envahies la salle commune. On n'y était pas tranquille, il destestait rester au milieu de tout ça. Pour tarvailler, il préférait le dortoir, ou la bibliothèque... quand Dwi ne lui faisait pas vivre des aventures folles.


pense nostalgique et soudain coupable: la plus belle aventure depuis poudlard, après Shant..... mince, je n'écoute plus Ai-Line.


Il se redressa et sourit mécaniquement à Ai-Line, sortant de ses pensées qui allaient dans tous les sens.

Il lui avait posé la question gentiment et elle avait accepté par curiosité. Elle hésité de lui répondre " Pourquoi tu es du Ministère de la Magie ?" mais finit par lui répondre aimablement.


- Je suis à Serdaigle en 6° années, et je ne supporte simple pas être enfermé comme une bête et me faire marquer comme du bétail... Je préfère rester loin de tout ce petit monde. Et puis, je viendrais de temps en temps à la salle commune te fait pas de bile...

Elle se lève pour marcher un peu le long de la salle pour se dégourdir les jambes, elle ne faisait pas plus attention à Enki qu'un géranium...

- Je te retourne la question...

Elle ouvre un tiroir du bureau et trouve un petit encrier à l'encre rose fluo. Surment quelques choses qui a été confié à une fille : les garçons n'utilisent sûrement pas de l'encre rose bonbon... Elle se rassoit sur le bureau et fait tourner entre ses doigts, l'encrier.

Enki regarde Ai-Line fouiller dans un bureau et en sortir un encrier d'encre rose. Il s'étonne de voir que quelqu'un utilise ce type de matériel à Poudlard.


pense: une fille, obligé.


Il se lève et se dirige vers Ai-Line pour regarder de plus prêt l'encre et la plume qu'elle a trouvé. Il encaisse parallèlement la question qu'elle lui retourne, et en trempant l'encre dans l'encrier il lui répond tout en écrivant sur une table.



Moi je suis pas dans la salle commune car il n'y a que des filles et je me sens un peu esseulé. N'aie pas pitié, ajouta t-il en riant et en écrivant distraitement sur la table, y'a plusieurs garçons qui rêvraient d'être a ma place donc je vais pas me plaindre, mais question concentration c'est pas ça.


Il relève le nez de ce qu'il vient de graffer en gros et en rose sur la table: "Dwi est un homme"
Très satisfait du dessin, il termine à l'attention de Ai-Line tout en espérant que le lendemain il y aura un double cours de "quelque chose avec beaucoup de monde".


Sinon pour répondre à ta question, Sandwi n'est pas ma copine pour la simple raison que Sandwi est un homme et que je préfère les filles.

[Il y a des moments ou je n'ai pas très bien compris ce que tu voulais dire ^^']

Elle le laisse faire dans son oeuvre sur une table de la classe et attend que celui ci termine. Elle pose l'encrier sur la table et se tourne vers la table en essayant de la cadrer de loin.

* Dwi est un homme ? *

Pour le peu qu'elle a pu voir, elle a remarqué des cheveux long et une silhouette assez fine. Elle n'aurait jamais pensé que ce "DWI" est un homme. Peut être qu'elle commence à fatiguer ? Ou avec l'âge on a des hallucinations.

- Si tu le dis je te crois... Mais Sandwi n'est pas très... Masculin...

Elle retourne vers la fenêtre en prenant l'encrier au passage et ouvre les volets. Elle regarde une dernière fois l'encrier dans sa main et le jette de toute ses forces par la fenêtre. Elle avait horreur du rose et elle aimait encore moins le violet...

- je me demande comment les professeurs arrivent à lire avec cette couleur d'écriture ...

Pense: la poubelle aurait suffit...


Enki sourit en voyant le geste impulsif d'Ai-Line. Il préféra ne pas s'interposer entre l'encrier et la jeune fille au cas où il y aurait eu un retour de sort pour lui avoir fait la morale. Elle avait l'air d'avoir un sacré caractère.

Evidemment que Sandwi n'était pas un homme, il écrivait ça pour lui donner une bonne leçon mais Ai-Line semblait le prendre au premier degré.


Non, Ai-Line, Dwi est une fille mais elle a... un caractère de garçon manqué.


pense: sauf quand elle danse sous la pluie...

Soulagé de la réponse de Enki, elle est certaine maintenant qu'elle n'a pas d'hallucination. Elle referme d'un geste vif la fenêtre, et retourne s'asseoir comme si de rien n'était. L'encrier était peut être en train se la coulé douce dans le gazon fraie du soir ou bien il s'est brisé sur le crâne de Rusard qui prenait un pause à ce moment là. Elle retourne sa robe comme si elle voulait la faire voler, une fraction de seconde et la pose sur le dossier de la chaise du grand bureau. Elle s'y installe à son tour et prend une mine sérieuse en regardant un vieux cahier oublié avec le temps et servant de décors à la salle appauvrie de plante verte.

- les garçons manqués ne sont pas comme ça. Par contre si tu dis hystérique ou folle. La je comprendrait mieux pourquoi tu l'as fuit ! Peut être qu'à la bibliothèque il y a des renseignements sur un A S I L E.

Elle affiche un petit sourire ironique et feuillette le cahier. Il y avait diverse notes à l'intérieur : Tommy retard -2 points ; Julie mauvais comportement -10 point....
Cela ressemblait bizarrement à un cahier de retenue, elle préféra conserver son esprit saint de tous ces ragots.

*Sandwi qui cherchait toujours un moyen de rentrer dans cette maudite salle, elle avait ,pour une fois, quelques choses d'important à dire à Enki (enfin presque important). Et avait eu l'idée tordue de faire une entrée fracassante par une fenêtre, de toute façon elle la réparerait avant même que les débris ne touchent le sol.*

*Alors elle était là, dans le parc en pleine nuit, à cheval sur son balai, et vit un truc tomber d'une fenêtre. Elle s'approcha. Et évita un truc rose fluo.
pense:ça existe des trucs comme ça à Poudlard?!!?!!!! ?!!*

*Elle fila le long de la paroi et ralentit à proximité des fenêtres, où elle jeta un oeil à l'intèrieur. C'était Ai Line qui venait de jeter l'encrier par la fenêtre.
pense: c'te cinglée, j'aurai pu me le prendre.*

*Elle fit un détour pour prendre de l'élan et entra par une autre fenêtre (qu'elle fracassa biensûr)*

-REPARO

*Puis se posa sur les tables, avec toutes la grace d'une plume. D'un saut puribond, elle descendit de ce podium et lança d'un ton froid et sombre (à la Rogue):*

-Enki, il faut que je te parle!

*Puis, elle reconnu de suite Ai Line, qu'elle avait déjà croisé dans sa propre salle commune.*

-Ai Line! qu'est ce que tu fais là? En tant que préfète je me dois de te rappeler le règlement, que Enki a déjà dû savament t'énumérer*regard suspect à Enki* il faut que tu ailles dans la salle commune, dans ton dortoir même, tu veux peut-être que je t'accompagne, tu t'es perdu, t'as oublié ton mot de passe?

Enki s'apprêtait à répondre à Ai-Line. Cela l'insupportait d'entendre dire du mal de Sandwi pour la simple raison qu'aussi collante soit-elle, elle n'en restait pas moins son amie et il lui vouait un grand respect. Il avait besoin d'air mais pas de son absence.



Non! Sandwi n'est pas une folle ou une hystériq...


Il ne finit jamais sa phrase car la jeune personne en question venait de fracasser la fenêtre pour entrer chevauchant fièrement son balai. Evidemment. Il se frappa le front.


pense: non mais elle est tarée !


Il se précipita vers elle plus inquiet par de possible blessures à cause du verre que par l'infraction énorme qu'elle venait de commettre. Elle semblait aller très bien. Il remettrait à plus tard l'inquiétude.
Elle s'adressa à Ai-Line, lui demandant de rejoindre sa salle commune. D'après le peu qu'Enki savait au sujet d'Ai-Line, c'était qu'aller dans sa salle commune était la dernière chose qu'elle voulait pour l'instant. Il ne dit rien car il restait stupéfait par ce que Dwi faisait.


Il se laissa tomber sur sa chaise halluciné et bredouilla:


Qu'est-ce que tu fais? T'aurais pu te blesser!

Alors qu'elle refermait le livre, une fille passa à travers la fenêtre ^^'... Avant même d'avoir touché le sol, t les morceaux de verre font un retour en arrière rapidement pour redevenir une fenêtre normale. La même silhouette qu'elle a vue toute à l'heure, c'était la fille qui avait ouvert la porte... Celle ci s'adressa d'abord à Enki d'une voix sérieusement. Puis elle se tourne vers Ai-Line, la bombardant de question...

- C'est une tradition chez les préfets de passer par les fenêtres ?

Elle était étonné de la voir intacte après cette cascade à la Hollywood : Une grande ville du cinéma moldu... Elle s'approche d'elle et s'incline devant elle poliment comme si de rien ne s'était passer.

* Un petit mensonge cela ne peut pas faire de mal...*

- Hm... Bonsoir... je sais où est ma salle commune et je sais le mot de passe. J'ai quelques petites choses à faire avant d'y retourner.

* Dans quelques jours...*

Ai Line avait le don de mentir aussi bien que le plus grand des escros, mais Enki se douterait sûrement qu'elle ne disait pas la vérité puisqu'elle lui a dit le contraire il y a 20 minutes. Elle croise les bras regardant tour à tour, Enki et Sandwi et reste un peu à l'écart de leur conversation. Elle n'était pas très fan des relations à l'eau de rose.

[hj : La derniére phrase c'est ce que Ai-Line pense et pas ce qu'elle voit, c'est ses sentiments lol, ses impressions... Je suis tordu je sais... Il faut attention à mes mots aussi ]

Enki éclata de rire: ces deux filles étaient hallucinantes. Il alla se placer entre les deux. En jetant un regard de côté à Ai-Liine pour lui faire comprendre que son mensonge n'était pas très digne, il calma son éclat de rire avec quand même des difficultés. Il regarda ensuite Dwi.



T'es grave mais je marche, lui lança t il concernant ce qu'il venait d'entendre. Il ne détailla pas pour ne pas la trahir auprès d'Ai-Line.


Il attendit et demanda


C'est une situation pas commune. En tant que préfet j'aurais du lui dire mais Dwi passer par la fenêtre pour venir faire la loi c'est pas forcément une bonne façon de faire... qu'est-ce que tu veux me dire ? Pour la porte? Elle s'est fermée toute seule.


Comme ça tout le monde était à mensonge égal.
Il ne voulais ni trahir l'une ni trahir l'autre et en plus l'arrivée de Sandwi lui permettrait de soulager sa conscience de l'avoir lâchement enfermé... dehors

Sandwi jeta un regard noir et suspect à Enki qui rigolait, ce gars était bizare.

-Enki, tu crains!
Tu t'es occupé de ce hummmhum.
Je suis sûre que non!


Puis elle repris ce dont elle était en train de parler avec sa camarade de maison.

- Ai Line, t'es folle. Si un prof te tombe dessus à cette heure-ci, tu risques de nous faire perdre des points!, elle avait dit ces derniers mots entre les dents pour ne pas être entendu par le préfet des Poufsouffles.

Elle s'avança la tête haute vers la porte, timidement suivie de Ai Line

Ai-Line salut avec un petit sourire, elle n'avait pas l'intention de jouer au petit chien qui suit sa maîtresse. Elle avait une réelle envie de dire ce qu'elle pensait de cette coupe des 4 maisons.

- Les points ne sont qu'une manière de tenir tranquille des pertubateurs... Une Barrière invisible qui sépare le bien et le mal. L'esprit de compétition réussis à maintenant à peu prés l'ordre à Poudlard. Pour mon cas ça me fait ni chaud ni froid d'en perdre ou d'en gagner. Je trouve ça vraiment ridicule...

Elle contourna Sandwi et la salut elle et Enki, elle avait décider de ne pas rejoindre sa salle commune ce soir et ce n'est pas un préfet qui aller lui faire changer d'avis.

- Maintenant si vous voulez bien m'excuser je dois aller régler quelques petites choses à la bibliothèque et je reviendrais à la salle commune plus vite que possible...

Elle marche a reculons toujours la tête aussi basse, elle se retourne face à la porte et tend sa baguette face à elle.

! Evanesco !

La porte disparut dans un éclair aveuglant, elle passe l'encadrement de la porte et regarde autour d'elle. Elle n'avais pas très envies de réfléchir dans la façon d'ouvrir la porte, elle décida alors de faire le premier sort qui lui venait à la tête : Le sortilège de disparition.

* Ils vont me poursuivre pour disparition de porte... *

- Enchanté de vous avoir rencontrer...

Elle tourne les talons et disparaît à son tour dans le couloir sombre central. On pouvait entendre encore ses pas s'atténué petit à petit qu'elle avance.

Ebahit par le geste de sa camarade, Sandwi ouvrit de grands yeux hallucinés.

pense: ce troll va finir par nous faire perdre 50 points, il ne manquerait plus qu'un prof passe par là!!

-J'hallucine...

Elle regarda Enki d'un air lui demandant "Qu'est ce qu'on fait?".

Elle ne savait pas s'il fallait tenter de faire réapparaître la porte, tenter de rattraper cette Ai Line, ou si son camarade allait finir u non par appliquer ses pouvoirs de préfets sur tout le monde.
A cette dernière idée, elle qui venait de passer par la fenêtre, bienqu'elle n'ait fait aucun dégat se sentit d'un coup très mal .

Elle se demandait à cette seconde:
-Qu'est ce que je fais là?

L'une des filles était sortie en faisant disparaitre la porte
L'autre était entrée en passant par la fenêtre
Enki se demandait comment il pourrait rivaliser avec ces deux façons de faire. Il était content que Sandwi soit venu en fait et dès qu'Ai-Line franchit le pas de la porte, il alla vers elle non chalament. Mais il marcha sur sa robe de sorcier qui était tombée par terre entre temps et se prit les pieds dedans, heurta une table et étouffa un cri qui contenait toute la douleur d'un coin de table là où il ne faut pas.



pense: je déteste les filles


Quand la douleur passa, il dit à Sandwi:


Si tu ris, je te fais repasser par la fenêtre, ca fait hyper mal.