Seul dans ce couloir si sombre

19h30.
Je venais tout juste de finir mon repas et maintenant je marchais en direction de la salle commune. Dans mes mains, je tenais mon livre de métamorphose et lisait un chapitre sur les métamorphomages. Un chapitre qui ne me passionait que très peu mais étant que le lendemain une interogation écrite était prévu, je préférais réviser pour ne pas faire baisser ma moyenne.

Je m'engageais dans un couloir un peu plus sombre que les autres sans pour autant lever le nez de mon livre. Je connaissais le chemin par coeur car depuis deux ans je le prenais tout les soirs.

Soudain, je percuta un élève. Il était bien plus grand que moi et je fus projeté sur le sol. Je me relevais rapidendement puis levais les yeux faire celui qui se trouvait devant moi...

Il s'avera que l'élève que je venais de percuter était une fille, de poufsouffle à en juger par son insigne que je pouvais distinguais malgré l'obscurité. Elle tendit sa main surement pour m'aider à me relever. Je la pris puis me levais. Je passais rapidement mais mains sur ma robe de sorcier pour enlever la poussiere puis regardais la fille.

-Ne t'inquietes pas, c'est de ma faute je ne regardais pas ou j'allais j'aurai du faire plus attention. Je suis désolé.

J'essayais de sourire malgré le fait que j'avais extrèmement honte de moi.

/Mais qu'est-ce que j'avais en tête ? Marcher dans un couloir de l'école sans regarder ou je vais. Ne perd pas ton sang froid face à une fille sinon tu vas paraître encor plus ridicule.

-Au fait je m'appelle Marvin Guber, élève à Serdaigle.

Marvin, c'était son nom, avait l'air embêter. Avant de répondre à sa question la jeune fille lança un sort pour allumer les flambeaux du couloir. Elle avait horreur de parler à quelqu'un sans pouvoir voir son visage. En l'espace d'une seconde le couloir devint plus clarteux et faisait moins froid dans le dos. Jo regarda son interlocuteur et ne pus s'empêcher de sourire. Il avait l'air un peu gêné, et sa gène et son jeune âge le rendait encore plus mignon. Pas que Jo pratiquait le détournement de mineur, mais le jeune homme lui rappelait son meilleur ami lorsqu'il avait son âge. Vraiment adorable cette petite frimousse. Il devait être en 1ere ou 2eme année.


- Je m'appelle Joséphine Campbell. Enfin appelle moi Jo, dit elle d'une voix douce.


Après un cour silence Jo reprit:


- Alors, tu allais où comme ça? Tu ne devrais pas trop te promener ici la nuit? Peeves aime faire ses sales coups dans cet endroit.

La jeune fille, qui s'appelait Jo, alluma les flambeaux du couloir et je pus voir son visage. Elle devait avoir quatre ou cinq ans de plus que moi. Elle me dis que Peeves trainait souvent par ici. Pour qui elle me prenait-elle ? Elle croyait que j'avais peur d'un simple esprit frapeur ? Bon je n'allais pas jusqu'à dire que faire sa rencontre en pleine nuit me réjouirais mais je n'avais pas peur pour autant de lui comme la plupart des élèves de mon age. J'avais l'impression qu'elle pensait que j'était incapable de me débrouille seul.
Elle me regardait comme si j'était son petit frère et me parlait comme si j'avais quatres ans. J'avais l'impression qu'elle pensait que j'était incapable de me débrouille seul. Si je n'aivais pas envie qu'elle me prenne dans ces bras et m'enmene avec elle, j'avais intérer à mettre les voiles rapidement. Je répondis à sa question:

J'allais à ma salle commune et d'ailleurs il ne faut pas que je tarde parcequ'il faut que je révise demain j'ai un controle de métamorphose.

Rapidement, je ramassais le livre qui était resté au sol.

En ce qui concerne Peeves, je n'ai pas vraiment peur de lui. Pour moi, c'est un fantome comme les autres...

Soudain, un fracas se fit entendre à l'autre bout du couloir. Je jetis un oeil et je vis qu'une armur marchait dans notre direction. Au début je crus que je révais mais je pensais à ce que venais de me dire Jo : Peeves trainait souvent par ici.

Euh.... Jo retourne toi et dis moi si tu vois la même chose que moi ...

Jo voyait autant que moi l'armure qui avançait dans notre direction. Cela me montrait que je n'étais pas fou. Alors que ma première réaction fut de reculer d'un pas, Jo elle, alla au devant de l'armure. Elle essaya d'abord la diplomatie en essayant de faire peur à Peeves en prétandant avoir une bonne relation avec le Baron Sanglant, le fantôme de la maison de Serpendard qui était le seul à part Dumbledore qui avait une quelquonque autorité sur cet esprits frapeur. Cette tentative fut sans succès.

-Euh franchement je crains que la diplomatie, ça ne marche pas avec Peeves...

Jo sortit sa baguette. Elle me demanda de faire de même. Un peux anxieux à l'idée de me battre avec un esprits frappeur, je sortit la mienne. Je posais mon sac contre le mur puis attendis que Jo lance son sorttilège. Elle utilisa le sortillège Stupefix. Bien que ce sortillège n'avait aucun effet sur les fantomes, cela suffit tout de même à désarticulé l'armur qui s'effondra sur le sol en pierre.
Peeves sortit des débris de l'armure en décrivant des grands cercle tout en ricanant. Il fallait que j'utilise un sort pour calmer ce rigolo à deux noises...

Bon alors Defence contre les forces du mal..... chapitre sur les ectoplasmes en tout genre....... raaa justement le chapitre qui ne m'a pas interessé l'année dernière bond essayons ce sort

Expeliarmus]

Un éclair rouge vif sortit de ma baguette et frappa Peeves au vol. Mais le sort de fit que rebondir sur lui et attérit sur un tableau qui prit feu. Son occupant, un noble a l'aspect sévère avait juste eu le temps de sauter dans le tableau voisin qui contenait un elfe de maison et un gobelin.

Au non pas ça si Rusard débarque je suis bon pour les oubliettes

Peeves riait et le noble du tableau me criait dessus. Je venais de me mettre dans un pétrein monumental.

Aguamenti

Lançais-je précipitament pour éteindre les flammes qui avait brulées plus de la moitiés du tableau.

Je suis désolé Jo mais en matiere d'esprits frappeur je ne mis connais pas très bien

Moi qui faisais le chevalier sans peur il y a un instant, j'étais bien embété à présent...

Jo laissa ensuite Marvin faire. Il lança un experliarmus sur Peeves qui rebondit et fit bruler un tableau...
Jo regarda le tableau bruler avec des gros yeux...

pense : un experliarmus peut faire ça?

Marvin essaya d'éteindre le feu au tableau puis il dit qu'il n'y connaissait pas grand chose en esprit frappeur.

Jo sembla sortir de sa trance et prit le serdaigle par le bras et le tira.

- T'occupe pas de Rusard. Viens j'ai une idée pour me débarasser de Peeves!

Elle couru dans les couloirs, tenant toujours Marvin par le bras et fuillant Peeves. Ce dernier les suivait mais pas aussi vite qu'ils couraient. Il s'amusait à tournoyer dans les airs en leur chantant que de toute façon il les retrouverait et que ça ne servait à rien de s'échapper. Jo tourna à un virage et se plaqua et Marvin en même temps contre le mur. jo se pencha sur le côté pour voir l'esprit frappeur arrivé, en laissant juste dépasser sa tête. Puis elle se tourna vers Marvin.

- Comme tu dois le savoir, Peeves a peur de Dumbledore et du Baron Sanglant. Malheureusement ... ils ne sont pas là... alors nous allons les amener à lui, dit elle l'oeil pétillant.

Jo jetta un regard autour d'elle. Elle entendait Peeves chanter et sa voix était de plus en plus prêt. Puis Jo tendit sa baguette vers un gros bloc de pierre sur lequel un feu brulait afin d'éclairer le couloir.

- Transfopersona, chuchota t elle.

Un sort violet frappa le bloc de pierre qui se transforma peu à peu en quelque chose qui prennait forme humaine et qui finallement s'avèra être une copie de Dumbledore.

Jo à la vue de la réussite e son sort fit un énorme sourire. Puis elle se tourna vers Marvin et lui chuchotta :

- Regarde la tête de Peeves quand il croira voir le vrai directeur!

Jo regarda le faux Dumbledore passer devant eux (il leur fit un clin d'oeil en passant) et se dirigea vers le couloir où se trouvait Peeves. Jo se pencha pour voir sa réaction. Quand l'esprit frappeur vit Dumbledore passer dans le couloir, il cessa de chanter. Le faux directeur s'approcha de Peeves et ce dernier devint encore plus pâle... si c'était possible... et cessa de voler dans tous les sens.¨Puis finallement, prit de peur, il fonca dans sol pour se cacher dans les étages inférieurs.
Au moment où il disparu le faux Dumbledore se remétamorphosa en bloc de pierre. Jo émit un petit rire.

- Ouf c'était moins une. A une seconde prêt s'était cuit. Tu étudiras ce sort en quatrième année.

Puis elle se redressa et regarda Marvin.

- On lui a fichu une sacrée frousse hein? dit elle l'oeil pétillant.

Jo pensait maintenant que la fuite était le meilleur moyen d'échaper à Peeves. Elle m'attrapa par le bras et m'enmena dans la direction opposé à Peeves sans faire attention au tableau que je venais de faire bruler. Elle couru le long du couloir et au premier virage, me plaqua contre le mur et me fit signe de ne plus bouger. Je n'avais aucune de ce qu'elle prevoyait. Quelques instants au paravant elle me trainait le long du couloir pour echapper à ce maudit esprit frappeur.
Elle me dit qu'elle avait l'intention d'amener le baron sanglant ou Dumbledore ici.

Franchement si elle a le pouvoir de faire ça.. je la respecte à vie

Jo regarda Peeves qui n'était plus qu'à une cinquentaines de metres de nous. Puis, elle brandit sa baguette vers un bloc de pierre. Elle prononça une formule que je ne connaissais pas. Soudain, le bloc se métamorphosa progressivement en un sosie assez bien réussi du directeur de Poudlard. Le sosie de Dumbledore s'avança majestueusement vers Peeves qui s'immobilisa imméfiatement à la vue du directeur.

-Eh on dirait que sa marche Jo ton sort... Peeves prend peur dis-je à voix basse en étouffants un rire.

Peeves recula légèrement puis plongea dans le sol pour echapper au directeur. Le sosie revint à sa place puis reprit la forme d'un bloc de pierre.
Jo parut fier d'elle puis me regarda en me disant que j'apprendrai le sortilège qu'elle venait d'utiliser en quatrième année.

Euh personellement je pense que c toi qui lui a foutu une raclée.. moi je n'ai réussi qu'a mettre feu à un tableau.

Je sourris malgré moi. Mais bon par respect je ne pouvais qu'avez que s'était Jo qui avait tout fait dans cette histoire.

En tout cas merci de ton aide. Je pense que j'aurai passer un sale quart d'heure si Peeves m'était tombé dessus seul dans ce couloir

Jo me sourit puis me dit que même si je n'avais rien fait, je n'était pas parti comme un lache en m'enfuyant à toutes jambes. Je lui rendit son sourire et rougis un peu malgré moi lorsqu'elle me dit qu'à mon age, elle aurait incapable de jeter un experliamus comme je venais de le faire. Elle me fit signe de la suivre. Elle m'emmena dans le couloir ou nous nous etions rencontré. Je ne savais pas ce qu'elle avait l'intention de faire dans ce couloir.

[i]Si Peeves revenait...[i]

Non pas que j'avais peur, mais bon je n'avais pas envie de revire cette experience surtout si j'était autant inutile que la dernière fois. Jo alla jusqu'au tableau que j'avais fait bruler quelques minutes plus tôt. Elle decrocha la toile clacinée puis me la tendit. Je la pris. J'était curieux de savoir ce que Jo avait en tête. En fouillant, dans son sac elle sortit une de ces propres toiles qu'elle avait peinte elle-même puis l'acrchocha au tableau. Elle me demanda ce que j'en pensais.

Franche Jo tu es très doué en peinture.

De plus, le noble avait l'impression de se plaire dans sa nouvelle toile. Tout était parfait mais si Rusard découvrait la supercherie, il faudrait que je fasse profil bas. Sur ce, je me promis de ne jamais repasser par ce couloir de si tôt au cas ou le noble me reconaisse et ce mette à crier sur les toit que j'avais détruit sa précédente toile.

Euh... si ça ne te dérenge pas, j'aimerais ne pas trop trainer par ici car si Rusard débarque, et que le noble me dénonce, bas je suis dans la bouse de dragons jusq'au cou

Jo me demanda ce qui me faisais penser que ce tableau venait d'elle. Il était vrai qu'elle n'avait rien dit sur son origine, mais j'avais penser que puisque la toile se trouvait dans son sac, s'était elle qui l'avais peinte. Mais bon après tout, je m'étais peut-être tromper. Peut-être que la toile avait été peinte de la main d'un ou d'une des amis de Jo.

Je pensais que...

Avant que je n'ai pu terminer ma phrase, elle dit qu'il n'était pas bon de s'attarder ici. Elle m'attrapa par le bras et me traina le long du couloir.

Elle recommence à me prendre pour son petit frère...

Comme si Jo venait de lire dans mes pensées, elle lacha mon bras et continua de marcher. Puis elle me demanda l'endroit ou je me rendais.

J'avais l'intention de me rendre dans ma salle commune dans quelques minutes, il serait interdits aux élèves de circuler dans les couloirs.

Instinctivement, je regardais ma montre et constatais avec horreur que j'aurais déjà du me trouver dans ma salle commune.

D'ailleurs j'ai deja du retard. Si Rusard me trouve, je suis bon pour une soirée de retenue