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| Auteur | Message |
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Professeur Rogue Modérateur
Nombre de messages : 483 Gain de Gallions : 20664 Date d'inscription : 12/01/2006
| Sujet: Le Devoir surveillé. Dim 22 Avr 2007 - 3:04 | |
| Rogue sortit de sa réserve personnelle quelques secondes après l'entrée de ses élèves, sa baguette magique à la main. Il leva alors son bras et, dans un geste sec, ferma la porte de son cachot. Sans un mot. Tout l'art de l'informulé. Et seul le bruit sourd de la lourde porte vînt troubler le silence installé dans la salle de classe. Depuis son entrée tout du moins.
Il rejoignit son bureau sans un mot et tandis qu'il prenait place, des inscriptions s'écrivaient d'elle même au tableau. Tout l'art de l'informulé.__________ Au tableau
Etude de texte Sous le château de Baugé, un trésor considérable serait caché. On dit même que la porte souterraine donnant accès à ce trésor aurait été découverte il y a un siècle et demi, mais qu'il a été impossible de pénétrer dans le souterrain à cause du "diable" qui en gardait l'entrée.
D'après un témoignage moldu, le "diable" en question serait de petite taille et aurait une peau très sombre ainsi que de grandes oreilles pointues.
Extrait de Le guide de la France Mystèrieuse, ouvrage sous la direction de René Alleau, des éditions France loisirs, 2005 -2. Donnez un titre à cet extrait.
-1. Présentez le texte: a-Le titre, l'auteur, la date, l'édition. b-En quoi la date est un gage de fiabilité? c-Connaissez vous cet auteur: oui -o non -o
0.Expliquez en 3 lignes les expressions suivantes: a-un trésor considérable b-D'après un témoignage
1. De quelle créature magique s'agit-il . a-Décrivez-là. b-Quelles sont ses fonctions? c-Emettez des hypothèses quant à la nature de cette créature. (au moins 3, vous vous appuierez sur des connaissances personnelles, culturelles, sceptique et savante, ou/et totalement fantastique.) d-En vous servant des réponses aux questions précédentes, vous définirez (5 pouces de parchemin maximum)
2. Comment expliquez-vous sa présence a-Situez-le précisément. b-Emettez des hypothèses quant au raison de sa présence. (au moins 3)
3. Vous partez à la recherche du trésor et vous retrouvez face à ce "diable". Racontez votre périple en incluant les intraves que vous utilisez. (Entre 10 et 20 pouces de parchemins - lignes -, les septièmes années 25 pouces de parchemin)______ Une fois que le tableau avait fini de crisser, le professeur prit la parole.
-Rangez livres et cours, vous avez une heure!
C'est alors que le sablier disposé sur son bureau se retourna. Leur indiquant sadiquement le temps qui leur restait à chaque fois qu'ils lèveraient les yeux dessus.Hj:correction vous connaissez à savoir: -les PP comme toujours, si j'organiste un "DS", c'est pourvous offrir l'opportunité de le jouer. Aussi jouez!
-interdit de faire ce qui est interdit, enfin, en théorie: -Trichez, copiez, fraudez, échangez les copies, achetez les réponses, pompes diverse et variées -De parler (même si on est habité par une autre force) -Je suis sûr que vous avez beaucoup d'imagination
-orthogramm' -originalité -Vous pouvez jouer le niveau de votre perso(ça valorisera votre participation)
-Vous avez à m'envoyer par mail à l'adresse dp-severus.rogue@hotmail.com les questions 0, 1 et 2. Vous ferez la question 3 ici, pour que tous puissent en profiter. Vous pouvez auss faire une ou deux ou trois questions extraites de 0, 1 et 2 ici afin de nourir votre jeu.
-clôture du sujet le 3 mai. |
| | | Jonathan Franco Personnage Inactif
Nombre de messages : 48 Maison : Serdaigle Année : 3ème année Gain de Gallions : 19290 Date d'inscription : 15/04/2007
| Sujet: Re: Le Devoir surveillé. Mar 24 Avr 2007 - 9:47 | |
| Jonathan était avec beaucoup d'autres élèves dans la Salle de DCFM pour le grand examen. Ou plutôt le devoir surveillé ! M'enfin, il n'y a pas de grandes différences entre un examen et un devoir, se disait Jonathan ! Le Professeur Rogue indiquait les consignes sur le tableau, Il ne paalit pas une seule fois. Enfin si, une fois quand même pour leur annoncer avec son horrible sourire de dents jaune qu'ils auraient une heure pour terminer leur devoir. Dès que le sablier ce fût retourner, Jonathan avait agrippé sa plume et avait commencé à écrire des réponses pour les questions : -2, -1, 0,1,2.. Ils n'étaient pas du tout sûr de ses hypothèses, mais en même temps, les hypothèses, c'est seulement des avis. Et Jonathan avait donné son avis, que le prof le veuille ou pas ! Enfin bref, il en était maintenant à la question number 3. C'était en fait une rédaction à faire. 20 pouces de parchemin. Il y va fort le vieux ! Il a qu'à se les faire lui qui sait tout, lui qui retire des points pour un rien, lui qui ajoute un seul point pour un grand effort ! Jonathan ne le comprendra jamais ! Jamais une seule fois il ne le comprendrait. Sans doute le professeur avait vécu des choses terrible avec sa famille, ou ses amis ( si il en avait ^^ ) ou ses camarades même ! Mais ça n'était pas une raison quand même pour tout retourner contre les élèves ! Ah non ! Ça y est ! Jonathan a compris....c'est la jalousie...Bon enfin bref, assez parlé de ce bon vieux Severus, et partons plutôt pour une grande aventure dans celle de Jonathan : Sur le parchemin : 3. Vous partez à la recherche du trésor et vous retrouvez face à ce "diable". Racontez votre périple en incluant les intraves que vous utilisez.
J'avais une mission donnée par une personne qui m'était inconnue mais qui au moins me payait fort cher, je devais aller à la recherche d'un trésor qui se trouvait dans une grotte, dans un diamètre de 10 kilomètres. C'était le pied, parce que je devais justement tout faire à pied. Alors je voyageais et tout et tout, et dans la fameuse grotte, quand je suis rentré, paf ! Un coup dans le nez ! Pif, un coup dans les genoux, et Crac ! Et non en fait rien. J'ai regardé ce qui c'était passé, et là, j'ai vu pour le comble du comble, un Lutin de Cornouailles ! Quelle horreur, il était d'un bleu électrifiant., avec des grosses oreilles, deux antennes, de petites pattes, mais pourtant une très grande force ! Moi, avec tout mon courage, je suis un Serdaigle, et non pas un Serpentard, donc je ne me tape pas la causette, et je sors ma baguette ! Je suis prêt à faire face à cet horrible petite bête ! Elle charge sur moi, j'évite, c'était une feinte, coup de pied dans les fesses ! Ah ça fait très mal ! Mais je ne pleure pas de douleur ! Alors je tend ma baguette vers le Lutin, et je dis, d'une haute et très intelligible voix : - Stupéfix !Je me vois déjà victorieux, en train de marcher sur la tète du Lutin.. mais au lieu de produire un beau jet rouge, ma baguette n'a crée que quelques étincelles rougeâtres, et encore ! Je n'avais donc pas le niveau, c'est ce dont je me suis rendu compte ! J'ai réfléchi à toute vitesse à un sort capable de défaire le Lutin, et là, miracle ! J'en ai trouvé un ! Mais je ne le maîtrisais pas assez ! Mais je l'ai quand même essayé, parce que : "Qui ne tente rien, n'a rien !"- Pétrificus Totalus !Le Lutin l'a r'çu de plein fouet le p'tit sort que je maîtrisais pas ! Mais j'ai mal visé, alors il est tombé sur mon crâne. J'ai senti une douleur cuisante. Je suis tombé, évanoui. Je me suis réveillé, et j'ai vu le lutin, en train de s'enfuir ! J'étais victorieux ! ( Tiens ? 'en pleure de bonheur ! ) et là, je vais vers le coffre...je l'ouvre...et dedans se trouve : deux chocogrenouilles ! J'ai risqué ma vie pour du chocolat ? Jonathan tout souriant, regarda son chef d'oeuvre. Il attendit la fin du devoir. Parce que lui, avait déjà fini ! |
| | | Althea Belrin Personnage Inactif
Nombre de messages : 858 Age : 33 Maison : Gryffondor Année : 6ème année Gain de Gallions : 19711 Date d'inscription : 26/11/2006
| Sujet: Re: Le Devoir surveillé. Sam 28 Avr 2007 - 11:04 | |
| Althéa regardait le devoir que Rogue leur avait si gentiment donné. Il était question de trésor, du diable… Elle secoua la tête. Bon, si elle voulait gagner quelques points, elle devait si mettre. Elle relut le texte, histoire d’essayer de le comprendre. Mais, voilà : cette histoire de diable ne lui convenait pas. C’était vraiment trop simple d’expliquer comme cela ! Et elle n’était pas sorcière pour rien. Althéa vit donc après avoir quand même réfléchit un petit moment à la question qui avait put se faire passer pour cet étrange personnage. Mais elle interrompit ses réflexions. Elle verrait cela en temps voulu, pour l’instant elle devait si mettre. Elle rangea donc son livre et ses cours et se saisit de sa plume. Elle posa ensuite son parchemin sur son bureau. Puis elle commença à griffonner dessus ses réponses. Elle arriva alors tant bien que mal à la dernière question. En la lisant, Althéa faillit soupirer bruyamment. Elle devait imaginer et dieu sait qu'aujourd'hui elle avait la tête sur la lune. Heureusement, elle se retint juste avant mais ne put s'empêcher de grimacer. Et bien, si elle voulait terminer à temps, il fallait qu'elle continue ! Elle reprit donc tout son bazar qu'elle tira un peu plus près d'elle. Elle relut une dernière fois la question pour bien se la mettre en tête. Il ne fallait pas faire de hors sujet ! - le "cher" professeur a écrit:
3. Vous partez à la recherche du trésor et vous retrouvez face à ce "diable". Racontez votre périple en incluant les entraves que vous utilisez. Puis Althéa commença. Sa plume crissait légèrement sur sa feuille au grès de son inspiration. Et même si celle-ci n'était pas dans son plus haut niveau, Althéa écrivait. Elle laissait sa main voletée sur le parchemin. Elle adorait imaginer et ce ne serait pas maintenant qu'elle flanchirait. Rogue aurait son devoir dans les temps et complètement complété. Elle décida d’abord de poser le cadre et se choisit aventurière. Bien sûr, elle était alors courageuse, intrépide, et avant tout : curieuse. Elle avait entendu dire qu’un immense et considérable trésor était enfermé sous le château de Baugé dans les souterrains. La jeune aventurière qu’elle était dans ce devoir décida aussitôt d’y aller… Quand j’avais entendu parler de ce trésor, je ne n’avais pas pu m’empêcher d’y penser toute la journée et toute la nuit. Au matin, j’avais pris une décision claire et nette : j’irais à sa recherche. Mais avant tout, même si je ne rêvais que de me trouver devant tous les monts et merveilles qui m’attendait assurément, je décidais d’aller à a pêche aux renseignements. Un moldu que je ne connaissais pas m’appris qu’il avait aperçut un jour un petit homme aux oreilles pointus et tout noir… comme les enfers, m’assurait-il. Pourtant, il n’avait jamais du voir ces lieux et je m’interrogeais sur la vérité de ses paroles. Pourtant, le même discours me revint aux oreilles par deux autres moldus qui étaient comme le premier parti en courant en croyant avoir à faire au diable. Je finis par me convaincre que ces personnes disaient la vérité… Mais comme ils l’avaient perçut.
Dans ma qualité de jeune sorcière, je devinais tout de suite en y réfléchissant un peu, qu’elle était la créature qui gardait ce trésor. Je me dirigeais pourtant à pas de loup vers l’entrée du souterrain. Arrivée devant la porte, je m’apprêtais au pire. Imaginez ma frayeur ! J’allais me retrouver devant un "diable" enragé ! Je repris ma respiration et mut par un mystérieux courage…
Je frappais à la porte.
Trois coups vif et précis. Il ne me restait plus qu’à attendre. Soudain, un petit homme très laid m’ouvrit. Je m’empêchait à grimacer et lui sourit poliment. Il avait la peau très sombre et les oreilles très grandes. Pas de doute, c’était bien mon diable. Il avait également un nez pointus qui me faisait penser à celui de ma grande tante. Il avait l’air renfrogné ce qui me fit vite ajouté pour ne pas être mise à la porte. - Bonjour monsieur. Je viens au sujet du trésor que vous gardez. Je voudrais à vrai dire essayez de vous le piquez mais voyez-vous, si vous en êtes si attaché, je doute de mes possibilités… Le petit "homme" me regarda d’un air impassible et me fit pourtant un petit signe de tête vers son logis. - Veuillez entrer jeune demoiselle. Ne soyez pas effrayez mais j’ai peur que vous vous méprenez. Il m’invita à regarder son intérieur. Ce que je vit était une pièce qui ruisselait sous l’or et les pierres précieuses. Un vrai trésor. Et un vrai supplice pour moi. Chaque germe précieuse était en effet intégrées à la roche. Impossible de le voler ni de s’en emparer ! Une larme de déception me coula le long de ma joue. J’avais résolu toutes les énigmes et pourtant, arrivée ici, rien ne pouvait me récompenser. C’est alors que le "diable" me prit la main pour m’emmener s’assoire.- Et bien !, me dit-il avec entrain. Cela fait bien longtemps que je n’ai pas eu de visite ! Pourquoi ne pas me raconter un peu les nouvelles du dehors ? Et échange, je vous servirais le thé.Je n’hésitais pas un instant. J’avais beau être courageuse et intrépide… J’avais beau adorer l’or plus que tout… J’étais surtout une incorrigible bavarde. Je m’installais donc sur une chaise et lui donnait des nouvelles du monde et des sorciers. Je passais un merveilleux après-midi et c’est heureuse que je repartis de chez lui en lui promettant de revenir…
En plus, il m’avait donné un rubis…Quand Althéa eut fini d'écrire, elle sourit fière d'elle. Il n'y avait pas son récit de sort jeté à tout va mais bon... Personne ne l’avait précisé donc elle était contente de ce qu’elle avait fait. Cela lui correspondait, c’était bien. Et puis, elle verrait plus tard si son professeur pensait de même… HJ: désolé de la longueur... |
| | | Lucille Orthosiphon Personnage Inactif
Nombre de messages : 170 Maison : Serdaigle Année : 1ère année Gain de Gallions : 19362 Date d'inscription : 22/03/2007
| Sujet: Re: Le Devoir surveillé. Sam 28 Avr 2007 - 15:03 | |
| Juste après avoir recopié les questions 1 et 2 sur sa feuille, Lucille s'attaqua à la 3me et dernière réponse de son devoir. Imaginez que vous partiez à la recherche du trésor de Baugé... L'idée plut à la petite Serdaigle, et sa plume coucha sur le parchemin les mots qu'elle n'osait prononcer.
*Euh... le diable m'attaquera-t-il ? Faudra-t-il que je riposte ?? Mmh, si j'en crois l'énoncé oui, donc que je réfléchisse...* se disait-elle cherchant la juste expression à employer pour faire de son devoir le plus parfait qui soit.
Trois points à rattraper ce n'est certes rien mais bon tout de même... Rogue y avait été un peu fort, ce n'était qu'une petite question de rien du tout...
*Arrête de penser à ça euh, tu vas encore pleurer...* se raisonna la fillette, qui commençait à mordiller le haut de sa plume. Une fort mauvaise idée, les plumes ne sont pas comme les stylos moldus... Elle recracha les poils qui chatouillaient son gosier, évitant son papier, et après s'être râclé la gorge reprit le fil de ses pensées.
"Il était une fois, dans un chateau français, un trésor gardé, par le diable incarné. La foule des badaux moldus venait de part le monde pour admirer les richesses que le démon gardait jalousement..."
*Moui un peu roman enfantin ce début... Bah un peu d'originalité ne fait de mal à personne. Tient, je vais même faire de moi la princesse d'un palais lointain, et tant pis si grincheux n'aime pas mes mots !* se disait-elle en relisant.
Elle leva les yeux sur le sablier, le temps coulait si vite... Il ne restait à la jeune enfant que quelques poignets de minutes pour achever son devoir, le relire et le corriger. Pas le temps pour un brouillon, il fallait laisser les mots sortir de ses pensées tel qu'ils le voulaient.
"Mais un jour, dans un lointain palais une jeune sorcière, prénommée Lucille, qui avait ouïe dire que le petit être avait ses faiblesses, se décida à aller l'affronter."
*Oh non, j'ai pas dit que j'étais une princesse... Rah je fais quoi je continue ou je recommence... Pfffff pas le temps de tout recopier, tant pis...*
"Notre jeune héroïne prit son cheval ailé et sa baguette de meurisier et s'enfuit à travers monts et vallées à la recherche du trésor caché."
Relisant son travail, elle constata qu'elle faisait de la prose en rimes. Le seigneur Rogue saurait-il apprécier ?
"On vit la chevauchée passer au delà des mers du sud, et remonter en direction de Baugé. Trois jours durant, elle chercha le chateau hanté, mais rien n'y faisait.
- Gourde que je suis, me serais-je perdue ?
Une demoiselle de son rang, car princesse elle était..." *Ouuuuuiiiii je l'ai casé !!*
"Une demoiselle de son rang, car princesse elle était, ne devait pas jurer, mais à quoi bon se retenir, les pensées non réfléchies sont souvent les plus honnêtes."
*Niark, ça veut rien dire ça... Allez Lucille on se resaisit...*
"Elle marcha encore un peu et trouva l'entrée d'un palais. De joie, elle sauta et dansa, oubliant le but premier de sa visite. Se calmant, elle frappa à la porte, et comme personne ne se montra, aussitôt elle entra. Elle appela en vain, cherchant l'hote des lieux... A part de vieille tapisseries mités, des gargouilles décrépites qu'on avait déposé à l'intérieur car de dehors elles ne faisaient plus peur, la jolie demoiselle ne trouva rien. Mais au détour d'un chemin...
- Troll, c'est bien ma vaine, je venais chercher un lutin à empâler..., prononça-t-elle en se sentant épiée.
C'était en effet le petit homme du palais, qui se croyant menacé bondit au devant de la jeune héritière. Fichtre qu'il était laid. N'hésitant pas un seul instant, la douce enfantt avait sorti sa baguette et le regard glacé visait le gnome hérissé.
- Hé là mon ami, prend garde à mon arme, elle est plus terrible que ton charme... lui dit-elle menaçante.
Et le gardien du trésor, fâché de l'arrogance de la fillette sortit, d'on ne sait où, une baguette de chêne millénaire. Le combat s'engagea. A coup de Stupefix, d'Avifors et autres sortilèges du même acabit, Lucille et son adversaire combatèrent des heures entières.
Resté enfermé depuis des années, le diable de Baugé n'en était pas moins un bon dueliste. Maintes et maintes fois il avait atteint la frêle princesse, sans jamais la blesser véritablement. Puis, la petite sorcière, prise d'une idée de génie, brandit sa baguette en direction du gnome et lança un Incarcerem. Le diablotin se trouvant entravé, sa rivale lui demanda où était le trésor. Curieusement, il répondit sans détour, et l'enfant fit de même, sans détour elle se rendit au lieu proposé.
Il y avait une profusion de diamants, de pierres précieuses... L'éclat de leur beauté en était aveuglant. Posant sa baguette pour en admirer la texture, Lucille s'avança vers ce qui semblait être un cercueil... Oui, elle se souvenait... Le trésor, ces êtres... Cupides, ils volaient aux nains les pierres qu'ils avaient et se faisaient enterrer avec. Le chateau de Baugé serait-il en réalité une crypte ?
Alors qu'elle se demandait si elle n'était pas en train de profaner une voix nasillarde résonna dans ses oreilles. Pas le temps de se retourner qu'un éclair doré vint traverser sa poitrine. Non, il n'y avait pas qu'un seul gardien mais bien une famille entière. Elle avait ligoté le père, elle venait d'être tuée par la mère.
Moralité : Si tu dois te battre pour un trésor, prend garde au loup qui dort."
Oubliant quelques détails sur le diable à vaincre, Lucille se dit que de toute manière si elle n'avait pas parlé du nez de l'individu, ni du fait qu'il aimait les richesses, si elle avait supposé celui-ci immortel sans envisager comme dans sa rédaction qu'ils étaient plusieurs, son professeur devait le savoir, lui, et donc aviserait.
Il ne restait plus que quelques secondes avant la fin de l'heure. La Serdaigle étai ravie, elle avait terminé son devoir. Dommage qu'elle doive se faire mourir à la fin, mais bon voler n'était pas dans sa nature... Bien mal acquit ne profite jamais, voulait-elle ajouter mais le temps lui aurait manqué.
Dernière édition par le Lun 30 Avr 2007 - 18:44, édité 1 fois |
| | | Loevi Leroy Elève assidu
Nombre de messages : 273 Maison : Poufsouffle Année : 7ème année Gain de Gallions : 19292 Date d'inscription : 16/04/2007
| Sujet: Re: Le Devoir surveillé. Sam 28 Avr 2007 - 15:21 | |
| Loevi regardait les note écrites au tableau avec une perplexité non feinte. Une... étude de texte ? Allons bon, encore quelque chose qui ne lui apprendrait rien. Et en effet, le texte ne lui apprit pas grand-chose : c'était à eux de déterminer de quel genre de créature il s'agissait... Et tout cela en une heure. Elle allait devoir faire tourner ses méninges. Des bruits de plumes grattant le papier s'élevaient déjà. La jeune fille jeta quelques regards en coins aux élèves qui l'entouraient. Il y en avait qui plissaient le front sous l'effort de la réfléxion, certains se frottaient carrément la tempe avec l'extrémité de leurs plumes, d'autres fixaient le plafond comme si la réponse allait leur tomber sur le nez... D'autres encore avaient l'air de se moquer complètement du devoir - et de la note qui allait avec. Mais ce qui la rendait plus nerveuse que tout, c'était ceux qui avaient commencé à écrire à peine le tableau rempli... Et, un peu plus loin, Mark... La simple vision de son visage lui redonna du courage, et surtout de la volonté. Cette fois, elle allait le surpasser. Elle ne pouvait pas rester dans son ombre éternellement ; et une part d'elle voulait qu'il la remarque. Elle resserra sa prise autour de sa plume et écrivit sur son parchemin. Nom, prénom, maison, année... Un titre pour l'extrait ? Elle mordilla l'extrémité de sa plume en réfléchissant. Puis sourit en trouvant son idée. " Le petit diable de Baugé", nota-t-elle brièvement. Ça manquait un peu d'originalité, songea-t-elle, mais ça n'était qu'un titre, après tout. Présenter le texte... Léger soupir. - Loevi a écrit:
L'extrait proposé est tiré du Guide de la France Mystérieuse, écrit sous la direction de René Alleau, et publié en 2005 aux éditions France Loisirs.
* Ça devrait suffire, pas besoin d'en faire des tonnes,* se dit-elle. En revanche, cette histoire de fiabilité la laissait dubitative. Que voulait dire Rogue par-là ? Que si ce livre avait été publié, en 1700 et des poussières, ils n'auraient pas pu y accorder crédit aussi facilement ? Indécise, elle décida de laisser la question en suspens pour l'instant. - Le professeur Rogue a écrit:
Connaissez vous cet auteur: oui -o non -o
* Euh... -n ?* se dit Loevi en écarquillant les yeux. Peu convaincue, elle nota la petite lettre sur son parchemin, et poursuivit. Expliquer des expressions ? De mieux en mieux. Elle passa dix bonnes minutes à réfléchir avant d'écrire ses réponses d'une main assurée. Simplissime. Grisée par cette victoire facile, elle relut la question suivante... et déchanta. On entrait là dans le vif du sujet. Bon, pas que décrire la créature soit difficile - tout était déjà dans le texte - mais elle doutait que la suite soit si simple. Elle reprit un peu d'assurance et écrivit ses premières réponses. Et les choses se corsèrent. - Le professeur Rogue a écrit:
Emettez des hypothèses quant à la nature de cette créature.
Bien bien bien. l'Extrémité de la plume retrouva les dents mordilleuses et couina en silence. Elle détestait quand Loevi réfléchissait... Elle n'avait pas autre chose à grignoter ? Elle n'avait qu'à prendre des bonbons avec elle, si elle avait si faim... Mais personne n'écoute jamais les plumes, après tout. Alors... Petit, sombre, et avec des oreilles pointues... Un Asura ? Cette petite bestiole très intelligente mais terriblement arrogante ? Que ferait-elle dans un endroit pareil ? Amusée par sa propre bêtise, Loevi secoua la tête en souriant, et parvint enfin à répondre correctement à la question. Prise dans son élan, elle boucla le reste. Ne restait alors plus que la dernière question... la pire. Par acquis de conscience, Loevi jeta un regard au sablier : les trois-quarts du temps s'était déjà écoulés. Aïe. Sa plume s'en souviendrait toute sa vie durant. La Poufsouffle serra les dents et commença à rédiger à toute allure, les idées venant au fur et à mesure. - Loevi a écrit:
Tout commença dans la grand-cave du voisin, S'y trouvait perdu entre les tonneaux de vin Un livre à la reliure poussiéreuse Nommé Guide de la France Mystérieuse. J'y trouvai le petit diable de Baugé, Bravement décidai d'aller l'en déloger.
Arrivée sur place quelle ne fut pas ma surprise De découvrir devant l'entrée la créature Petite, à grandes oreilles et à la peau grise, L'Asura comme dans mes livres de lecture.
Diablotin gardant l'entrée ne laisse pas le temps, Déjà bras levés se prépare à l'offensive, Mais ma baguette est sortie précipitamment "Aguamenti !" a lancé ma voix incisive.
Notez qu'il est de notoriété commune Que les Asura partagent avec les chats une Phobie de l'eau, et des sorts finissant en A. Le trésor est abandonné par l'Asura, Coffre plein de pierres amassées au long des mois, Trésor des Asura... Et je rentre chez moi.
Loevi sourit, fière d'elle-même. Elle s'était surpassée ! Nul doute que Rogue allait apprécier un tel étalage de talent... Attendez... Rogue ? Elle se prit la tête dans les mains. Catastrophe ! Jamais Rogue ne lui mettrai une bonne note pour un concentré de rimes... Et le sablier lui indiquait qu'elle n'avait pas même le temps de corriger les fautes d'inattention... Malheur. Mark aurait sans aucun doute une meilleure note qu'elle. Elle rangea sa plume en soupirant et jeta un nouveau regard autour d'elle. Entre ceux qui avaient fini depuis longtemps et ceux qui se pressaient pour terminer leur copie avant la fin du temps imparti, l'heure était à l'agitation. Nouveau soupir. Elle attendit que la dernière minute passe, oubliant sa question laissée en suspens... |
| | | Mark Resnald Elève modèle
Nombre de messages : 636 Age : 39 Maison : Serpentard Année : 7ème année Gain de Gallions : 19444 Date d'inscription : 01/03/2007
| Sujet: Re: Le Devoir surveillé. Sam 28 Avr 2007 - 18:19 | |
| 3. Vous partez à la recherche du trésor et vous retrouvez face à ce "diable". Racontez votre périple en incluant les intraves que vous utilisez. L’entrée en cours sonnerait le glas pour Mark Resnald. En effet le Directeur de sa maison renommée avait prévu un devoir surveillé mais néanmoins commun. Il allait retrouver ceux des autres maisons. Pas l’ombre d’une chance semble-t-il. Il n’avait pas révisé et à quoi bon ? Il s’en sortirait toujours en faisant le minimum de travail. Mais connaissant le Professeur apathique qu’il avait, le devoir en question allait être salé. Et il devra faire en sorte que son poignet gauche tremble à la fin du devoir tant il aura écrit, et que sa plume le supplie d’arrêter. Or le Serpentard de 5ème année n’était point comme cela. Il se connaissait trop bien, il n’allait pas arrêter de rêvasser, regarder les autres tenter d’obtenir une bonne note malgré des efforts pour le moins incertains. Et quand bien même. Ils auront beau essayer, ils ne jouent pas leur pitoyable Vie. Si c’était le cas, ce serait encore bien risible. Et lui ça le faisait ricaner intérieurement. Assis au fond du cachot de son inestimable Professeur, il embrassa de son regard doré les étudiants présents, en tapotant du bout des doigts sur sa surface de travail. Bon nombre de bûcheurs, comme cela l’agace. Des collègues tout comme lui, des crissements de plume sur les divers parchemins, ça le débecte en même temps que cela aiguise son sens de la compétitivité. Mais il attendrait avant de composer ne serait-ce qu’un seul pouce de parchemin. Son regard s’arrêta farouchement, sur le dos d’une personne qu’il ne connaissait que trop bien. Elle avait été là durant toute son enfance après tout. Sa propre cousine Loevi, était donc là dans le cachot de Rogue, à quelques pas de lui ? Non, ce n’est pas un mirage. Une réalité qui fit faire un sourire goguenard à son possesseur. Allons donc ! Elle tenterait donc de le surpasser ? Aussi idiote soit-elle ? Elle n’était qu’une Poufsouffle à ses yeux, mais là, elle le surprenait à venir en terrain déjà conquis par son propre cousin. Soit, il allait s’amuser. La Rivalité entre les deux adolescents ne faisaient que commencer. Que l’excitation était à son comble chez Mark Resnald qui ne languissait qu’une seule chose et celle-ci était primordiale : l’inspiration. Mais là, il fallait se l’avouer il en manquait cruellement. Comble du comble ! Manque de chance, il était bien parti pourtant dans ses premières questions, questions qu’il avait remplies en un temps record. Ses bêtises l’avait inspiré…. Mais là, regarder ce qui se passait autour de lui, c’était bien mieux qu’un devoir qui était pour couronner le tout surveillé ! Soupir de lassitude et d’abattement, il n’était pas au bout de ses peines. Effondré sur son bureau, la plume dans l’une de ses mains gantées, il était en train de tirer au flanc. Pas grave, il remplira tout le paragraphe demandé à la hâte ! C’est une bonne idée, qu’il allait utiliser à bon escient. Si seulement….Si seulement il était encore dans son lit ou encore dans la Grande Salle à ingurgiter tout ce qu’il trouve. Bah ….non. 15 minutes s’étaient déjà écoulées, il n’avait rien produit. Le cerveau aussi vide qu’un Troll des Montagnes. La seule chose visible sur l’un de ses parchemins fut des gribouillis en plein centre de ce dernier. Des dessins, des formes géométriques ce qui ne ressemblait aucunement à un quelconque écrit. Ce qui le sortit de sa Torpeur créatrice fut….un troll de Serdaigle qui apparemment avait fini avant tout le monde. Il avait dû tout bâcler. Pas de soucis. Ensuite la Gryffondor, la Préfète. Bien. Et ensuite elle ! Cette gourde avait donc fini avant lui ? Se mordant les lèvres jusqu'au sang, il vit sur le Sablier sadique, les minutes de son manque d’inspiration qui allait lui coûter cher. 30 minutes….Pas le temps de réfléchir, empoignant fermement sa plume qui criait de douleur, il prit le premier morceau de parchemin qui passait par là, pas le gribouillé ça ferait mauvais genre après, et se mit à griffonner tel un possédé…..On the Parchment Journal de Mark Resnald. Page 1273. Exploration numéro : Hum je dirais la 269ème à quelques miles près. * Le matin, à 6 heures tapantes, on s’était permis de me faire un briefing sur le fameux " truc " que je devais trouver. On ne m’avait pas demandé mon avis. Mais je savais pertinemment qu’il y avait une bonne dose d’espèces sonnantes et trébuchantes à la clé. La seule chose qui est susceptible de me motiver en ce bas monde. C’est pas grande chose, mais je suis cupide et je l’assume. Il est bon de prendre en compte ses défauts et d’en faire des qualités. Mais au stade où j’en suis, c’est perdu d’avance. Enfin, arrêtons de déblatérer sur ma condition humaine et concentrons-nous sur le merveilleux exploit que je vais accomplir. Je ne sais même pas pourquoi, je fus choisi par de tels employeurs…. Mon charisme et mon sens de réflexion quant aux énigmes proposées et de me sortir de certains traquenards ? Je ne sais pas et je préfère ne pas savoir. Mais je sais qu’après un tel travail, je leur dirais les quatre vérités. Quelle idée ! A 6 heures du matin ! J’étais un Aventurier, certes mais pas un de ceux qu’on lève aux Aurores pour assouvir des recherches personnelles et perverses. Non, mais. Mais soit, je m’acclimate comme tout état de chose. Mais à mon retour. C’est décidé. Ils sont morts. Au loin les pensées atroces et antipathiques, je me lève du pied gauche et je me rétame dans mon lit de camp. Mais ce qu’on me propose comme voyage princier, c’est la France. La France ? J’y trouverais peut-être l’once d’une quelconque nourriture. Suite à cette pensée, je m’enfuis tout bonnement. A moi l’Argent, et la nourriture à flot, non c’est plutôt la rasade d’Alcool ça. Enfin, bref. J’annote des choses sur mon carnet noir. Autant sur la végétation que sur mes congénères humains. On en apprend tout les jours. Et je m’en instruirais toujours à les voir évoluer dans leur milieu naturel. Cependant, je ne savais pas ce que j’allais rencontrer et je ne préférais peut-être pas en entendre parler ?! Je verrais. Mais ma Conscience me disait que je n’aurais pas dû accepter. Inconsciemment je sentais que je m’en sortirais très énervé et non pas grandi dans cette épreuve. Et bien soit ! Je laisse parler les mauvaises langues fourchues….dont la mienne. J’y étais. Après une bonne et épuisante marche j’y étais. Sur le lieu, où j’allais gagner en estime et accroître ma popularité ! Certains avaient opté pour la douceur des vers, moi pour la rudesse de l’action. Je n’étais pas un jeune homme réfléchi quand il y avait tant de choses derrière une seule. Un Trésor. Ce serait magnifique. Parfait pour ma petite cagnotte personnelle. Je me mis à ricaner sur le chemin du sentier, baguette de Sorcier en main, boussole, astrolabe et carte précise en main. Un coup de vent, je m’arrête. Et un ricanement qui fait écho au mien. Serais-je suivi ? Impossible ! Il ne peut en être autrement…. Je le supprimerais ce gueux, si par malheur il s’empare de tout ceci avant moi. Aucune pitié et encore moins de compassion si par malheur il se blesse dans l’effort qu’il devra fournir. Et si par hasard c’était une femme ? De viles tentatrices, mais je résisterais… Mais vu le rire encore nasillard, je la plains la pauvre. Car la beauté ne doit pas être fonction première chez elle. Je me calme et je continue progressivement sans me presser. La surface est meuble, il a plu dernièrement. Mes empreintes seront bien trop visibles. Mais je ne peux y faire attention, je n’ai qu’un objectif en tête : le trouver. Lui et lui seul. La carte m’indique un point précis. Je le fixe derrière mes lunettes à fine monture argentée. J’ai trouvé. C’est ici. Encore ce même rire qui m’accompagne. Il n’arrêtera donc jamais de me bousiller les oreilles ce vil gredin ? Un coup d’œil rapide me le fit entrevoir. Je plisse mon regard doré et je reconnais cette chose qui doit se rire de moi. Un Farfadet, pas plus grand que 50 centimètres et préférant rendre maboul un Mark Resnald perdu en pleine cambrousse….française. Il me fit un signe avec sa main ornée de gants verts, il m’intime de le suivre. Je tente le Diable oui ou non ? Il semblerait que oui, car mes jambes se mettent en marche avant mon cerveau. Je le suis. Mais je reste sur mes gardes, le gant de cuir noir sur ma baguette. J’atterris au centre d’une pièce sombre et remplie d’humidité. Je me mets à éternuer. La poussière visiblement et une vilaine odeur de Souffre. Un traquenard ? Cette bestiole avec un cerveau de pois chiche m’aurait donc piégé ? Je me ressaisis et je ne montre pas mon trouble à cette dernière qui pourrait l’utiliser contre moi. J’attends. C’est donc avec une extrême précision que je regarde tout les gestes auxquels j’assiste. Il aime me faire languir, mais je vais lui faire payer. Encore ce ricanement. Ce Diable m’aura certainement à la fin. Il me rendra fou à lier. Ma baguette me démange, mais je dois résister. Quelque chose attire mon regard. Un coffre en bois précieux posé sur une pierre froide. Je veux m’approcher, mais il le garde farouchement tel un Cerbère. Je n’en ai cure. Je passe en force. Écrasant au passage le pied de ce garnement qui peste de plus belle avec sa voix nasillarde. - Je ne suis pas là pour faire partie du décor ! Je garde mon inestimable Trésor ! me rétorqua-t-il d’un ton courroucé. Tout en faisant des gestes obscènes dont je ne citerais point la signification ici. Je note sur mon carnet : " Farfadet : espèce très susceptible quand on lui marche sur le pied " . Je ferme mon carnet d’une main sans rien dire. Trop occupé à tenter d’ouvrir le coffre. Le crocheter ? Je n’ai pas d’épingles sous la main. Vu comme il me regarde, la perspective d’une énigme n’est point à exclure. Je le vis croiser les bras et tenter de me surpasser niveau taille. Mais l’idiot, il en était vraiment loin. - Tu m’as l’air bien intelligent jeune homme. Pour ce faire je vais te tester. Une Énigme dans la plus pure des traditions. Alors écoute attentivement, je ne me répèterais pas. Tout ceci pour avoir le loisir d’accéder à l’ouverture de ce coffre que tu convoites tant. Il parle toutes les langues sans en comprendre aucune. Il loge dans les hauteurs, mais jamais dans les dunes. Il faut bien se garder de lui faire confiance. Car il va répéter la moindre confidence. Tu as seulement une minute pour trouver la réponse exacte.Seulement une minute pour trouver la seule solution ? Il était fou ce gringalet. Mais il ne faisait que de me fixer avec ses yeux perçants. Et moi qui croyait que j’allais jeter des sorts sur tout ce qui traîne. Non, je me retrouve devant une énigme et pas une des plus faciles. L’idée première fut de rebrousser chemin et de partir sans demander mon reste. Mais non, je n’étais pas si pleutre et j’allais affronter le feu par le feu ! Soit, j’y répondrais à ce piège verbal. Mais la première solution qui me vint à l’esprit fut le Vent. Mais c’était bien trop facile, face à la question posée. Je me tâtais et faisais en sorte d’activer mes méninges. Le Farfadet n’arrêtait pas de me dire le temps qu’il me restait et de pouffer de rire. En disant qu’il s’était trompé sur mes capacités intellectuelles. Peut-être, peut-être pas. Un éclair de génie, comme ceux qu’on a pas souvent, mais quand ils arrivent, on les bénit ! D’une voix de stentor je me mis à proclamer dans le souterrain poussiéreux .- Un écho ! C’est un écho la fichue réponse ! Vu le regard qu’il me lança, c’était cela ! Il me tendit la clé d’un air énervé. Mais j’avais vite laissé la place à l’indifférence la plus totale et à la Liesse qui s’échappait par tout les pores de ma peau. M’emparant fébrilement de la clé qui laisserait découvrir un tel Trésor, j’ouvris en un clic le cadenas de ce splendide coffre. Un sourire ornait mes traits durant son ouverture. Combien y’avait-il de pièces d’or ? J’allais sûrement en empocher un maximum ! Hilare au possible, je me mis à déchanter quand je découvris l’horrible secret qu’il recelait….. Et pour cause, il était aussi vide qu’un Trou noir. Je m’étais fait avoir en beauté. Le farfadet se mit encore à se payer ma poire. En même temps il avait raison. Me faire si facilement duper, par un être qui dépasse à peine mon chat et mon Elfe de Maison, ça me mettait hors de moi ! Il venait de se cacher, mais mon regard doré avait pu percevoir les moindres petits mouvements de ce sale rat. Je m’étais habitué à l’obscurité. Il allait payer le prix fort. J’avais tout prévu. Une gâterie faite de miel, que je déposais à quelques centimètres de ma propre personne. Il ne pouvait y résister. Je le vis se précipiter dessus. Ma baguette en ébène se pointa juste à l’emplacement de son cœur et c’est donc avec un fou rire de dément que je mis à lancer…. - Avada Kedavra. Avec tout mon flegme.Résultat des courses. Un Farfadet mort sur le coup. Pas grave, ils en trouveront un autre. Ca pullulait ces choses là dans la forêt. Pourtant il devait bien y avoir un sens caché à ce qu’il n’y ait rien. Ou sinon il était trop troll…. Ce devait être la meilleure explication. Le coffre en bois précieux sous le bras, je sortis sans aucun remords. A quoi bon ? J’en tirerais peut-être un bon prix dans un Marché Sorcier. Sur le chemin du retour je me mis à émettre certaines hypothèses. Et si tout ceci avait un sens philosophique ? *
Voilà. La plume posée à côté de son parchemin, il avait fini. Sa main gauche en avait pâtie. Se secouant le poignet et le massant sans un mot, il vit le Sablier égrener ses derniers grains de sable. Il avait fini à temps. Dans les temps. Severus Rogue en serait-il heureux de ce devoir ?! Mark Resnald avait pu comprendre que son Professeur voulait de l’imagination. Il allait être servi. Mais le Serpentard de 5ème année était de ce fait épuisé. Trop épuisé, son encéphale était en train de fumer durement et il avait les crocs comme on dit dans le parler populaire. La note ? Il verra en fonction de sa production. Lui, dans tout les cas il en était fier. Peut-être avait-il forcé quelque peu en mettant un Sortilège Impardonnable à la place d’un autre demandé ? Au moins il était débarrassé de cette fichue chose…. Tête la première, il retomba sur son espace de travail, parmi sa plume qui n’en finissait pas d’en pâtir, ses parchemins qui se mirent à voleter dans tout les sens et….il n’avait envie que d’une seule chose : sortir de cet espace confiné de travail !
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| | | Ehlana Kalten Lèche-Botte Préférée de JLI
Nombre de messages : 852 Age : 35 Maison : Serdaigle Année : 5ème année Gain de Gallions : 20380 Date d'inscription : 26/05/2006
| Sujet: Re: Le Devoir surveillé. Lun 30 Avr 2007 - 16:44 | |
| - Citation :
- 3. Vous partez à la recherche du trésor et vous retrouvez face à ce "diable". Racontez votre périple en incluant les intraves que vous utilisez.
Dernière partie du devoir: le texte d'invention.* Déjà moi j'y crois pas et j'aime pas les trésors alors ça sera "elle" mon personnage principal et si l'est pas content ben tant pis, na ! * Avec sa plus belle plume, la Serdaigle commença à rédiger son histoire ..._________________________ Sous l'embrasement de l'horizon par le soleil couchant se détacher fièrement le château, lieu de la prochaine mission de notre fière avanturière. Mais un obstacle imprévu lui coupait la route, cet obstacle n'était autre qu'une haie immense de ronce. Mais contrairement aux ronces communes, celles ci étaient ... bleues à pois roses. Rien ne l'avait préparer à devoir faire face à une nouvelle variété de plante et elle se promit in peto d'en parler à un spécialiste. S'approchant un peu plus du rempart naturel qu'était les ronces, elle remarqua qu'elles n'avaient aucunes épines et que tout était en faîte très lisse. Seul problème: les lianes étaient si serrées que ce n'était même pas la peine d'essayer de passer à travers. Seule solution: se créer une ouverture. Braquant sa baguette vers l'obstacle à abattre, elle lança le premier sort qui lui semblait apte à débrouissaller la verdure: Incendio.
Dans un bel ensemble, les flammes se mirent à lécher les ronces, les carbonisant jusqu'à ce qu'il n'en reste qu'un petit tas de cendre. Elle stoppa le sort avec un "Aguamenti".
* Beaucoup plus esthétique *
Se tenait maintenant une arche végétale, qui permettait le passage des Hommes vers le château. Somme toute, elle avait accomplis une bonne action. Les badauds pourraient enfin visiter le château et se perdre dans les couloirs avec au coeur la légende d'un "trésor inestimable" qui aurait disparu d'ici là, grâce à notre aventurière.
Traversant l'allée, notre exploratrice en herbe entra dans le château et parcourut les dédales de couloirs criant à tue tête: "Oyez ! Y a quelqu'un ???". Quelle ne fut pas sa surprise en voyant un gnome repoussant se matérialiser devant ses yeux ébahis. Le petit bonhomme avait un accoutrement passablement bizarre: il portait une robe jaune joncquille et une coiffe qui devait dater du 16ème siècle à vue de nez. Dessous on pouvait voir un entrelacement compliquer de boucle blonde qui tirait sur le gris. Le repoussant bonhomme ne devait pas connaître les baquets d'eau pour se laver. Mais sa stupéfaction ne connut plus de borne en l'entendant lui énoncer les conditions pour mettre la main sur le trésor.Noble dame, je te salue. Je me présente: La belle au bois pas-dormant. Cela fait 100 ans qu'une malédiction pèse sur mes épaules et toi seule qui a réussit à entrer ici peut m'en libérer.Je ne vous raconte pas l'état dans lequel cette annonce mit l'aventurière. En plus de ça, l'affreux gnome avait une voix caverneuse qui lui faisait hérisser l'épiderme tellement cela lui écorchait ses fragiles oreilles.A l'âge de 16 ans, la vieille sorcière Eurog me jeta une malédiction car elle était jalouse de ma beauté * * et de ma position sociale. Cette malédiction me condamnait à rester enfermer dans mon château sans dormir. Seul le baiser de la personne qui serait capable d'entrer ici pourrait la lever. Cette personne serait récompensé par un "trésor inestimable".Cachant mal son dégout quand à cette pratique, notre exploratrice conssentit de mauvaise grâce de libérer le princesse au bois pas-dormant de sa malédiction. De la force de ses courtes pattes, le gnome parcourut les couloirs jusqu'à une chambre à coucher au teinte bleu roi (là aussi cela tirait sur le gris) miteux. Notre princesse grimpa difficilement sur le lit, expliquant en même temps que cette mise en scène était "absoluement indispensable" pour la réussite de leur entreprise. Prise d'une nouvelle vague de dégoût, l'aventurière se dépécha de faire sa part avant que ses jambes ne fuient vitesse maximale et le reste de son corps en même temps. Elle posa 2 secondes ses lèvres sur celles du bonhomme avant de reculer précipitement.
Dans un grondement à réveiller les morts, le corps de la princesse se tordit pour se transformer en ... un homme ! Il avait garder de sa précédente forme les cheveux blonds et, comble de la malchance, cette voix caverneuse que l'aventurière ne pouvait supporter.
Malgré ce léger problème, ils se marrièrent et eurent beaucoup d'enfant._________________________ Finit ! La petite préféte reposa sa plume et contempla son travail. Elle adorait son remake de "La Belle au bois dormant". En espérant que cela aille à Rogue. |
| | | Evangeline Pendragon Elève trouvant ses marques
Nombre de messages : 186 Maison : Serdaigle Année : 6ème année Gain de Gallions : 19713 Date d'inscription : 25/11/2006
| Sujet: Re: Le Devoir surveillé. Mar 1 Mai 2007 - 14:16 | |
| Evangeline était dans une sortes de léthargie, d’un coté la peur l’animait d’un autre elle savait qu’elle ne devrait pas avoir peur ce n’était qu’un petit examen pas de quoi bien méchant.. Mais c’était Rogue qui l’orchestrait et cela changeait toute la donne. Car Rogue était très sévère et Evangelinne se demandait se qu’il leur avait concocter en tout cas pas de travaux pratiques cela est sure sinon elle n’aurait pas hier soir jusqu'à minuit lu frénétiquement tout les livres de défense contre les forces du mal qui était à sa porter.. Maudite qu’elle était elle avait oublier les livres sur les inférius et si c’était sur ce sujet qu’elle était interroger ? Bref Evangeline ne se sentirais bien que quand les feuilles soit distribué. Une feuille arriva soudain prés d’elle son parchemin à coté d’elle son encre et sa plume près d’elle. Evangeline la prit et son regard traversa la feuille elle lu frénétiquement toute les question en soupirant
*Ouf pas d’inferius je suis sauvé ! Moi qui croyait pouvoir m’attendre à ZE contrôle je suis soulagé !*
Evangeline deux fois plus détendus commences à répondre au question plus détendus au fur à mesure que le temps passais retrouvant sa vrai nature de Serdaigle.. Enfin elle posât la feuille délicatement sur la table un sourire au lèvre qui pourrait paraître sadique pour ceux qui ne la connaissait pas.. Mais ce sourire naquit quand Evangeline vu la dernière question :
3. Vous partez à la recherche du trésor et vous retrouvez face à ce "diable". Racontez votre périple en incluant les intraves que vous utilisez. (Entre 10 et 20 pouces de parchemins - lignes -, les septièmes années 25 pouces de parchemin)
Evangeline pensât :
*Une rencontre face au diable.. Assez comique, mais intéressant de la rédaction combiner à une récitation de n’autre savoir faire ingénieux pas mal !..*
Evangeline qui avais déjà trouver un titre pour sa rédaction commença sa copie tout en faisant attention à son orthographe..
A la recherche du trésor cacher !
Pendant une nuit étoilé Evangeline qui regardait au loin vit soudain une étoile filante. Elle était chez elle il faisait nuit minuits sonnait. A la pendule du village. Mais Evangeline n’était pas endormis et regardait au loin. Quand l’étoile filante passa elle avait fait un une vœu qui lui tenait particulièrement à cœur.. Elle prit quand même son livre d’astronomie pour voir à quel étoile venait de passer quand soudain l’étoile tombât. Evangeline ouvrit doucement la porte de sa chambre et passa devant celle de son frère sur la pointe des pieds. Prudemment elle prit son éclair de feu qui était dans un placard. Et s’envolât elle survolât la forêt. Qui s ‘entendait sous ses pieds elle avait sa baguette dans les mains. Quand soudain elle vit des voleurs qui avait des sortes de petites lampes qui faisait de la lumière..
*Sûrement des pilleurs de tombes.. Mais quelle tombe ?*
Quand soudain Evangeline vit un grand château soudain des souvenir lui revinrent en mémoire elle connaissait se château une vielle légende française courait sur ce château. Un trésor considérable sommeillait dans ce château protéger par le diable lui même ! Evangeline sentait la douce brise du vent quand elle se posât . Sa baguette dans sa main droite et son kunai dans la main gauche. Les voleurs arrivait ils ne devait pas la repérer. Elle commenças à courir arrivât devant la porte du château et l’ouvrit la porte grinças et se refermât derrière elle. Elle levât sa baguette et murmurât :
« lumos ! »
Une lumière inondât la salle vide des armures était placé le long du mur. Evangeline se promenait quand soudain la porte qui était l’accé au sous sol arrivât devant elle. Un long escaliers en colimaçon s’entendait elle le descendis doucement mais sûrement , quand soudain elle entendis un hurlement strident. Elle courut son balais était attacher derrière son dos à l’aide d’un ruban qu’elle portait souvent. Elle vu le monstre qui avait crié sa peau noire et sa petite taille..
* C’était lui ! Le monstre décrit dans le livre moldu ? Vraiment les moldues sont des crétins .. Parfois *
Elle s’avançât et levât sa baguette tandis que le monstre se ruait vers elle près à la mordre. Et murmura comme pour elle :
« Inciendo »
Et le monstre prit feu et deviens un petit tas de cendre à ses pieds.. Elle avait réussi le combat n’avais pas durée longtemps.. Elle s’avançait et vit le trésor inestimable. Des rubis des diamants mais pas d’argents.. Elle prit un poigné de diamants. Puis les reposants cela ne l’appartenait pas elle n’avait pas à prendre se qui appartenais à autrui. Quand soudain elle vit au milieu des cendre qui c’était rependu un petit carnet en cuir. Une histoire était raconté c’était l’histoire d’une jeune fille qui était morte de chagrin à cause de son fiancé qui n’était jamais revenu la rechercher. Il s’était promis l’un et l’autre de vivre ensemble et mourir ensemble. Evangeline s’avança vers deux portes qui sous le poids des diamants et du jade avait été sceller. Et d’un coup de pieds rageur d’ont elle à le secret le sfit sauter. Et quand la première porte s’ouvrit une odeur de décomposition l prit à la gorge et elle vit le cadavre d’un jeune homme sûrement tué par le monstre le fiancé de la princesse.. Elle pouvais encore l’attendre longtemps.. La deuxième porte ne s’ouvrit pas facilement alors Evangeline murmurât :
« Alhomora ! »
Et la porte s’ouvrit laissant voir un cercueil en cristal.. Une belle jeune fille reposait dedans.. Evangeline posat sa main sur le cercueil. Elle ne pouvais malheuresement rien faire et si ? Elle cria de toute ses force :
« Anima !!!!!!!!!!!!!! »
Mais rien ne se produisit elle se retournât prête à quitter la pièce quand elle entendis un grincement. La princesse s’échappait doucement de son cercueil posât sa main sur son épaule et lui susurra :
« Merci.. Maintenant je peux mourir en paix »
Elle regardât la porte qui était entrouverte et qui montrait son fiancé.. Au fond elle savais elle regardât Evangeline une dernière fois et prit son kunai qu’elle lui avait subtiliser et se l’enfonça dans le cœur.. Evangeline ne sachant que faire la prit dans ses bras et tenta de la réanimer.. Mais la princesse était morte elle laissât tomber son corps se leva prit son balais regarda une dernière fois le couple et vit leur deux sourires illuminer le château et il disparurent.. Evangeline enfourchant son balais et vu que le trésor avait disparut seul souvenir de cet aventure le carnet qu’elle conservais.. Le trésor inestimable était sûrement leur amour éternelle qui n’avait avec les siècles passer pas flétrit..
Evangeline posat sa plume elle avait mal au poignet aussi mal que si elle avait joué avec la batte de Sakura et l’avait fait tomber sur son poignet.. Elle regarda les autres.. En se demandant ce qu’en penserait Rogue.. |
| | | Mélusine McEwan Administrateur
Nombre de messages : 1655 Age : 39 Maison : Ancienne Gryffondor Gain de Gallions : 20103 Date d'inscription : 02/10/2006
| Sujet: Re: Le Devoir surveillé. Jeu 3 Mai 2007 - 18:10 | |
| Que du bonheur...Une heure de silence et un devoir à faire... Dans l'ambiance sinistre du cours de Rogue.... On avait connu journée plus palpitante! Bref... Après avoir répondu à la première partie du questionnaire, mélusine se concentra sur la question trois, non sans avoir jeté un regard sceptique au professeur. M'enfin, qui aurait l'idée d'essayer de subtiliser un trésor à ce genre de 'diable'...? Elle était folle mais quand même...
Soupçonnant malgré tout que cette prise de conscience ne serait pas approuvée par le professeur comme justification de non-réalisation d'exercicé -surtout après l'épisode des épouvantards-, la jeune fille lança son imagination sur les sentiers de la recherche... Falait trouver une bonne histoire... Elle ne pouvait certainement pas se permettre de demander la permission d'entrer à la créature, à moins de souhaiter expressement un deuxième 2/20.
Zyn reprit donc sa plume, la fit lentement tourner entre ses doigts avant de la tremper dans l'encre... Après tout, l'imagination, c'était son domaine, non? - Melle Mélusine McEwan a écrit:
- Arrivée près du château, grâce aux renseignements que m'avait fourni mon contact, je m'orientais tout naturellement vers la seule entrée connue à ce jour, ou du moins, la seule intéressante à mes yeux: l'entrée du souterrain. On m'avait conté que les sous-sols de cette demeure abritait un fabuleux trésor. Mais, alors que je m'attendais à une série d'obstacle de nature plus ou moins inconnue, me voilà devant une créature, impossible de ne pas la reconnaître. Nous l'appelerons Mr X.. Mr X. arborait un aspect, sans être menaçant, était tout de même assez rébarbatif. Peu de Moldus devaient oser et/ou avoir envie de s'aventurer au-delà de sa garde...
Simplement moi, j'avais envie de continuer... J'avais déjà prévu d'offrir une belle maison à ma mère avec l'argent du trésor... Ce genre de créature étant peu communicatif par nature, difficile d'engager la conversation, et je savais très bien que tous les discours argumentés du monde ne le convaincrait pas. Je fis donc mine d'avancer, et Mr X. arbora un air intimidant... Reculat de quelques pas, je haussais les épaules, faisant semblant d'abandonner...
Il me fallait donc trouver une autre solution. Je m'éloignais... Il me paraissait évident que j'allais être dans l'obligation d'utiliser la magie, et, les créatures de sa race ne détestait rien tant que la prétendue supériorité magique des sorciers sur eux... Je me camouflais dans un coin, et, ma baguette magique à la main, lançait un sortilège de confusion en informulé... Pas la peine d'attireer son attention... Fort heureusement, il n'eut pas l'air de se rendre compte de quoi que ce soit, et hormis un faible cillement, il n'eut aucun réaction... Il faut aussi dire que je n'ai jamais réussi à jeter convenablement un sortilège de Confusion... Alors, en informulé...
Je me suis donc reculée un peu plus.... Il me fallait une autre technique...Dans l'urgence de la situation (le portoloin de cinq heures m'attendait), il fallait bien se résoudre à employer les méthodes les plus simples... retour aux sortilèges de base, peut-être moins claquant mais tout aussi efficace -plus même considérant ma capacité à lancer des sorts.. Je lançais donc un sortilège de stupéfixion, mi-informulé mi-murmuré... et surtout, très efficace... Mr X. ne vit pas le coup venir et s'écroula...
Je passeai rapidement devant lui et, me camouflant dans un coin, lançait à haute et intelligble voix -quel soulagement:
"Oubliettes"
Puis un autre sort, un ton plus bas:
"Enervatum"
Avant de m'enfuir en courant le plus silencieusement possible...
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| | | Pr. Xaël McEwan Modérateur
Nombre de messages : 276 Age : 37 Gain de Gallions : 19752 Date d'inscription : 17/11/2006
| Sujet: Re: Le Devoir surveillé. Ven 4 Mai 2007 - 16:14 | |
| Hj : merci professeur pour le délai accordé
Xaël arriva enfin à la question trois. Enfin quelque chose d'intéressant, se prit-il à penser . Il allait pouvoir laisser libre court à un de ses plus puissants talents : l'imagination . Partant au pays des Brumes tourbillonantes de sa conscience, il se vit arriver au château dont l'extrait parlait ...
[center]Vêtu d'une cape blanche, une entrée vers les souterrains est ouverte devant moi . Muni de ma baguette, je descend dans ce qui me fait penser à des catacombes ... Au détour d'une galerie, je perçois une entrée un peu plus loin sur le chemin que suivent mes pas . Balayant les derniers mètres à parcourir jusqu'à l'entrée véritable des souterrains, le faisceau de lumière projeté par ma baguette rencontre une créature aux oreilles pointues qui me regarde avec une défiance proche de l'hosilité . Ayant un bon mètre de plus qu'elle, je décide d'approcher. L'entendant marmoner des formules inaudibles en remuant des mains, je m'arrête nette . Faisant volte face, je repart en courant : la créature cherchait à me tendre un piège par le bias d'un enchantement . Réfléchissant à comment procéder pour lui passer devant et pénétrer ses secrets gardés, je m'éloigne de quelques galleries, histoire de garder une distance entre elle et moi. Soudain, il me vient une idée : sortant une pierre de feu de ma poche ( j'en ai toujours sur moi ); je grave Tiwaz ( me dissimulant aux yeux des autres ) en un heaume d'invisibité. Sachant la créature suceptible de percer un tel sortilège, j'incante Mirioris ! Je repasse devant l'entrée : l'être est toujours là , il m'a vu et s'avance de bais vers moi. Aussitôt, je défais le foulard qui entourait alors ma pierre et m'avance vers lui, brandissant le charme devant moi. L'effet voulu se produit : il me perçoit en train de rebrousser chemin alors que je le dépasse ( rien ne vaut un bon sortilège miroir ! ). Arrivé derrière lui, je lui donne un puissant coup dans la nuque ( endroit sensible chez la créature ). Afin de parachever le tout, je lance contre lui un sort d'endormissement très efficece : Slepthorn ! Enfin, j'entreprends de lui fouiller en vue de trouver la ou les clés qu'il gardait sur lui et pouvant m'ouvrir les portes du souterrain ...[/center] |
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| Sujet: Re: Le Devoir surveillé. | |
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