TP1: Deneb Kaïtos, Mowana Beckett & Egon Sutham

hj: Deneb, c'est toi qui a déclaré la guerre, je te le certifie, il va falloir t'accrocher... Je suis furieux contre toi!!


Quand Mowana s'approcha de la table et vint s'asseoir, Egon se leva doucement et alla vers elle. Il dégagea une mèche de ses cheveux sur le tatouage qu'il avait vu de Mowana. Il se pencha au-dessus d'elle en gardant dans sa vision panoramique Deneb pour sentir ses réactions.
- Mo, je suis désolé pour ce qui vient de t'arriver. Bouge pas, j'ai un remède. Ce n'est pas grand chose mais je pense que ça te permettra de supporter avant d'aller à l'infirmerie.

Il sortit de sa poche un mouchoir de tissu blanc qu'il imbiba d'eau grâce à sa baguette. D'une formule plus complexe, il fit apparaître une goutte de liquide bleue qu'il ajouta à l'eau. Il posa sur la joue de la JOLIE serpentard le mouchoir. De son autre main, il lui tenait délicatement et AFFECTUEUSEMENT la tête.

Le gryffondor se positionna de façon à avoir le visage près de celui de Mowana. Il sentait son parfum enivrant et ambré.
- C'est bon, le bleu va disparaitre peu à peu. Ca décongestionnera l'hématome et tu n'auras pas de marque. C'est un tour que m'a appris Enki, lui dit-il avec complicité.

En regardant Mowana de si près, il se rappella le DOUX, DELICIEUX ET SURPRENANT baiser qu'elle lui avait donné pendant le duel. C'était une fille MAGNIFIQUE malgré son caractère girouette. Si un jour avec Deneb cela devait tourner au vinaigre, il avait suffisamment confiance en lui pour parvenir à séduire l'intrépide serpentard.
- Tu voudras qu'on aille ensemble à l'infirmerie quand le cours sera terminé? Je veux bien attendre avec toi si tu promets de garder ta baguette rangée, lui murmura t-il toujours chaleureusement.

Entre temps, dans ce jeu visant à énerver Deneb, il prit goût à s'adresser simplement à Mowana. Il en oublia complètement Deneb qui était avec sa pierre mal transformée encore une fois.

Il se releva et rangea le mouchoir dans sa poche. Il regarda l'heure et s'aperçut que le tp touchait à sa fin.

*Mowana se laissa faire par Egon tout en restant parfaitement sur le C** qu'est-ce qu'il se passait là ? Elle était tellement étonné de ce comportement affectueux rempli de sollicitude qu'elle ne bougea pas. Puis la raison lui revint et elle trouva ça génial qu'elle que soit le déclic d'Egon.*

"Il veut certainement provoquer Deneb, je ne vais pas me priver de ce délice."

- Merci, Egon dit Mowana d'une voix soufreuteuse, je pourrai me concentrer sur le tp maintenant. Heureusement que tu es là, je vais bien que tu m'accompagnes à l'infirmerie tout à l'heure.

*Quand il termina elle pointa sa baguette sur la pierre d'Egon et la transforma aller-retour pour avoir quand même une note et pour ne plus avoir à rencontrer Mc-Go dans une probable punition. Elle leva le poigné délicatement, fit un petit mouvement bref, releva sa baguette comme tout était décrit sur le cours puis dit la formule.*

- Phénacite transfigurat Emerald Béryl !

*La pierre était plus ou moins normale. Un petit craquement se fit entendre au moment ou elle passa au vert emeraude mais la métamorphose était tellement rapide qu'elle n'en vit pas les détails.*

"On aurait du prendre des multiplettes"

*Elle fit la même chose à l'envers.*

- Phénacite transfigurat Emerald Béryl !

*La pierre revint à son état normal mais elle lui parut plus petite qu'au début. Elle fit comme si de rien n'était et regarda Egon:*

- On va à l'infirmerie, je me sens faible, mes métamorphoses sont mauvises, je pense qu'il y a trop d'ondes négatves ici, lança t-elle à l'adresse de la mère Kaïtos et McGonagall.

Deneb posa sa pierre bruyamment sur la table. Elle jeta son sac sur sa chaise et y rangea toutes ses affaires sans regarder une seule fois ni Egon ni Mowana. Il voulait jouer à ce petit jeu ? Qu'à cela ne tienne.

Pense: "Tu peux y aller à l'infirmerie, je m'en tape ! Et cette peste, qu'elle n'aille pas se promener seule dans les couloirs, si elle me croise !"

Elle mit son sac sur son dos et alla rendre au Professeur MacGonagall la pierre passablement mal métamorphosée, puis sortie sans prendre la peine de dire au revoir ou d'avoir l'autorisation. Elle baissa la tête pour traverser rapidement la classe sans que personne ne voit les larmes qui commençaient à poindre.