Jeu de rôle basé sur les règles inventées par J.K. Rowling dans l'univers de Harry Potter.
 
AccueilAccueil  PortailPortail  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Réassort du coffret Pokémon 151 ...
Voir le deal

Partagez
 

 Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Julian Falcon
Adulte
Julian Falcon

Nombre de messages : 483
Age : 38
Maison : Serpentard
Année : 7eme année
Gain de Gallions : 20073
Date d'inscription : 06/01/2006

Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] Empty
MessageSujet: Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti]   Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] EmptyVen 13 Oct 2006 - 1:01

Public averti car ya du sang, des larmes Le Baten Non en fait c'est juste parce que les jeunes risquent de pas comprendre Rolling Eyes

Bon allez je me lance:

Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] 41be55685bac2962tc0

Le monologue à l’arbre rouge.

*Elle se met à courir sur l’herbe, aussi vite que les plis de sa longue robe le lui permettent. Elle avait assisté entièrement à la scène de ce sinistre duel, elle l'a vu recevoir le tir mortel sorti d'une arme au bout encore fumant. Il s'était agenouillé et avait commencé à ramper vers l'arbre. Agonisant, il avait fini par s'allonger sur le dos, un bras étendu de tout son long, comme un dernier appel envers elle pour ses ultimes secondes de vie. Et il était toujours là, au même endroit, prés de l’arbre rouge. Il y avait aussi les deux témoins du duel ainsi que l’homme qui avait tué son compagnon, ils se tenaient tous à bonne distance de la scène. Vêtu de noir, les porteurs de corps, qui devaient venir pour l'enterrer attendaient patiemment. Lui était allongé sur le dos, ses habits bleus de soie bougeaient dans la légère brise. Elle s’asseoit à ses cotés et l'observe, il est mort d’une balle comme il est de coutume dans les duels entre gens de nobles familles. Elle commence alors à lui parler doucement…*

" Mon aimé… Je sens tes vêtements sous la paume de mes mains, ton corps inanimé semble figé tout comme ton destin. Toutes ces passions qui m'étaient destinées, se sont éteintes à jamais. Cette balle faite de pur argent, a traversé ton corps comme de l'acier brûlant. La chute de l'être aimé atterrissant sur un sol jonché de feuille, a été un choc dans mon cœur tout comme les vagues sur un écueil. La lassitude des tes flancs, qui plus jamais ne seront animé d'un souffle puissant. Ces bras qui refusent de se mouvoir, cet abandon et face à la mort ce désespoir. Pourquoi ne m'as-tu pas laissé souffrir à ta place, pourquoi ne m'avoir laissé qu'une infime trace? Entre les mains de ce mauvais homme, ce gredin, au moins à l'abri tu aurais été avec les tiens. De ta famille qui t'aime, pourquoi leur as-tu préféré ta vie de bohême? En méritais-je seulement la peine, alors que tant de femmes t'avaient voué leur amour et toute leur haine? Quand dans tes refus, elles avaient laissé leurs courroux exploser a nus. Que bien des maris songeurs et jaloux, se sont recroquevillés à ta vue seulement pour quelques sous…
Oh seigneur, puisse le temps qui passe estomper mes pleurs !"

*Changement de tons, changement de larmes. Celle-ci coule pour la haine. Fini la peine, arrive la rancœur. Et les peines de cœur qui s'estompe, laisse place au coupable bonheur.*

" Mon ennemi… J’ai beau pleuré ta mort, celle ci ne m’attriste pas. Tout ce sang versé non pas a tort, l'à été à cause de ta brutalité, tu ne penses pas? Le poison que j'ai versé dans le but de t'étourdir, te laissant aussi fragile qu'un animal blessé, et cet orgueil que tu tendais si souvent dans un sourire, est le même qui ne t'as pas permis de te rendre compte de notre faux hyménée. Tes lèvres congestionnées, tes membres endoloris, tout ceci était maintenant une nécessité, et heureusement pour moi, tu meurs sans un cri. Sans que la vérité jamais ne sorte d'ici. Sans que les témoins ne comprennent jamais ce qu'il s'est réellement passé. Sans que ma beauté n'ait été flétrit par une seule goutte de ton sang maudit. Quand à ta fortune, que tu as si longtemps laissé de coté, crois-en ce ciel nocturne, que nous irons moi et mon amant la chercher. De tes enfants je prendrais grand soin, lorsque je les emmènerais au couvent, l'un deviendra prêtre, ou forgeron ou manant, que m'importe, et ta fille deviendra sûrement une femme qui se pavane, une vulgaire catin de cette sorte. Les sanglots étoufferont ta femme, a moins que le poison, bien avant, y glisse ses flammes. Ta lignée sera éteinte, je serais vengé dés que la douleur lié a tes coups se sera estompé. Dés que plus une larme sur ma joue aura coulé. Que dans un précipice, on jettera ton corps déterré. Que dans un dernier spasme, enfin tu m'oublies…"

*L'homme se retourne alors, son regard de braise signifiant son retour à la vie. De ses lèvres frémissantes jaillissent alors des paroles, que l'on ressent comme source de colère profonde. Le tonnerre éclate alors et la pluie lave le sang ruisselant.*

" Toi qui m'as aimé, désiré, et qui pleure toutes les larmes empoisonné, de ton cœur malade. De ton cœur de pierre, de ton organe fatal! De celle qui m'a tué, en me regardant souffrir, alors que je renaissais, empoisonnant jusqu'à mes cendres si tu en avais eu le temps et même pire! Toi qui allais jusqu'à essayer de convaincre les personnes qui t'entourent d'une mise en scène funeste. D'un dernier adieu en ma faveur, mais qui sera synonyme pour toi de destitution et tout le reste! Regarde et contemple, que tes yeux attristés voient le reflet de ton futur! Voit le démon qui t'appelle, entends le bruit de ses pas, ses raclures! Tu méritais milles tourments diablesse, il n'y ait pas eu un seul coup que j'ai eu regretté de t'infliger, pas un seul que tu ne m'aies reproché. Entends-tu la musique, c'est le signe épique, de ta fin qui s'annonce, et que maintenant tu te dénonces!"

*Le témoin s'approche alors et tire avec une arme sur l'amant qui attendait au loin. Celui-ci s'écroule, le visage fermé par une douleur rapide. Aucun cri n'est sorti de sa bouche. L'amante se lève alors, stupéfié. Le témoin se précipite vers elle et l'enserre. Le deuxième témoin l'aide aussi. Ses gémissements ne rencontrent que le vide. Son mari se relève, époussetant sa veste et son pantalon de toile. Cette fille coupable se retrouve livré aux cruels sorts d'hommes impitoyables. Et nul ne connaît alors le sort qui l'attend…*


FIN

Ps: Besoin de correction pour ce texte Merci Le Théo Et pi besoin aussi de l'avis parce que c'est le premier essai de ce genre que je fais, j'ai essayé d'éviter mes répétitions. J'espere que c'est sympa à lire, et que c'est un texte agréable.
Revenir en haut Aller en bas
http://Korinodarkwings.skyblog.com
Elisa-Flavie Wind
Adulte
Elisa-Flavie Wind

Nombre de messages : 386
Age : 36
Maison : Ancienne élève de Serpentard
Année : 6ème année
Gain de Gallions : 19944
Date d'inscription : 18/02/2006

Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] Empty
MessageSujet: Re: Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti]   Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] EmptyVen 13 Oct 2006 - 2:58

Nice Job, Julian Wink

J'aime ta façon d'écrire, de raconter...oui vraiment. Cet essaie a un goût tragique, sombre et un peu romantique à la fois. Est ce que tu va la mettre sur ton blog celui-là?
Revenir en haut Aller en bas
Julian Falcon
Adulte
Julian Falcon

Nombre de messages : 483
Age : 38
Maison : Serpentard
Année : 7eme année
Gain de Gallions : 20073
Date d'inscription : 06/01/2006

Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] Empty
MessageSujet: Re: Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti]   Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] EmptyDim 15 Oct 2006 - 14:22

Il est déjà sur un de mes blogs, j'aimerais qu'il soit aussi sur le 2éme, mais j'aimerais que quelqu'un le corrige avant en fait Le Théo
Revenir en haut Aller en bas
http://Korinodarkwings.skyblog.com
Ehlana Kalten
Lèche-Botte Préférée de JLI
Ehlana Kalten

Nombre de messages : 851
Age : 35
Maison : Serdaigle
Année : 5ème année
Gain de Gallions : 19770
Date d'inscription : 26/05/2006

Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] Empty
MessageSujet: Re: Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti]   Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] EmptyDim 15 Oct 2006 - 18:09

AH ... ce que j'adore ce que tu fais Razz

Au début je comprenais pas trop où l'histoire allait en venir mais la fin explique tout clairement et les dialogues sont aussi très bien fait, sans lire les phrases qui séparent les deux paragraphes parlés on aurait tout de suite senti la différence de ton.

Y a pas de doute je suis fan de tes écrits Razz
Revenir en haut Aller en bas
Julian Falcon
Adulte
Julian Falcon

Nombre de messages : 483
Age : 38
Maison : Serpentard
Année : 7eme année
Gain de Gallions : 20073
Date d'inscription : 06/01/2006

Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] Empty
MessageSujet: Re: Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti]   Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] EmptyDim 15 Oct 2006 - 20:57

Merci c'est gentil Le Théo
Revenir en haut Aller en bas
http://Korinodarkwings.skyblog.com
Baten Kaïtos Céti
Administrateur
Baten Kaïtos Céti

Nombre de messages : 193
Age : 41
Maison : Aucune
Gain de Gallions : 19630
Date d'inscription : 04/06/2006

Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] Empty
MessageSujet: Re: Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti]   Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] EmptySam 21 Oct 2006 - 2:25

Proposition de correction basée sur un style synthaxique littéraire, donc tu peux ne pas accepter certains changements de tournures de phrases.
Je n'ai pas mis les fautes d'orthographe et de ponctuation en évidence, tu compareras et retrouveras toi-même. Je me suis plutôt focalisé sur le sens et la synthaxe.

(quand je vois l'avatar d'Orlando Bloom à côté de cette phrase, j'imagine Bloom te parler de synthaxe et cela me semble surnaturel... je commence à avoir très peur de ce mec)


Citation :
*Elle se met à courir sur l’herbe, aussi vite que les plis de sa longue robe le lui permettent (ce ne sont pas les plis qui l'empêchent de courir mais la lourdeur de la robe ou des jupons sans doute, qu'en penses-tu?) Elle avait assisté entièrement à la scène de ce sinistre duel, elle l'a vu recevoir le tir mortel sorti d'une arme au bout encore fumant. Il s'était agenouillé et avait commencé à ramper vers l'arbre. Agonisant, il avait fini par s'allonger sur le dos, un bras étendu de tout son long, comme un dernier appel envers elle pour ses ultimes secondes de vie. Et il était toujours là, au même endroit, près de l’arbre rouge. Il y avait aussi les deux témoins du duel ainsi que l’homme qui avait tué son compagnon, ils se tenaient tous à bonne distance de la scène. Vêtus de noir, les porteurs de corps, qui devaient venir pour l'enterrer attendaient patiemment. Lui était allongé sur le dos, ses habits bleus de soie bougeaient dans la légère brise. Elle s’assoit à ses cotés et l'observe, il est mort d’une balle comme il est de coutume dans les duels entre gens de nobles familles. Elle commence alors à lui parler doucement…*

" Mon aimé… Je sens tes vêtements sous la paume de mes mains, ton corps inanimé semble figé tout comme ton destin. Toutes ces passions qui m'étaient destinées, se sont éteintes à jamais. Cette balle faite de pur argent, a traversé ton corps comme de l'acier brûlant (une balle d'argent terminant comme de l'acier, c'est une dure pénitence littéraire Le Enki la comparaison n'est pas claire à mon sens. C'est la balle qui change de matière ou le corps qui est tel l'acier? Si tu changes le mot "comme" pour "tel" ou "telle" et le sens sera plus clair). La chute de l'être aimé atterrissant sur un sol jonché de feuilles, a été un choc dans mon cœur tout comme les vagues sur un écueil. La lassitude de tes flancs, qui plus jamais ne seront animés d'un souffle puissant. Ces bras qui refusent de se mouvoir, cet abandon et face à la mort ce désespoir. Pourquoi ne m'as-tu pas laissé souffrir à ta place, pourquoi ne m'avoir laissé qu'une infime trace? Entre les mains de ce mauvais homme, ce gredin, au moins à l'abri tu aurais été avec les tiens. De ta famille qui t'aime, pourquoi leur as-tu préféré une vie de bohême? En méritais-je seulement la peine, alors que tant de femmes t'avaient voué leur amour et toute leur haine? Quand dans tes refus, elles avaient laissé leurs courroux exploser à nus. Que bien des maris songeurs et jaloux se sont recroquevillés à ta vue pour seulement quelques sous…
Oh seigneur, puisse le temps qui passe estomper mes pleurs !"

*Changement de ton, changement de larmes. Celles-ci coulent pour la haine. Fini la peine, arrive la rancœur. Et les peines de cœur qui s'estompent, laissent place au (coupable bonheur) (je dirai que le sens est impropre mais ceci est personnel. En anglais, j'aurais dit "relief" et non pas bonheur)*

" Mon ennemi… J’ai beau pleurer ta mort, celle-ci ne m’attriste pas. Tout ce sang versé non pas à tort, l'à été à cause de ta brutalité, tu ne penses pas? (synthaxe bancale. D'abord "non pas" devrait être suivi d'un "mais", c'est un latinisme répandu: "non solum//sed etiam" etc, ce sont des expressions binaires que tu dois utiliser avec leur second mouvement. Ensuite pour rester dans un registre soutenu, tu dois faire l'inversion "ne penses-tu pas?" ce qui donnerait en bonne synthaxe:
- Tout ce sang versé non pas à tord mais à cause de ta brutalité, l'a été..., ne penses-tu pas? [mais en prenant cette version, il te manquera quelque chose à la place des trois petits points si tu veux justifier la construction de base de ta phrase sans laisser tomber le "l'a été']
ou - Tout ce sang versé l'a été à cause de ta brutalité, ne penses-tu pas?)


Le poison que j'ai versé dans le but de t'étourdir, te laissant aussi fragile qu'un animal blessé, et cet orgueil que tu tendais si souvent dans un sourire est le même qui ne t'a pas permis de te rendre compte de notre faux hyménée (est celui-là même qui ne t'a point permis de te rendre compte de notre fausse hyménée, féminin. Un hymen, une hyménée, pour la même définition Wink) Tes lèvres congestionnées, tes membres endoloris, tout ceci était maintenant une nécessité et, heureusement pour moi, tu meurs sans un cri. Sans que la vérité jamais ne sorte d'ici. Sans que les témoins ne comprennent jamais ce qu'il s'est réellement passé. Sans que ma beauté ne soit flétrie par une seule goutte de ton sang maudit. Quand à ta fortune, que tu as si longtemps laissée de coté, crois-en ce ciel nocturne, que nous irons moi et mon amant la chercher (nocturne, nous irons, mon amant et moi, la chercher). De tes enfants, je prendrai grand soin, lorsque je les emmènerai au couvent. L'un deviendra prêtre ou forgeron ou manant, que m'importe (plusieurs choix de ponctuation possible mais pas celui que tu as choisi Wink) Ta fille deviendra sûrement une femme qui se pavane, une vulgaire catin de cette sorte. Les sanglots étoufferont ta femme, à moins que le poison, bien avant, n'y glisse ses flammes. Ta lignée sera éteinte, je serai vengée dès que la douleur liée à tes coups s'estompera. (Dès) que plus une larme sur ma joue ne coulera. Que dans un précipice ton corps déterré, on jettera. Que dans un dernier spasme, enfin, tu m'oublieras…" (suivre une construction parallèle de ta première phrase, ne pas réinverser la synthaxe sans raison, surtout dans une anaphore; dans un texte littéraire éviter le "on")

*L'homme se retourne alors, son regard de braises signifiant son retour à la vie. De ses lèvres frémissantes jaillissent alors des paroles que l'on ressent comme (source terme impropre, je pense, qui fausse ta phrase) de colère profonde. Le tonnerre éclate alors et la pluie lave le sang ruisselant.*

" Toi qui m'as aimé, désiré et qui pleure toutes les larmes empoisonnées de ton cœur malade. De ton cœur de pierre, de ton organe fatal! De {celle qui} m'a tué, en me regardant souffrir alors que je renaissais, empoisonnant jusqu'à mes cendres, si {tu} en avais eu le temps et même pire! Toi qui allais jusqu'à essayer de convaincre les personnes qui t'entourent d'une mise en scène funeste. D'un dernier adieu en ma faveur mais qui sera synonyme pour toi de destitution et tout le reste! Regarde et contemple, que tes yeux attristés voient le reflet de ton futur! Vois le démon qui t'appelle, entends le bruit de ses pas, ses raclures! Tu méritais mille tourments, diablesse, il n'y a pas eu un seul coup que j'ai regretté de t'infliger, pas un seul que tu ne m'aies reproché. Entends-tu la musique? C'est le signe épique de ta fin qui s'annonce et que, maintenant, tu te dénonces!"

*Le témoin s'approche alors et tire avec une arme sur l'amant qui attendait au loin. Celui-ci s'écroule, le visage fermé par une douleur rapide. Aucun cri n'est sorti de sa bouche. L'amante se lève alors, stupéfiée. Le témoin se précipite vers elle et l'enserre. Le deuxième témoin l'aide aussi (préciser le pronom, de qui s'agit-il? ce n'est pas limpide Le Théo ). Ses gémissements ne rencontrent que le vide. Son mari se relève, époussetant sa veste et son pantalon de toile. Cette fille coupable se retrouve livrée au cruel sort d'hommes impitoyables. Et nul ne connaît alors le sort (répétition) qui l'attend…*


FIN



Je sais qu'elles ne sont rien sans le cadre du texte mais ce sont les phrases que j'aime le plus:



Mon aimé… Je sens tes vêtements sous la paume de mes mains, ton corps inanimé semble figé tout comme ton destin.

La lassitude de tes flancs, qui plus jamais ne seront animés d'un souffle puissant.

Changement de ton, changement de larmes.

cet orgueil que tu tendais si souvent dans un sourire

Tes lèvres congestionnées, tes membres endoloris, tout ceci était maintenant une nécessité et, heureusement pour moi, tu meurs sans un cri. Sans que la vérité jamais ne sorte d'ici.

De tes enfants, je prendrai grand soin, lorsque je les emmènerai au couvent. L'un deviendra prêtre ou forgeron ou manant,

De ses lèvres frémissantes jaillissent alors des paroles

Toi qui m'as aimé, désiré et qui pleure toutes les larmes empoisonnées de ton cœur malade, de ton cœur de pierre, de ton organe fatal!

empoisonnant jusqu'à mes cendres


"Regarde et contemple! Que tes yeux attristés voient le reflet de ton avenir! Vois le démon qui t'appelle, entends le bruit de ses pas, ses raclures! Tu méritais mille tourments, diablesse! Il ne fut pas un coup que je regrettai de t'infliger, pas un seul que tu ne m'aies reproché." (avec quelques changements, cette phrase serait plus poignante mais je l'aime bien)

Entends-tu la musique? C'est le signe épique de ta fin qui s'annonce

Celui-ci s'écroule, le visage fermé par une douleur rapide. Aucun cri n'est sorti de sa bouche.

Ses gémissements ne rencontrent que le vide.




J'aime aussi le miroir "mon aimé" "mon ennemi" et les phrases en rimes Le Enki
Revenir en haut Aller en bas
http://destination-magie.forumpro.fr
Juge Lara Impartial
Fondatrice
Juge Lara Impartial

Nombre de messages : 1062
Maison : Aucune
Gain de Gallions : 20131
Date d'inscription : 06/01/2006

Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] Empty
MessageSujet: Re: Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti]   Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] EmptyJeu 26 Oct 2006 - 1:52

J'aimerais en avoir des belles corrections comme ça ! Pour ce que je dis tu texte, il manque de rythme tout comme l'autre que j'avais lu à l'époque. Il faudrait que tes textes profitent plus de ce que l'on nomme "ponctuation" et "paragraphe" dans le communs des mortels littéraires.

Ton vocabulaire et propre et la façon dont tu traitre cette brève histoire est tout aussi poignante que les articles de ton blog. Il te reste simplement à mieux construire construire la synthaxe pour donner du relief à tes mots.
Je trouve toujours tes passages passionnant et agréable à lire ! J'attends le prochain ! Wink
Revenir en haut Aller en bas
http://the47things.skyrock.com/
Mélusine McEwan
Administrateur
Mélusine McEwan

Nombre de messages : 1655
Age : 39
Maison : Ancienne Gryffondor
Gain de Gallions : 19494
Date d'inscription : 02/10/2006

Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] Empty
MessageSujet: Re: Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti]   Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] EmptyMar 5 Juin 2007 - 14:09

Ca c'est du personnga tragique comme je les aime... C'est beau ce que t'écris metteur en scène... C'est trèès beau... et touchant... Tu ne peux pas savoir à quel point ça me fait plaisir que t'aies pensé à moi pour ce rôle...

Des personnages tourmentés. Des émotions. De la violence dans les sentiments... Franchement, je suis accro...




Juste une petite question: une balle d'argent... On dit que c'est la seule chose qui puisse tuer un loup-garou... Y a un rapport ou pas?
Revenir en haut Aller en bas
http://melusinemcewan.deviantart.com/
Julian Falcon
Adulte
Julian Falcon

Nombre de messages : 483
Age : 38
Maison : Serpentard
Année : 7eme année
Gain de Gallions : 20073
Date d'inscription : 06/01/2006

Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] Empty
MessageSujet: Re: Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti]   Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] EmptyMar 5 Juin 2007 - 18:13

Non, il n'y a pas de magie dans ce texte.

Attention Par contre pour les autres, ne lisez surtout pas ce texte, ou il n'y aura plus de suspense, lorsque vous lirez la piéce Le Baten
Revenir en haut Aller en bas
http://Korinodarkwings.skyblog.com
Contenu sponsorisé




Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] Empty
MessageSujet: Re: Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti]   Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti] Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Le monologue à l'arbre rouge. [Public averti]
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1 -



Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Destination Poudlard - Ecole de Magie :: Le royaume du flood et du hors jeu :: Club d'écriture-
Sauter vers: