Les sortilèges de Défense et de Désarmement: 1e/4ème année

La réposne de Destiny était complète même si elle comportait quelques erreurs ou idées fausses. Il hocha la tête pour ponctuer son explication et attendit ensuite qu'Icare qui venait de prendre la parole, donne son opinion et sa propre liste des sortilèges qu'il considérait comme étant défensifs.

Enym s'étonna que personne d'autre ne tentât sa chance, c'était bien dommage car le gain de points pour ce type de questions était facile. Il attendit un long moment mais aucun autre élève ne désira prendre la parole.

- Très bien, bien que vos réponses soient imparfaites, je vous octroie 10 points chaCun. Maintenant nous allons débrousailler. Je comprends bien vos opinions et la raison pour laquelle vous pensez que certains de ces sortilèges peuvent être considérés comme étant défensifs mais malheureusement plusieurs de ceux que vous venez de me citer sont des maléfices et non pas des sortilèges. Un maléfice ne sera jamais défensif mais offensif. Première règle.... Et, Icare, "Destructum" sert à dissiper un Prior Incantatem. Vous avez dû le confondre avec un autre sortilège.

Leur professeur passe près d'une fenêtre et regarde brièement l'étendue verte à l'extérieur tout en continuant de parler:

- Les sortilèges d'Attraction et de Répulsion, de Désarmement et d'Entrave sont dans ceux que vous m'avez cité les plus proches de ce que j'appellerai des sortilèges de défense ou de désarmement. Je valide aussi l'Incarcerem ou l'immobilis. Pour le sortilège de Pétrifiction... je reste mitigé. Seul un expert e magie noire serait capable de réussir parfaitement ce type de sortilège. Un Stupéfix aussi mais il est vrai qu'on peut le considérer comme un sortilège défensif. Il évite d'attaquer frontalement. Les autres sortilèges que vous m'avez cité sont offensifs et visent pour la plupart à intimider, changer la forme, l'apparence de votre adversaire... à partir du moment où vous modifiez d'une façon ou d'une autre la stature de votre opposant de façon violente, on peut imaginer que vous ne vous défendez pas, sourit Enym en imaginant Destiny lancer un Lashlabask "défensif". Là où je comprends ce que vous me proposez c'est que vous imaginez que si le but est de se défendre, quelque soit le sortilège s'il ne paraît trop violent, c'est un sortilège défensif. Et bien, non malheureusement. C'est plus compliqué que cela... nous allons voir ça.

- Maintenant, vous avez oublié le sortilège du Bouclier "Protego" et le Patronus "Spero Patronum. On peut ajouter le sortilège Anticatimini qui protège un lieu d'une incursion quelconque. Vous savez tous ce qu'est un Patronus?

Thanaelle, un peu honteuse regarda le professeur au moment ou il supposa que tous savaient ce qu'était un patronus.

"Tout le monde le sait sauf moi... Faut peut-etre que j'dise que je sais pas c'que c'est, ou bien attendre ca va me revenir sinon je fonce à la bibliotheque apres les cours..."

Prise au dépourvu, elle ne savait plus quoi faire : parler et ridiculiser Serdaigle ainsi qu'elle-même, se taire et risquer de ne rien comprendre au cours.

Puis, on entendit un murmure dans la classe ; des sons à peines audibles, prononcés par Thanaelle, qui apres mure reflexion s'était décidée.

" - M'sieur, je crois que je ne sais pas ce qu'est un patronus..."

Et elle baissa la tête pensant probablement qu'on ne la remarquerait pas.

Sakura avait écouté avec attention, la réponse du Professeur. Il nous expliqua qu'il y avait une différence entre les sortilèges et les maléfices et que donc ils ne faisaient pas parti de cette categorie.
Sakura marqua donc sur son bout de parchemin, les différents sortilèges de Défense évoquer par le Professeur Merwick :
- Sortilèges d'attraction et de Répulsion
- de Désarmement et D'entrave
- L'incarcerem et L'immobilis
- Stupefix, sortilège de Pétrifiction
- Patronus (Spero Patronum) et celui du bouclier (Protego)

Voila le récapitulatif étant fait, Le Professeur leur demanda s'ils savaient tous ce qu'était un patronus. Sakura le savait mais surement que les premières années non. Justement, une élève de sa maison, assez timide marmona quelque chose comme quoi , non elle ne savait pas.
C'était plutot courageux de sa part apparemment.. Bien sur vallait mieux poser la question que de rester dans l'ignorance.

*Poesy écouta attentivement ce que Merwik disait, elle prenait notes sur le parchemin qu’elle avait posé sur sa table au début du cours, lorsqu’il demanda si tout le monde savait ce qu’était un patronus, elle leva les yeux et lança un regard circulaire dans la salle, elle entendit alors Thanaelle confesser au professeur qu’elle n’en connaissait rien, Poesy assise près d’elle leva timidement la main et demanda :

-Enym, je peux lui expliquer ?...

Une fois qu’elle obtint son autorisation, elle lui expliqua :

-Le patronus est un bouclier fantomatique sous la forme de créatures qui protège contre les détraqueurs…Euh…Il représente une force positive dont le détraqueur ne peut se nourrir puisqu’il ne ressent pas le désespoir…Chaque patronus est unique, et change de forme selon le sorcier qui le fait apparaître…Il faut que la personne pense à un souvenir qui le rende particulièrement heureux en prononçant l’incantation « spero patronum »…

Elle se tu, elle n’avait plous rien à ajouter. Cependant, le silence s’était fait dans la salle, et elle sentait tous les regard la fixer, elle rougit et baissa la tête après avoir sourit à Thanaelle.*

Thanaelle écouta avec plaisir la réponse de Poesy. Enfin, elle savait ce qu'était un patronus, elle pourrait suivre le cours tranquillement. Néanmoins, qu'une élève lui réponde renforcait son impression de ne rien connaitre et ca l'ennuyait énormement. Il faudra qu'elle aille à la bibliothèque étudier.

" - Merci Poesy" dit-elle à l'intention de la jeune fille. Puis elle nota dans un coin de son parchemin.

Citation :: Patronus : bouclier fantomatique qui protège des détra~~cteurs~~queurs.
Note : aller étudier plus en détail à la bibliothèque apres les cours, sauf si on en parle assez en cours.

Puis, elle se redressa un peu afin d'observer la classe, attendant la suite du cours.

* « Mince … Je me suis fait avoir sur ce coup là… » Pensa-t-Icare, passant la main dans ses cheveux. Il regardait tranquillement le plafond, repensant à l’erreur qu’il avait faite.

Imure : « … et en beauté. »

« ça va, n’en rajoute pas, toi… pour ton information, t’as rien dit pendant que je me ridiculisais en publique ! Faut croire que t’étais bien d’accords avec ce que j’ai dit. » Icare posa sa plume, il avait estropié la moitié de son parchemin en grattant inutilement dessus. « Hm… bon, je vais tenter autre chose… » *

- Professeur Enym. Ne dit-on pas que la meilleure défense, c’est l’attaque ? Un individu qui se défends, en combat, est un individu qui n’a pas tout à fait compris l’essence d’un combat, à mon goût ! La défense ne donne pas la victoire en soi, Défendre c’est s’inscrire dans des déterminismes d’inaction, des déterminismes qui nous empêchent de prendre des initiatives ! Se défendre, c’est se considérer dominé par l’adversaire, c’est répondre à ce que lui fait. En sommes, la défense est dépendante de l’attaque adverse ! Comment pouvons-nous nous reposer sur une attitude de dépendance pendant un combat ? c’est tout simplement admettre sa défaite !

Dans un combat, le plus important est de prendre la domination, d’agir afin que l’ennemie réagisse, d’être la causalité, l’élément perturbateur. C’est le seul moyen d’emprisonner l’adversaire dans un étau de possibilité qui peu à peu s’amenuise jusqu’à qu’une seul issue au combat subsiste : Notre victoire. Une défense est facilement prévisible lorsqu’on prépare nous même l’attaque, et notre attaque ne sert qu’à créer la prochaine situation que nous même avions défini, afin de réduire les possibilités de l’ennemi. En fin de compte, c’est un combat d’anticipation et de liberté. L’homme le plus libre dirige le combat, l’homme soumis est encadré dans ses déterminismes dont il ne peut se libérer. L’homme qui anticipe le carcan adéquate à l’ennemi le premier, gagne le combat.

La défense est le moyen de se battre du soumis. Professeur, souhaitez-vous entraîner des gagnants ? ou des hommes prédestinés à perdre … Pourquoi nous apprendre la défense alors que nous avons l’intelligence capable de créer une attaque qui se suffit à elle même ? Qu’elle besoin avons-nous de la défense si nous ne faisons qu’attaquer et l’ennemie que se protéger ? Nous devrions plutôt travailler notre état psychologique et nos tactiques de combats afin de dominer les combats, et non résister inutilement à nos ennemis. Si nos ennemis sont trop forts pour nous, la défense ne nous servirait de toute façon à rien car en fin du compte, nous finirons dans la même situation. Il ne faut pas longtemps pour un attaquant aguerrie de définir une façon d’attaquer qui rende la défense… inutile.

Que notre défense soit bonne ou pas, si nous ne pouvons pas attaquer efficacement, nous finirons étendues, morts au sol. Ainsi, professeur Enym, ne pouvons nous pas plutôt nous occuper des maléfices offensifs plutôt que des sortilèges défensifs, qui nous réduise notre esprit créatif et nous rends vulnérable ? Ne pas avoir de défense nous rends plus attentifs, plus perfectionnistes dans un combat, la défense est une sorte d’ « assurance » qui nous empêche de combattre à 100%. Pour avoir une attaque parfaite, il faut savoir oublier sa propre défense, oublier cette assurance qui peut nous être fatale en combat réel. Cette assurance nous empêche de faire les sacrifices nécessaires à l’accomplissement de notre but. C’est donc un déterminisme, un frein à notre liberté.

N’êtes-vous pas d’accords, professeur ?

Enym félicita Poesy pour sa réponse mais aussi Thanaelle pour son courage d'avoir osé dire devant la classe entière qu'elle ne connaissait pas l'existence des Patronus. Selon lui un acte de bravoure avait différente facettes dont aucune n'était à ménager.

- Merci Poesy, je vous accorde 10 points que je vous demande partager avec mademoiselle Roxie car j'approuve autant les élèves qui ont la force de dépasser leur ignorance que ceux qui savent. Sans les uns les autres n'existent pas. 8 points à Poesy et 2 à miss Roxie.

Sur ces entrefaites, Icare reprit la parole dans un long monologue qui illumina d'un profond sourire le visage du professeur de Sorts et Enchantements. Il revint devant son bureau s'y assit calmement pendant la durée de son intervention et l'écouta avec respect jusqu'à ce qu'il termine.

Lorsqu'il acheva, Enym lui dit d'une voix posée:

- Icare, en deux points: ici nous sommes en Sorts et Enchantements, je suis avant tout là pour vous apprendre à maîtriser un panel de sortilèges tout au long de l'année et non pas en Défense contre les forces du mal mais j'apprécie que vous donniez votre opinion de façon aussi "soutenue" et l'état d'esprit dans lequel se trouve les élèves au moment du cours m'importe autant que les sortilèges à travailler. Je vais donc vous répondre.

Enym inspire en gardant sur le jeune élève un regard bienveillant:

- Dans l'antiquité, les guerriers avaient une arme qu'ils tenaient dans une main et un bouclier qu'ils tenaient dans l'autre. Comme ces guerriers, Chaque sorcier doit aussi bien savoir se défendre qu'attaquer. Celui qui ne sait pas repousser un sortilège et ne sait qu'en lancer se trouvera bien dépourvu lorsqu'il se trouvera en face d'un adversaire, d'une créature, d'un sorcier ou d'un élément/objet qu'il ne veut point détruire mais juste repousser. Ne pas maîtriser des sortilèges de défense, c'est partir au combat sans bouclier. C'est à dire, s'engager dans un duel de façon incomplète. Levez-vous jeune homme, prenez votre baguette et venez face à moi, dit Enym en sortant sa propre baguette.

« Oula …j’aime pas la tournure que ça prends ! Il veux faire un duel ? mais je ne peux pas accepter un duel directement! S’il m’attaque, si je reçoit des sorts, tu va te réveiller, n’est ce pas ? » Une légère tension tendait le corps d’Icare, il n’avait pas peur de l’affrontement avec un professeur, il savait qu’il ne risquait pas sa vie. Mais Imure… Imure avait détruit une ville lorsqu’on l’avait réveiller. Il était peut-être corrompu par l’esprit de Chromma le vil, mais ça laisse présager de ses pouvoirs.

Imure : « Oui. Je me réveillerais, mais ce n’est pas pour autant que je décimerais la classe. Je me battrais juste à ta place, sans non plus utiliser mes capacités particuliers, il ne faut pas révéler mon existence. Et puis le prof a l'air balaize, je sais même pas si j'ai des chances, je suis dans ton corps depuis trop peu de temps. »

« Et la couleur ? Quand tu prends le contrôle de mon corps, il est dit dans le livre que les cheveux se teintent d’un orange/rouge et l’iris des yeux devient rouge sang ! ainsi que des modifications sur la peau… »

Imure : « j’aurais qu’à dire… que .. tu est allergique à la magique, que ça te donne des rougeurs ! »

« Ton sens de l’humour est déplorable… »

Imure : « Normal, c’est le tiens. »

« … »
Icare pris sa baguette et se leva finalement, Il s’approcha du bureau de son professeur. Il essaya de contourner le problème du duel en prenant la parole .

- Dans l’antiquité, il existait aussi des armes à deux mains, des lances, des hallebardes, des épées longues, des mauls. Un homme qui se protège avec son bouclier contre un coups de masse géante… se fait écraser le bras de toute façon. Une attaque puissante transperce les défenses opposées. L’ingénieux attaquant peut détourner le bouclier, s’il ne possède pas la puissance nécessaire pour l’abattre, prenant à revers le combattant qui fait confiance à son bouclier pour le protéger.

Maintenant, que je possède ou non de la puissance, si mon adversaire est trop puissant, le destin est le même, je meurt. Défense ou pas. Car si je peux y survivre grâce à une défense travaillé, c’est qu’en ayant travaillé uniquement mon attaque et non ma défense, j’aurais pu vaincre, et non survivre. Cependant je comprends votre argument sur le désir de ne pas tuer la personne qui est en face. Les sorts d’entraves, que vous avez considéré comme sorts de défenses, sont, à ce moment, utiles, mais on peut les considérer comme des sort offensifs puisqu’ils ne consistent pas directement à protéger notre vie, mais a empêcher qu’on s’y attaque. Comme vous l’avez dit plutôt, ce n’est pas seulement le but de défendre qui rends un sort défensif.

Ainsi, un guerrier dans l’antiquité, possédant un trident et un filet, ayant donc une capacité offensive au maximum, ainsi que des moyens de contrôler l’adversaire, peut tuer son adversaire, ou l’empêcher de nuire sans le tuer. N’est-ce pas plutôt l’idéal que nous devrions rechercher ?

Imure : « Cherche pas, tu va y passer, ça sert à rien de continuer ! »

« L’espoir fait vivre, Imure ! L’espoir, On peut peut-être continuer à argumenter jusqu’à la fin du cours ! » souffla-t-Icare intérieurement

*Poesy écouta d’abord le discours d’ Icare sans oser le regarder, sa voix l’envoûtait, elle savait qu’elle n’en avait pas le droit, mais elle ne pouvait s’empêcher de frémir, elle ne pouvait empêcher son cœur de s’emballer, elle ne pouvait empêcher que son sang ne se glace lorsqu’elle le contemplais…

Raissa : « Mais son esprit appartient à une autre, qui plus est une ‘’amie ‘’ non ? … »

Pense : « Oui mais… »

Elle leva enfin les yeux vers lui, croisa son regard et se sentit rougir jusqu’aux ongles de ses petites mains frêles. Elle secoua la tête comme pour chasser son image de son esprit, puis se plaqua les mains contre les oreilles, mais se força à l’écouter. Lorsqu’il se tu, le retour à la réalité fut brutale, la voix de Merwik s’éleva alors pour lui annoncer qu’elle venait de faire gagner 10 points à gryffondor, dont elle devait offrir 2 à Thanaelle, elle ne broncha pas, il était vrai que celle-ci les méritait largement ! Elle lui sourit amicalement et se retourna vers le professeur qui venait de proposer un duel à Icare, elle ouvrit grand les yeux, surprise et réjouit.

Pense : « Youhou ! Il va se donner en spectacle ! »

Puis l’angoisse se saisit d’elle…

Pense : « Et s’il se fait mal ? Tu crois que Merwik risque de le blesser ? »

Raissa :« Nan t’inquiète pas ! »

Elle passa sa main dans ses cheveux et commença à enrouler une mèche autour de ses doigts, ses yeux se posaient tour à tour sur Merwik puis, s’attardant un peu plus, sur Icare. Celui-ci resta un moment sans bouger, plongé dans ses pensées, puis se levant enfin, il recommença à parler. Poesy écoutait attentivement ce qu'il disait, priant pour que tout se passe bien, respirant tant bien que mal l'air qui brulait ses poumons en feu.*

Dernière édition par le Dim 24 Sep 2006 - 17:15, édité 4 fois

*Destiny n’avait plus du tout écouté le professeur après qu’il lui ait dit qu’elle venait de faire gagner 10 points à Poufsouffle. Elle avait écouté attentivement Icare qui avait parlé juste après elle, et avant Enym. Elle se souvenait de sa rencontre avec lui dans les couloirs. Elle se rappelait son premier baisé. Elle se remémorait du poème qu’il lui avait dédié.
Il lui vint soudain à l'esprit que c'était lui qu'elle aimait...
Il était tout pour elle, car c’était simplement la personne la plus importante de sa vie avec sa grand-mère. Son père la battait, sa mère ne s’apercevait pas de son absence. Il lui rendait le sourire quand toute allait mal, elle essayait de faire de même. Ses mots doux qu’il lui disait au creux de l’oreille, sa main contre la sienne… elle n'avait jamais été aussi sûre d'une chose. Elle l’aimait, et elle serait prête à mourir pour lui, car s’il disparaissait, plus rien ne compterait .
Malheureusement, il y avait toujours une fille qui voulait lui piquer. Au tout début se fut The travesti, ensuite, peut être bien Hermione, même si c’était qu’une supposition. Et maintenant il y avait Poesy Magic. Elle était Champion de Poudlard, tout comme Icare. Elle le regardait comme Destiny le faisait. Elle frémissait à chacune de ses paroles. Elle n’avait pas été très futée de se mettre auprès de la Poufsouffle. Elle aurait du se douter qu’elle se rendrait compte de quelque chose.
Destiny lui lança un regard noir, puis se leva. Elle se fichait de tout le reste maintenant. De faire perdre des points, d’avoir des heures de retenus…Mais elle ne voulait pas le perdre, et elle ne le perdrait pas ! Toute la classe semblait la fixer, elle dit au professeur :*

-Excusez-moi de ce que je vais faire, mais quand j’aurais fini, vous pourriez me donner des heures de colle, me faire exclure de Poudlard, m’enlever tout mes points gagnés. Mais laissez moi faire ce que je veux pour une fois, elle ne me le piquera pas, il en est hors de question !

*Elle se retourna vers Poesy, lâchant un sourire timide à Icare par la même occasion.*

-Poesy, je te prenais un peu pour une amie. Mais en faite tu es une ennemie, encore pire que the travesti ! Tu l’aimes hein ? TU L’AIMES AVOUE. Mais il sort avec moi, JE l’aime, JE mourrais pour lui, JE lui écris des poèmes, JE lui chante des chansons, JE lui ai laissé mon premier baisé. Toi, tu n’est strictement rien à ses yeux, te comprend ? Il m’aime MOI, pas TOI !!! Je n’hésiterais pas à te faire mal, car rien que là, tu m’as trahit, tu m’as perforé le cœur. Mais tu t’en fiche, tu ne penses qu’à toi. Tu n’as pas été fut-fut de te mettre à côté de moi ! Tu pensais que je ne verrais pas comment tu le regardes ?Que je ne sentirais pas comment tu frémis lorsqu’il parle ? Moi aussi je ressens ça, mais il n’y a que moi qui ai le droit justement ! Tu n’es qu’une petite gryffondor de rien du tout, tu mériterais que l’on te jette à Askaban pour se que tu fais. Je suis sûre que si tu avais eue l’occasion de l’embrasser, tu l’aurais fait, mais je te l’interdis compris ? TU AS COMPRIS ? Tu n’as pas le choix de toute façon !

*Destiny était en pleure, oui, tout avait changer en quelques minutes, vraiment tout…A part son amour pour le jeune homme.*

-Icare je suis désolée que tu me vois dans cet état là…Excuses-moi pour ce que je viens de faire, et ce que je vais maintenant faire…

*La jeune fille prit l’encre qui lui servait pour écrire. Elle lança tout le contenu du flacon sur poesy. Elle était maintenant toute noire et collante. Destiny était toujours debout, en pleure…*

Pense/Je l'aime...On l'aime.../

Sakura ne comprenait plus rien à ce qu'il se passait... Y a quelques minutes, le cours se passait très bien. Et d'ailleurs Icare Et le Professeur s'étaient lévés pour mettre en pratiqe ce que le jeune homme avait exposé auparavant..

Et là tout à coup, une élève se lève, nous lance une tirade sur son amour pour Icare et accuse Poesy de trahison. C'est à n'y rien comprendre. Ce seraient elles envoyer des SMS toutes les deux.. Surpris

Et pour ponctuer ce qu'elle pense de la fille, Destiny lui jette son encrier à la figure et elle est en pleurs..

"Oulala, je ne sais comment réagir à ça. Peut-être faut il aider la Gryffondor à se néttoyer ou consoler la Poufsouffle. en faitn je crois que je vais attendre un peu car il risque d'y avoir des répercutions. Poesy va sans doute répliquer, et je ne veux pas être prise à temoin, ou devoir choisir un camp.."

Sakura ne bouge donc pas, mais est très abasourdi de cette réaction. Elle regarde autour d'elle pour deviner ce qu'en pense les autres. Qui va prendre la parole en premier après ça ? Le professeur sans doute ...

Rhéna avait noté chaque sort et son effet énoncés par Destiny et Icare sur un morceau de parchemin, écrivant à toute allure. La deuxième année et son petits copain ne le savaient pas, mais ils venaient de donner à Rhéna plein d'idées pour faire souffrir la bouse de Troll de montagnes!

Rhéna réfléchissait à quel sort elle pourrait lui jeter en premier, quiahnd soudain Destiny se leva et commença une tirade sur son amour profond pour Icare qui allait apparemment faire un duel contre Enym.

Et voilà! Décidément, elle en rate pas une! Toujours en train de faire son interessante cette fille! Pauvre Poesy qui n'avait rien fait!
J'espère que Destiny va s'en prendre plein les dents!!!
Z'êtes méchants quand même. La pauvre!
Ranafout!!!

Rhéna observait la jeune fille d'un air légèrement amusé. Elle hurlait toute sa haine et tout son amour en plein milieu d'un cour parce qu'apparemment Poesy aurait un peu trop regardé Icare... Décidément, la jalousie n'a pas de limite!

Fin du discours, enfin, Destiny allait-elle retourner sagement à sa place? Apparemment non, car elle se saisit de l'encrier.

Elle va pas faire ça quand même...

Destiny lança l'encre sur la Gryffie.

Bah si, elle l'a fait!

Mais, même si c'était Destiny, la Poufsouffle était touchante, debout au milieu de la salle, les yeux pleins de larmes. Une se détacha de ses cils pour rouler sur sa joue. Rhéna tentait de garder un regard dur, mais c'était difficile.

Elle ne voulait pas que quelqu'un remarque la faille dans son coeur, faille dans laquelle cette image de Destiny, pleurant, était en train de s'immicer tout doucement. Elle voualti que tout le monde continue de ne remarquer que la haine qu'elle avait pour elle, elle qui l'avait riddiculisée...

Dernière édition par le Mer 18 Oct 2006 - 21:28, édité 1 fois

*Poesy ne comprit rien de ce qui se passait soudainement, Destiny se leva et commença à l’incendier, à hurler son amour et sa haine, à hurler sa douleur et sa joie, à hurler à en perdre la voix, elle ne paraissait même pas ridicule, elle était comment dire plutôt émouvante...Lorsque Poesy comprit que Destiny avait découvert son petit manège ; elle sentit elle aussi les larmes lui monter aux yeux, mais, faisant trôner sa fierté, elle les ravala, une boule s’était formée au milieu de sa gorge serrée par la douleur, Destiny l’avait humiliée devant toute la classe, bientôt tout Poudlard serait au courant de ses sentiments qu’elle essayait d’ignorer.

Pense : « Mais…Je n’ai même pas essayer de l’approcher…Elle est injuste … »

Destiny s’excusa alors auprès du professeur et balança l’encre de son encrier à la figure de Poesy, elle en fut recouverte, toute entière, noire et collante, elle ne fit pourtant aucun geste, les yeux toujours fixés sur celle qu’elle pensait être son amie, le regard vide, dénué de toute expression, les poings serrés, sentant les battements de son cœur au niveau de ses tempes, une nausée s’empara d’elle, elle détourna les yeux du visage en larmes de la poufsouffle, implora du regard le professeur, se leva et se dirigeant vers la porte, elle l’ouvrit mais au moment de sortir elle se retourna, sortit sa baguette de sa poche la pointa sur le sommet de son crâne, et murmura en fermant les yeux :

-Aguamenti

Un filet d’eau s’écoula de sa baguette et coula sur son corps, emportant l’encre dans sa course lente. Elle sourit, l’air insouciant, et se lança comme elle en avait l’habitude dans un long monologue :

-Destiny…Tu me déçois…Jamais je n’aurais cru que tu pouvais me trahir, m’humilier, et par-dessus tout, jamais je n’aurais cru qu’un seule instant tu imaginerais que je te volerais l’être qui compte le plus pour toi…Oui c’est vrai, je l’aime, peu être pas autant que toi, peu être pas aussi bien que toi, peu être pas pour les mêmes raisons, mais jamais je n’aurai osé faire en sorte de me retrouver dans ses bras, de l’embrasser ou quoi que ce soit d’autre ! Jamais je n’aurais osé voler celui qui te rend heureux parce que je sais l’effet que cela fait…La scène que tu viens de faire, elle ne sert strictement à rien, elle est inutile, tout ce que tu as dit, je me le répète sans cesse, à chaque fois que je le vois, à chaque fois que je te vois, à chaque fois que je vous vois ensembles…Je culpabilise, me disant que je ne devrais pas éprouver de sentiments pour celui d’une autre …Je sais bien qu’il n’aime que toi, que tu as tous les droits que moi je n’ai pas, mais ce que tu ne comprends pas, c’est que c’est exactement ce qui rend mon amour pour lui plus agréable, plus plaisant, un amour platonique sans réciprocité, un amour qui me fais vivre un enfer paradisiaque où la douleur est le meilleur des bien être…Tu n’a fait que le renforcer en le dévoilant, tu n’a fait que m’éloigner un peu plus de la réalité qui me cours après depuis si longtemps…

Elle se tourna vers Icare et lui sourit timidement, elle tenait à s’excuser pour tout le tort qu’elle avait causé et qu’elle continuerait de causer à voir l’expression de Destiny :

-Icare…Je…Tu …Tu ne mérite pas de subir ça…Je suis désolée des problèmes qui risquent de se poser entre vous, je n’en suis responsable qu’a moitié, je n’avais as l’intention de semer le trouble, Je …Je ne voulais rien dévoiler ...Je ...C’est bon je m’en vais !

Elle sentait les larmes perler aux bout de ses cils, personne ne remarquerait qu’elle pleurait si elle le faisait, ses cheveux dégoulinant d’eau lui tombaient sur les yeux, sur ses joues perlaient des gouttelettes d’eau. Elle ferma les yeux puis les rouvrit avec douleur, elle regarda Destiny et lui répéta :

-Tu me déçois…

Elle sortit de la pièce et s’en alla en courant, cherchant à s’éloigner le plus possibles d’ Icare, de Destiny, de la réalité…*

Un mini drame se déroulait devant leurs yeux. Elle n’était pas dans l’histoire et ne la comprenait même qu’a moitié et pourtant elle sentait son cœur se serrer en voyant cela. Quand Poesy partit en direction, elle se tourna sur sa chaise. Mais quand elle quitta la salle de cour elle n’hésita qu’un quart de seconde avant de se lever, s’excusant rapidement envers le professeur.

Dans le couloir elle courut pour tenter de rejoindre Poesy, chose pas très difficile au vue des traces qu’elle laissait derrière elle. Quand elle la vit enfin elle se mit devant elle et la prit dans ses bras. Elle ne pouvait rien faire de plus pour l’aider et cela la désolait. C’était son amie et ne rien pouvoir faire pour elle la rendait triste.

Tu ne peux pas fuir la réalité…

Elle savait que c’était plus facile a dire qu’a faire mais elle le devait. Elle n’avait jamais vécue ce genre de situation et elle n’essayait même pas de s’imaginer ce que pouvait ressentir Poesy. L’amour était unique, différent selon les personnes. Celui de la Gryffondor n’était pas le plus simple, elle aimait un garçon qui jamais ne l’aimerait en retour. Mais elle ne pouvait pas indéfiniment fuir et se terrer pour y échapper. Elle devait faire face et prendre sur elle. Ses sentiments qu’elle ressentait envers le Serpentard ne disparaîtrait pas du jour au lendemain et elle devrait apprendre a vivre avec tout comme Destiny…

Elle lança un sort a Poesy pour que celle ci soit de nouveau sèche et la prit par le bras. Elle ne protesta pas, même quand il devint évident qu’elle la ramenait en cour.
Dans la salle elle l’installa l’air de rien a côté d’elle puis alla chercher ses affaires qui se trouvait toujours prés de la jeune Poufsouffle pour les remettre a la nouvelle place qu’occupait la Gryffondor. Tout cela finit, elle se rassit sur sa chaise et regarda tout le monde l’air de dire « Si vous faîtes un commentaire, garre a vous »

*Poesy entendit des bruits de pas derrière elle dans les couloirs, elle ne pouvait accélérer le pas de peur de glisser sur le marbre froid à cause de l’eau qui dégoulinait toujours, elle sentit la personne la rattraper et la prendre dans ses bras, c’était Ehlana, elle n’avait même pas eu la force d’espérer que ce soit Icare ou Destiny tellement elle était à bout de forces. Elle se laissa étreindre, Ehlana la secha d’un coup de baguette, et l’entraina vers la salle de cours, Poesy trainait des jambes, elle n’en avait aucune envie, elle craignait de trouver Icare en train de réconforter Destiny, elle craignait de les voir s’embrasser, de les voir s’aimer devant elle, elle garda les yeux cloués sur ses chaussures lorsqu’elle fut entrée dans la salle de classe, et les posa sur le pupitre où Ehlana l’avait assise, elle ne savait rien de ce qui se passait autour d’elle mais elle sentait les regards des autres lui traverser la peau.*

Une voie se fit entendre dans la classe, une voie familière. « Destiny ? » Icare se retourna pour voir la scène. La poufsouffle s’était levée, incendiant littéralement sa voisine, la fustigeant du regards. « Qu’est ce qui s’est passé ?! »

Imure : « Sa voisine l’a agressé ou quoi ? Destiny est d’un tempérament explosif, mais pas à ce point là ! Déranger un cours pour des mesquineries féminines ne lui va pas non plus. »

« Ecoute bien, Elle accuse Poésy de … Oh… C’est quoi cette histoire ? » Icare n'en revenait pas de ce qu'il entendait. Il en avait même oublier l’ordre du professeur Enym, ainsi que l’argumentation qu’il était en train d’établir. Il s’approcha calmement de l’incident, tentant de capter plus de mots encore, de ne laisser aucune place au doute.

Une main, autrefois douce et cajoleuse, attrapait un pot d’encre avec vivacité. Le pot d’encre s’élevait dans l’air, dirigé par des doigts déterminés. Un liquide noir s’échappait du petit récipient de ver, s’épanouissait dans l’espace restreint séparant les deux corps. Le tissu absorbait l’encre, lui permettant de prendre prise sur les vêtements de la victime. Sur les deux visages s’écoulaient à présent des larmes opaques ou des larmes transparentes. L’acte n’avait rien épargné. La dignité, l’honneur, la raison.

Imure : « Les femmes de cette époques sont sacrement plus caractérielles... »

« C’est pas le moment, Imure… » Icare n’était pas d’humeur, il venait de voir la candeur bafoué, l’innocence meurtrie. Il voulait lui demander pourquoi elle avait fait ça… Poesy n’était presque jamais venu parler à Icare, Destiny n’avait aucunes raisons, aucune circonstances atténuantes pour son acte. Il se tue, impuissant, regardant la scène sans bouger. Il était devenu spectateur, lointain, absent.

Poesy était resté digne. Elle ne répondit pas à l’acte. Elle prit sur soi et ne s’en prit pas à Destiny, sans chercher vengeance. Elle déclara ses vérités, solennellement, expliquant ses émotions. Elle sorti, simplement, en larme peut-être, le sort Aguamenti avait bien des utilités.

Imure : « Pourquoi tu ne bouge pas ? pourquoi tu ne fais rien ? »

« Je… Je sais pas… je vois bien ce qui se passe, mais je ne bouge pas, je ne dis rien … C’est … C’est comme ça … » Icare restait debout… « ça serait tellement plus simple d’avoir une cible à blâmer… Destiny ? Non, sa réaction pouvait être légitime… Poesy ? Non plus, ses sentiments ne peuvent pas être contrôlés, comme n’importe lesquelles des nôtres… »

Imure : « Te voilà en face d’un grand problème de l’humanité… Se battre est simple, cohabiter est déjà plus compliqué… Tu n’est pas mature, Icare, tu n’as que treize ans, tu ne sais pas comment réagir. Désolé de te le montrer comme ça, un jour tu seras grands, tu comprendras l’importance du choix, de la volonté, tu aura l’expérience nécessaire pour comprendre quoi faire dans ces moments… Pour le moment, souffres de ton impuissance, de ton désarroi, cela fait partie des expériences qui te rendent plus grands. »

*Tout c’était ensuite enchaîné vite. Poesy avait raconté le fardeau qui lui pesait sur le cœur. Le fait qu’elle aimait Icare, qu’elle ne l’aimait peut être pas autant, peut-être pas pareille, mais qu’elle l’aimait quand même. Elle ne voulait pas que tout le monde le sache, mais Destiny avait tout dévoilé. Elle ne savait pas se qui lui avait prit, comment elle l’avait fait, mais elle ne pouvait revenir en arrière. C’était trop tard, malheureusement trop tard… Elle comprenait que les autres filles aime Icare, elle c’était pareille, mais son cœur de pouvait l’accepter. Bien qu’il savait…Bien qu’il savait que c’était elle qui l’aimait, pas Poesy, ni Rhéna, non plus Hermione ou Eliore. Son cœur et son esprit appartenaient à Destiny.
Ensuite, Icare était rester debout, sans bouger, sans réagir, au l’aurait cru pétrifier. Il devait certainement réfléchir. Il devait se remémorer la scène. Il devait se demander pourquoi la jeune fille avait fait sa. Pourquoi elle était ainsi, à être aussi jalouse. Destiny était toujours debout en pleure, ses jambes tremblants, son cœur criant… Que devait il pensé ? L’aimait il toujours ?
Au même moment Poesy revenait dans la salle de classe accompagnée par la préfète des Serdaigle. La Poufsouffle aurait voulu s’excuser, mais elle ne pouvait pas. En ce moment son cœur se battait avec son cerveau. L’un lui disait de s’excuser, l’autre lui faisait comprendre que ce n’était pas à elle de le faire. Pendant ce temps, Icare ne faisait rien. Elle se posait vraiment beaucoup de questions. Généralement il n’était pas comme sa, enfin le connaissait elle vraiment ? Après tout, elle n’était pas dans sa tête. Ce n’était peut être pas celui qu’elle pensait. Destiny avait osé espérer qu’il vienne la réconforter, mais non, il ne bougeait pas. Sens était trop, elle ne pouvait pas rester dans cette pièce. Poesy était là, elle aimait la personne qui comptait le plus dans son cœur, qui l’aidait à survivre. Lui aussi était là, mais il ne faisait rien, pas un geste, pas une parole. Et pourtant la fille qu’il aimait, ou du moins qu’il semblait aimer pleurait. Pleurait comme elle ne l’avait jamais fait. Elle soufrait, mais en silence, car ses larmes qui avait rendu son corps glacé n’était rien comparer à se qui se passait à l’intérieure.
Des questions, des suppositions, des hurlements, des combats, des souvenirs…
Destiny la méchante avait disparu, laissant place à la fragile. Rhèna lui rappellerait certainement beaucoup de fois ce jours là, mais c’était la dernière chose à la qu’elle elle pensait. Elle réussi à bouger sa jambe droite, puis la gauche, n’adressant un regard à personne même pas à Icare…Elle sortie, ferma la porte derrière elle puis courut. Courut en sentant ses jambes qui tombaient, qui n’avaient plus aucune force. Elle trébucha alors. Elle avait envie de crier, mais pas que en elle pour une fois.*

-JE VEUXXXXX MOURRRRIRRRRRRR !!!

*Elle avait lâcher ses quelques mots avec un désespoir déstabilisent dans la voix. Personne ne l’avait jamais vu ainsi, c’était certain…En même temps, elle n’avait jamais eu aussi mal au fond d’elle-même, même lorsque sont père la battait.
Un tableau était présent sur le mur qui se trouvait à la droite de la jeune fille. Une vieille dame qui tricotait une écharpe.*

¤Pauvre enfant, que lui arrive t'il…¤

*Destiny l’avait entendu, mais elle ne voulait pas, non, plutôt elle ne pouvait pas répondre. Toute avait été trop vite. Trop de chose avait changer en quelques minutes.*

Pense/Destiny, ma belle, au lieu d’écouter ton cœur et ton cerveau s’entre tué, écoute moi. Je veux que ma vois te captive, pour ne plus que tu souffre. Miss, ne t’inquiète pas, il t’aime, il n’aurait jamais pu te mentir. Il à peut être juste trouver ta réaction bizarre. Il était peut être choqué, mais ne t’en fait pas. Je veux mourir…
Ma belle, ne dit pas de t’elle choses. Il faux que vous vous expliquez, une fois cela fait tout iras bien mieux. En attendant sèche tes larmes, on ne voit plus tes beaux yeux. Je ne peu pas. Destiny…Ma belle…/

Enym se tenait debout face à Icare qui lui fit une autre de ces longues démonstrations que le professeur trouvait forte intéressante même si cousue de fils blancs. Il nota dans son esprit une phrase qu'il se promis de dire un jour à Icare: "les argumentations les plus longues démontrent trop souvent l'ignorance de celui qui la forme, se cachant derrière les mots, il n'y a point de pensées mais un ego qui ne veut pas être contredit. L'homme ne devrait pas avoir à s'adresser à l'homme en dialoguant d'ego à ego mais de cœur à cœur, d'esprit à esprit"

Le professeur savait ce qui allait se passer dans les minutes qui suivirent et il resta silencieux pendant que les trois événements qui suivirent.

Premier événement: l'exaspération de Destiny
La jeune Poufsouffle ne tint pas ses nerfs et le petit jeu de l'une de ses camarades de classe de Gryffondor l'exaspéra au point qu'elle lui lança son encrier au visage.

Enym resta silencieux en souriant. Il n'était pas encore temps d'agir.

Deuxième événement: la sortie de Poesy
Poesy réagit à l'attaque par la déclaration publique de ses sentiments pour le Serpentard. Il n'y avait pas de plus belle façon, selon Enym, de contrecarrer une telle attaque. Avec le cœur et non avec un sortilège, ce qui aurait été la chose la plus facile à faire mais aussi la moins intelligente.

Enym resta silencieux, toujours souriant, cela n'était pas fini, il le savait. Il gardait un œil amusé sur le jeune Icare éberlué mais il n'était pas encore temps d'agir.

"Elle reviendra de toute façon" pensa-t-il lorsqu'elle sortit. Il posa ses yeux sur Ehlana quelque secondes avant que celle-ci ne décide de sortir pour ramener son amie. Ensuite il regarda à nouveau vers Destiny.

"A son tour maintenant"

Troisième événement: la sortie de Destiny
Ehlana fit ce que le destin lui demandait de faire: ramener Poesy sous les regards interloqués de leurs camarades de classe. L'amour faisait faire de belles choses. Le professeur posa ses yeux sur Destiny dont les larmes ruisselaient sur le visage. Elle sortit à son tour et à travers les couloirs on entendit son cri de désespoir à fendre le coeur. Le professeur se souvint alors de Serena et de lui lorsqu'ils étaient encore adolescents.

Enym parla enfin. C'était le moment. La baguette tendue vers le sol, il se contenta de lancer un sortilège récuvite à l'endroit où l'encre avait parsemé le sol puis un autre vers l'entrée où Poesy s'était nettoyée de cet encre. Il ne fallait jamais tirer de conclusions trop hâtives. Il rangea sa baguette et sourit à Icare:

- Je crois que vous devriez sortir de cours, jeune homme pour rejoindre cette demoiselle qui vous attend et la ramener dans la classe après avoir eu une petite discussion. Lorsque vous lui parlerez, pensez, s'il vous plaît, à notre discussion sur le sortilège de défense et la raison si importante qui fait que je tienne à vous les apprendre malgré vos opinions à ce sujet. Je ne suis pas là pour vous offrir ce que vous demandez mais pour vous offrir une éducation et je ne prétends en rien aller à l'encontre de vos idées mais les compléter au moins. Allez-y, sortez la rejoindre et ramenez-la nous.

Enym se détourna d'Icare et lui montra la porte. Il regarda la classe, offrit un regard compréhensif de soutien à Poesy, et continua:

- Les sortilèges de Défense et de désarmement que j'aimerais vous voir maîtriser aujourd'hui sont l'expelliarmus et l'impedimenta. En attendant vos camarades, je vais vous demander de bien vouloir vous mettre deux par deux face à face pour tester le sortilège de Désarmement pour commencer. Et seulement celui-ci s'il vous plaît.

[HJ: inutile de créer un sujet dans le couloir, vous pouvez continuer de poster ici en supposant que vous êtes toujours dans le couloir dans lequel débouche la salle de cours. Concluez votre intrigue s'il vous plaît.]

* Imure : « pourquoi les relations humaines sont elles toujours aussi étriqués, tordues… Allez Icare, fait ce que tu as à faire. Une jeune demoiselle en détresse t’attends ! »

« Tu me prends la tête, c’est facile dans ton petit coin perdu au fin fond de mes réseaux neuronaux de juger la situation … Tu n’a jamais été compatissant avec moi ! » Icare lança sa baguette sur son sac resté en retrait à sa place et couru rejoindre Destiny en dehors de la classe.

Imure : « Jamais compatissant ? Tu te fous de moi ? Toutes tes émotions, je les ressens ! je ne vais pas en plus devoir te soutenir et te réconforter ! Quand tu souffre, je souffre, quand tu t’amuse, moi c’est pareil, on partage déjà tout ! Être compatissant avec toi c’est… une notion sans sens ! Je suis toi… Enfin… avec quelques variantes dans ma mémoire personnelle et dans la forme de mon être dans ce mond… »

« La ferme, j’ai pas le temps d’écouter ton monologue pseudo-réfléchit ! » Icare traversait rapidement les couloirs, Envoyant des regards noirs sur les tableaux. D’une voix sifflante aux intentions vénéneuses, il leur déclara des invectives leur faisant précisément comprendre qu’une réponse concise et correct était ardemment demandé à sa question, sous peine de périr brûler, sans hésitations.

Les tableaux lui indiquèrent la voie vers « la jeune fille en pleurs », l’accompagnant au passage. Sûrement afin d’assister à un spectacle de peine et de chagrin ; les être humains en sont si friands, à croire que la règle s’applique aussi aux décédés. Il parcourait les couloirs en courrant, sans interruption, tout ce chemin lui paraissait si long.

« Mais pourquoi ça s’est passé comme ça… et tous ces verrues fétides parcourrant les tableaux, me suivant comme des sangsues, me dégoûtent. N’ont-ils rien de mieux à faire que de se nourrir du désespoir des uns et des autres ? être abjectes, rebuts d’un monde qui s’est séparé d’eux, ils s’y accrochent avec toute l’ardeur de leur âme, espérant savourer de nouveau les goûts uniques de la vie. Leur acharnement me répugne… »

Imure : « Ne change pas ta frustration en colère… Ton impuissance te rends sarcastique, ne te rends pas plus amer que tu ne l’es… Tu ne hais pas ces personnes, tu les aime bien en temps normal. Tu cherche juste une chose sur laquelle tu puisse déverser ton agressivité. C’est… C’est exactement le schéma mentale des forces du mal. Ne te détourne pas de ta raison, tu dois rediriger tes émotions, c’est le lot de tous les humains… L’humain qui cède à son agressivité sombre dans les méandres d’un abysse sans fond où ne règne que la déraison. »

« Epargne moi ton speech et ta leçon de morale, c’est ma propre auto-défence didactique! Mon propre moyen de me rediriger lorsque… lorsque t’étais pas là ! Tous ce que tu dis ne m’est pas d’une grande utilisée, je l’ai déjà gravé dans ma tête et tu est bien placé pour le savoir ! »

Imure : « Il faut croire que, même si c’est gravé, ça prends la poussière… Je suis limité par ton cerveau, mais j’ai mes propres expériences à moi ! je n’ai rien d’oublié de ma vie avant, je suis donc un être que tu dois de considérer comme plus mature que toi. Ne pas m’écouter et encore un tour de ton état d’esprit, tu n’es pas raisonné. »

« Ok, Ok, C’est bon, tous ce que tu veux tant que tu me laisse tranquille! Merci. ». Icare apercevait finalement Destiny. A Terre, immobile, une vieille dame dans un tableau s’apitoyait sur son sort, elle fut bientôt rejoint par une horde de ducs, de grands magiciens, de ministres, d’aurores renommés qui vinrent mettre en désordre le malheureux salon du cadre. *

- Destiny …

* Icare n’avait rien dit de plus … Il n’avait pas l’esprit clair non plus, il venait de voir sa petite amie agresser une de ses camarades, une de ses amies, par une crise de jalousie. La réaction lui semblait… démesuré. Il s’arrêta à environs trois mètres de la jeune fille, ferma ses yeux pour replacer sa pensée. *

- Destiny … Ta réaction est une preuve d’amour… C’est ça ?

Cependant… L’amour réside en grande partie dans la confiance qu’on a dans la personne qu’on aime … Destiny… Ta réaction est une preuve d’amour ? Est-ce là ce que tu crois ?

Crois-tu vraiment qu’un jour, j’aurais bafoué tes sentiments ? Je les auraient trahis pour une autre ? Poesy ne m’avais presque jamais parlé, je n’ai jamais su ses sentiments ! Et même si je les aurais su, que crois-tu que j’aurais fait ?!

* Imure : « Elle subit une crise, là, je ne pense pas que lui parler comme ça règlera les choses… »

« Ferme la, elle est forte. Sa tristesse est réelle, mais son désarroi l’est tout autant. Toi même m’a rappeler qu’il faut agir par notre raison et non par nos sentiments. Je veux m’occuper de sa raison, étancher les larmes de sa tristesse ne changera rien au problème. Si elle ne réagit pas comme je le pense, alors je me serrais trompé à son compte… » *

- Destiny … Si tu me fais confiance, si tu crois en moi, pourquoi es-tu tant jalouse ? à quoi donc te sers la jalousie à part te faire souffrir ? Si tu m’aime, lève toi, sèche tes larmes, oublie ta jalousie. Suis-je jaloux des garçon que tu fréquente, est-ce que je m’inquiète pour l’amour que tu me porte ? Non, et cela est une preuve d’amour.

* Imure : « Tu crois que ça va passer ? … ça m’a pas l’air super réconfortant ta technique… Avec Chromma le vil, on avait une autre technique qui était très efficace pour sécher les larmes des gens et… »

« Recommence pas… Prends un peu de ma timidité et arrête de lâcher tes commentaires intempestifs s’il te plait. » Icare ne s’approcha pas de Destiny, il restait à distance, sans faire de geste. Expectatif, son regards était inexpressif, son corps droit, son attitude neutre. Une sculpture de dureté, de rigidité froide. Un fermeté de statue grecque au regards mort. *

- M’aimes tu vraiment … ?
Destiny…
Penses-tu qu’aimer signifie souffrir ? souffrir continuellement de la jalousie, de la peur ? Aimer est-il une sorte… de punition divine infligé au humain, afin qu’ils doivent souffrir d’une dépendance entre eux si nuisible à leur raison ?

Si tu souffre, Destiny… Alors arrête d’aimer et oublie moi. Je préfère te savoir heureuse, loin de moi, que souffrant de ton attachement pour moi. Dans un véritable amour, il n’y a pas de place pour la douleur et la souffrance.

* Icare se retourna, et marcha vers la classe. Sa démarche était précise et calme. Destiny devait raisonner avec sa raison, il n’y avait pas de « bonnes » ou de « mauvaises » réponses à ce que lui a dit Icare. Elle doit en tirer les conséquences elle-même, faire le vide en soi et comprendre la situation. « Il n’y a pas de réactions spéciales à avoir, sa réaction aura sa conséquence, quel quelle soit. Elle doit seulement être honnête avec elle-même et trouver sa propre réponse.» *

HJ : Destiny, tu n’es pas légilimens. Agis uniquement face à mes paroles et mon attitude. Joue le jeu de ton personnage, s’il te plait. Réagis comme Destiny devrais réagir.

Dernière édition par le Lun 16 Oct 2006 - 20:45, édité 3 fois

*Icare était à trois mètres de la jeune fille. Il lui parlait, lui murmurait des mots qui résonnait, qui faisait mal à Destiny. Ne s’en rendait il pas compte ? Voulait il lui provoquer un déclique, quelque chose dans se genre, ou tout simplement…la forcer à la quitter ? Elle espérait que ce n’était pas la deuxième solution. En vérité, toute c’était tellement mélanger que d’autres scénarios lui montait à la tête.*

Icare Di Fanterio a écrit:: - Destiny … Ta réaction est une preuve d’amour… C’est ça ?

Pense/Je suppose, j’espère, je pense...Je t’aime, donc…peut être…sûrement…Destiny ! Attend, pas maintenant…/

Icare Di Fanterio a écrit:: - Cependant… L’amour réside en grande partie dans la confiance qu’on a dans la personne qu’on aime … [color=violet]Destiny… Ta réaction est une preuve d’amour ? Est-ce là ce que tu crois ?

Pense/Icare, arrête je t’en supplie, plus de question…J’ai confiance en toi Icare…Mais, je suis moi, je suis comme sa…Enfin, je crois…Une preuve d’amour, je ne sais pas. Plus de question, s’il te plait…Destiny ! Attend, pas maintenant…/

Icare Di Fanterio a écrit:: Crois-tu vraiment qu’un jour, j’aurais bafoué tes sentiments ? Je les auraient trahis pour une autre ? Poesy ne m’avais presque jamais parlé, je n’ai jamais su ses sentiments ! Et même si je les aurais su, que crois-tu que j’aurais fait ?!

Pense/Icare, non, je n’en peu plus, pas de question…Destiny ! Attend, pas maintenant…/

*La jeune fille pleurait et tremblait en écoutant le jeune homme lui pausé toute ses questions qu’elle redoutait. Son cœur et son cerveau se battait de plus en plus. Comme deux épées qui se fissuraient toutes les deux, au fur et à mesure. Bientôt une casserait, c’est certain, l’autre suivra le même chemin ou sera très affaiblit.
Destiny le regardait dans les yeux, il ne semblait recevoir aucune souffrance, par contre, on l’aurait cru déçu, aussi grâce au son de sa voix. La deuxième année le savais, du moins le supposait fortement. Il avait du connaître une autre parti de la Poufsouffle, qu’il ne connaissait pas. Si elle l’avais déçu…temps pis…C’était son cerveau qui commençait à reprendre le dessus, enfin c’est ce qu’elle pensait.*

Pense/Je ne suis pas dans ta tête Icare…Mais pourquoi je pense ainsi, je ne suis pas comme sa. Je l’aime, mais je ne suis pas sur de se qu’il aurait fait. J’aurais pu croire, mais pas être certaine…Ses questions, toutes ses questions, Icare stop…Poesy ne ta peut être jamais parler, elle aurait pu avoir l’occasion après…Icare, tu ne m’enttend pas, mais arrête, je t’en suplis ! Je ne sais pas, je ne sais plus, je ne savais pas, je n’en peu plus…Destiny ! Attend, pas maintenant…/

*Les larmes coulaient à flot, elle ne c’était pas stopper, même pas quand Icare était arriver. Néanmoins, un peu plus quand elle comprit qu’il ne venait pas pour la prendre dans ses bras, pas pour la réconforter comme elle aurait espère qu’il fasse. Icare était comme il était, certes, mais avant, elle pensait le connaître. Maintenant, non. Avant elle pensait que si jamais cette situation arriver un jour, il ne réagirait pas comme sa. Peut être que lui aussi, il l’avait déçu.
Mais tout ces peut être se bousculaient, et il commençait à en avoir beaucoup, beaucoup, beaucoup trop. Son cœur crier, et son cerveau était éteint. Eteint…Enfin il ne pensait plus normalement, il pensais au ralenti, mais il n’avait même pas le temps, car il réfléchissait à se battre avec le cœur, alors que normalement, ils auraient du s’unir…
Pourquoi tout sa était arriver ? Pourquoi elle était née d’une mère moldu riche ? Pourquoi son père la battait ? Pourquoi elle ne pouvait compter vraiment que sur sa grand-mère ? Pourquoi elle avait atterrit à Poudlard ? Pourquoi elle avait rencontrer Icare ? Pourquoi elle était tomber amoureuse de lui ? Pourquoi était elle allé à ce cours ? Pourquoi c’était elle mit au près de Poesy ? Pourquoi était elle aussi jalouse ? Pourquoi avait elle pétée un câble ? Pourquoi elle avait pleurer ? Pourquoi elle avait couru ? Pourquoi elle était maintenant à genoux dans un couloir remplit de tableaux à ce posée mille et une question ? Pourquoi ? POURQUOI ? Mais ce n’était pas finit, non, malheureusement pas finit…*

Icare Di Fanterio a écrit:: - Destiny … Si tu me fais confiance, si tu crois en moi, pourquoi es-tu tant jalouse ? à quoi donc te sers la jalousie à part te faire souffrir ? Si tu m’aime, lève toi, sèche tes larmes, oublie ta jalousie. Suis-je jaloux des garçon que tu fréquente, est-ce que je m’inquiète pour l’amour que tu me porte ? Non, et cela est une preuve d’amour.

Pense/Mais Icare, je t’en suplie d’arrêter ! Tu ne le fait pas exprès hein ? Le déclique, je ne l’aurais pas, ou pas comme tu veux. Je voudrais te le dire, mais je ne peu pas ! J’ai peur, je ne peu plus parler, surtout avec toi… J’ai confiance, mais je ne pouvais pas me décidé sur sa. Maintenant, j’ai moins confiance. Non ! Pourquoi je dit sa moi ? Je l’aime, il ne ma pas déçu…Peut être un peu…Mais de toute façon je l’aime, car il m’offre des poèmes, car il me prend dans ses bras, car il à chanter pour moi. Car il pense à moi aussi non ? Ma jalousie me fait souffrir, certes, mais ce n’est pas grave, je souffre pas, normalement...quand je suis avec toi. Pourquoi tu ne lis pas dans mes pensées hein ? Dis moi pourquoi…Tu veux que je face se que tu viens de dire, me lever sécher mes larmes, oublier ma jalousie ? Et si je ne peu pas, et si je ne suis pas celle que tu crois Icare. Arrête ses questions. Cesses ses réponse. Je veux que la souffrance s’arrête, toute oublier, mais le puis-je aussi ? Comment voulais tu que je sache tout sa ! Nous n’avons jamais parler de notre jalousie Icare, je n’était pas au courant. Si tu n’es pas jaloux, c’est que tu ne possède pas ce défaut que je ne peu supprimé de ma personnalité. Icare, je t’aime, je pense, je suis certaine, je…J’espère en faite. Destiny ! Attend, pas maintenant…/

*Les larmes coulaient de plus en plus, la souffrance devenait presque insupportable, mais ce qui ne tue pas, rend plus fort n’est ce pas ?*

Icare Di Fanterio a écrit:: - M’aimes tu vraiment … ?
Destiny…
Penses-tu qu’aimer signifie souffrir ? souffrir continuellement de la jalousie, de la peur ? Aimer est-il une sorte… de punition divine infligé au humain, afin qu’ils doivent souffrir d’une dépendance entre eux si nuisible à leur raison ?

Pense/ Non ! ICARE NON ! Pas cette question, non pas celle-la. Je peu pas, je ne suis pas assez forte…J’ai mal Icare, j’ai mal, tu ne m’aides pas…Oui je t’aime vraiment, je…pense le ressentir, en vérité toute et flou Icare dans ma tête. Des milliers de Questions, et tu ne m’aide pas en, en rajoutant. De plus, je ne peu te répondre, je n’ai pas assez de mental. Je n’en n’ai plus assez…J’ai trop souffert en 10 minutes Icare, j’ai trop pleurer…Je n’ai plus de force, je tremble, je ne peu plus me relever presque, mais jambes ne tiennent plus, elle ne font que tomber…
Aimer ne signifie pas souffrir, mais en fait tout de même partie. Sans toi, je souffre Icare, avec toi aussi, mais moins…non ? J’espère…
Si tu m’entendais, tu comprendrais se que je ressens, tout ces « j’espère », « peut-être » « sûrement »…Toute ces questions…Non, aimer n’est pas une punition, mais être amoureux ce n’est pas voir la vie en rose. Je te déçoit Icare, je te fait peut être, tiens encore un peut être, souffrir. Mais jamais je ne te quitterais. Si on se sépare, sa viendra de toi, pas de moi…POURQUOI JE NE PEU PAS LUI DIRE SA ? C’est pourtant simple, ouvrir la bouche ?Non, ce n’est pas simple du tout…J’ai peur Gnoby. Destiny. Non, attend, pas maintenant./

Icare Di Fanterio a écrit:: Si tu souffre, Destiny… Alors arrête d’aimer et oublie moi. Je préfère te savoir heureuse, loin de moi, que souffrant de ton attachement pour moi. Dans un véritable amour, il n’y a pas de place pour la douleur et la souffrance.

Pense/ Si Icare, malheureusement a douleur et la souffrance ou une place dans l’amour. Je ne pourrais t’oublié, sans toi je souffrirais encore plus que avec toi. Enfin, je ne sais pas, peut être je serais plus heureuse. Qu’est-ce que je dis ? Non je veux rester avec lui, sans lui je ne serait plus que fine poussière. Remarque, je pourrais trouver quelqu’un d’autre. NON ! NON je ne trouverais jamais quelqu’un comme lui, qu’est ce que je dit.
Icare, je…Plus de question…Non...Plus de mot…ICARE NON !! Destiny ! Non, attend, pas maintenant. Et quand alors ? Quand j’arriverais à pensée, quand j’arriverais de nouveau à aimé, quand je cesserait de souffrir. Miss, tu ne l’aimes plus ? ARRËTE !!!/

*Cette pensée lui avait fait défaut. La poufsouffle avait saisit sa baguette. Pour faire quoi ? Elle ne le savait pas, son cerveau ne lui avait pas dit. L’épée qui représentait son cœur était très certainement casser en deux. Plus aucun sentiment, a part la souffrance arrivait à elle. L’épée de son cerveau était affaiblit, trop affaiblit pour réfléchir et lui dire quoi faire de sa baguette. Alors, sans savoir les gestes qu’elle faisait, sans comprendre qu’elle tenait sa baguette de ses deux mains tremblante, elle prononça la formule :*

-Expelliarcorus !

hj :Le sortilège fait normalement expulser quelqu’un. C’est un sort qui peut servir à partir de la seconde année.