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| [Serdaigle] Clarence O'Malley - 5ème année (15 ans) | |
| Auteur | Message |
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Clarence O'Malley Personnage Inactif
Nombre de messages : 29 Maison : Serdaigle Année : 6ème année Gain de Gallions : 18162 Date d'inscription : 28/04/2008
| Sujet: [Serdaigle] Clarence O'Malley - 5ème année (15 ans) Mar 29 Avr 2008 - 17:00 | |
| 1/ Identité:
♣ Avatar que vous avez choisi: Curt Fortin ♣ Prénom: Clarence ♣ Nom: O'Malley ♣ Sexe: G ♣ Année d'intégration désirée: 5ème ♣ Nationalité/ville: double nationalité, Arubaise et Irlandaise. Il vit à Aruba. ♣ Parents: mère moldue, père sorcier ♣ Particularité quelconque ou lien avec un personnage du forum déjà existant: cousin germain d'Elliot O'Malley, petit ami de Japhet Cullen.
2/ Entrée à Poudlard:
Etre debout devant tout le monde comme ça... les yeux nous déshabillent, cherchent à détecter leurs futurs camarades de maison à travers un geste, une attitude, un regard. Je ne supporte pas. Je ne suis pas moi-même quand on me regarde trop fort.
La liste alphabétique défile. Le chapeau qui parle voit ses jugements arrosés de cris de joie à chaque fois qu'il rend son verdict. Quoi qu'il dise, ça met du monde content. C'est cool, j'aime bien les gens contents. Et puis pendant qu'ils s'extasient, ils oublient un moment ceux qui, comme moi, attendent encore leur tour et n'aiment pas trop qu'on les regarde trop fort.
Malgré mon teint hâlé, je rougis pas mal. Un. Deux. Trois. C'est le top maxi de secondes qu'on peut me regarder avant que je me transforme en tomate bégayante quand je ne connais pas quelqu'un ou quand on me demande de prendre publiquement la parole. Vous ça vous fait peut-être rire mais moi pas. C'est pour ça que j'aime bien les gens qui parlent. Pendant qu'ils parlent, moi je peux me taire et éviter de me ridiculiser publiquement.
Je sais parler, hein... c’est pas exactement ça le problème. Mais avec mon double accent craignos - espagnol et irlandais... si vous avez déjà entendu Elliot parler, sachez que, moi, c'est pareil mais en pire... - je triple-roule les "r" mais j'ai un vocabulaire moins épicé. Je complexe à mort sur ma diction alors j'évite d'empirer la situation en utilisant notre patois irlandais. Et c'est parce que je complexe vachement de pas pouvoir m'exprimer correctement que je bredouille plus que je fais des phrases audibles. Alors, pour que les autres économisent des vannes à mon sujet, je parle le moins possible... pour retarder la catastrophe. Mon cousin Elliot, c'est le premier à se foutre moi. Quand je lui dis "Que? Cé l'hôpital qui s'fout dé la charrrrrité! Tou té ontondu, toi, sale Irrrrlandais?" Il me fait: "Cool down, Clare, quand tu parles trop vite, ça me fait un infarctus de l'oreille et j'entends plus que les r." Argh! Sale Irlandais!
Malgré tout, j'arrive assez vite à me faire des relations. Je connais un peu de tout sur tout, ce qui m’ouvre l’esprit sur tout le monde, tous les types de caractères, les cultures, les avant-gardistes. Je suis plutôt un tolérant placide. Je m’en fais pas beaucoup, sauf pour ce qu’il s’agit de mon parlé. J'aime bien étudier et je m'y applique car je n'ai vraiment pas envie de finir pêcheur comme mon père. Je n’ai rien contre le poisson. J'adore cette odeur à force d’en être entouré. C'est celle de mon père qui revient de ses journées. Celle de ma mère qui nettoie son filet quand il rentre le soir. Seulement moi, j'aurais aimé sortir de mon village et voir le monde. Travailler comme avocat, comme dans les séries américaines, ou faire docteur Ross. J'aimerais bien être docteur Ross mais, d'après mon père, ça va être dur de devenir docteur Ross. Je pourrais devenir médicomage, à la place, m'a-t-il dit. Maintenant que je suis officiellement un sorcier, je dois plutôt envisager des métiers sorciers. Tant que je ne finis pas pêcheur ou tanneur, je suis partant pour n’importe quel métier. Mes parents sont assez d’accord pour que je ne fasse pas pêcheur mais ils auraient bien aimé que je travaille dans la politique. Ils disent que j’ai quelque chose de très fédérateur. Pour leur répondre, je hoche la tête... même si je ne sais pas ce que ça veut dire fédérateur.
Je n’ai pas perdu mon temps dans le train en venant ici. Je me suis fait pote avec deux garçons, dont un qui allait entrer en deuxième année, et une fille qui m'a raconté toute sa vie en long et en large. C'était facile d'être copain avec elle. Il fallait juste être là et faire des "ah?" et des "oh!", ça la satisfaisait. Les deux garçons n’ont pas tenu. Ils ont inventé qu’il allait chercher la dame au chariot pour acheter des friandises mais on ne les a jamais revu.
C’était bête de la fuir. Elle était vivante, elle parlait beaucoup mais elle était loin d’être stupide. Je pense qu’elle parlait plus à elle-même qu’à moi. Elle avait peur de sa rentrée et elle se rassurait. Ca la rendait touchante. J'avais l'impression d'être devenu son journal intime mais je me suis bien gardé de dire quoi que ce soit. Ma mère, elle dit que les filles, il faut pas les froisser car elles sont susceptibles. Vous allez me dire:"c'est quoi cette maman qui élève son fils dans de tels préjugés? En plus, c'est même pas vrai, je suis pas susceptible moi!" Ben déjà, si vous dites ça, non seulement vous êtes une fille mais en plus vous êtes susceptibles... Ma mère elle a toujours raison.
C'est pas comme mon père. Mon père c'est l'inverse... il a toujours tord. Enfin, d'après ma mère. Je ne vous raconte pas comme elle en prend un coup la figure d'autorité. Lui il dit qu'il s'en fout. Il dit: "ouais, ben quand elle viendra me faire les yeux doux pour que je lui étende le linge avec un sortilège, elle pourra aller voir dans La Planqua si j'y suis." Il dit ça mais je sais qu'il le fera quand même. Il l'aime. Elle l'aime aussi. Il est un poil macho mon papa mais avec une mère comme la mienne, ça lui est vite passé.
Quand les oreilles de ma mère sont loin ou quand je pars avec lui sur son bateau et qu’on est seul, qu’on peut avoir des discussions d’homme à petit homme, il me dit souvent: "Clarence, te laisse jamais faire par les bonnes femmes, elles sont pas croyables, moldues ou sorcières, elles ont toutes un mécanisme vicieux, un enchantement très répandu, qui se diffuse dans notre cerveau, à nous les hommes, et qui va pour nous rendre fous. Un homme, ça doit savoir ce qu’il veut, laisse pas les bonnes femmes te marcher sur les pieds." Alors, là, par contre vous allez me dire: "non mais c’est quoi ce papa qui élève son fils avec de tels idées préconçues? Viens que je te montre un peu si je suis une bonne femme moi, je vais te briser ton cerveau, tu vas pas comprendre..." Oh... si vous dites ça, c’est que... enfin. Je ne suis pas né scroutt. Je sais encore faire la part des choses entre les idéaux de mon papa et de ma maman. Pour faire plaisir à mon père, je lui dis que "oui."
Au fait, la Planqua c'est la maison abandonnée qu'on dit habitée par l'esprit de Macédo, un chaman mort mystérieusement. Il habitait près de la plage où je vis. Je vis à Aruba. Du soleil toute l'année. Cool, hein?
Mes parents ont déménagé juste avant ma naissance. Avant, ils habitaient non loin de chez mon oncle et ma tante, en Irlande. Le papa d'Elliot et mon papa sont frères. Ma mère qui a toujours raison et qui a pour métier d'être institutrice, a un jour eu l'opportunité de retourner dans son pays d'origine pour une place de maîtresse à l’école primaire. Mon père qui, à l'époque était au chômage, a accepté de la suivre. A Aruba, il s'est vite trouvé une place dans le village où on habitait. Il aidait les pêcheurs et un jour il a construit sa propre barque et c'était lui qui était chargé de transporter et de négocier le poisson jusqu'à Oranjestad. La capitale d'Aru.
Oh la, la,la... on arrive à O. O'Malley, Clarence. C'est moi. Je m'avance encouragé de loin par le regard de la fille qui parle tout le temps et qui est restée avec moi dans la barque et une fois arrivée dans cet endroit gigantesque, loin de la modicité des tentes et de cabanes de mon village.
Je la remercie pour son encouragement d’un mouvement entendu de la tête. Elle est assise à la table de Serdaigle. Je croise les doigts pour que, où qu’on m’envoie, nous restions amis.
L’un des garçons qui s’est enfui du compartiment pour aller chercher des friandises est aussi là avec moi. Il n’a pas encore été réparti. Il me souhaite bon courage. Je lui réponds à ses encouragements en bredouillant de l’espagnoglais. Il paraît soudain étonné. Je crois qu'il ne m'avait pas encore entendu parler. Par gentillesse, il ravale son étonnement et me sourit de plus belle, me promettant que tout va bien se passer. Mes parents m'ont dit la même chose sur le quai du train. Je ne l'ai pas fait mais j'avais envie de pleurer.
C'est la grande vie qui commence... et ce chapeau que tout le monde applaudit va décider de la première porte que je vais devoir pousser pour rentrer véritablement dans Poudlard. |
| | | Clarence O'Malley Personnage Inactif
Nombre de messages : 29 Maison : Serdaigle Année : 6ème année Gain de Gallions : 18162 Date d'inscription : 28/04/2008
| Sujet: Re: [Serdaigle] Clarence O'Malley - 5ème année (15 ans) Mar 29 Avr 2008 - 17:01 | |
| 3/ Quels sont les trois choses les plus importantes dans votre vie? Ma famille, étudier pour devenir quelqu'un de bien, l'équilibre.
4/ Vous ne pourriez pas passer une journée sans faire des exercices de diction. Je me donne deux ans pour perdre mon accent et être parfaitement compréhensible.
5/ Votre personnage en quelques lignes:
Description physique:
Pour un garçon de onze ans, je suis bien proportionné. Ni trop grand, ni trop petit. J’ai les muscles fins, bien dessinés et saillants, les traits du visage arrondis qui portent encore les rondeurs de l’enfance. Cela s’effacera avec le temps pour souligner mes pommettes hautes et creuser mes joues. Je suis métisse irlandais et arubais. Mon père est irlandais. Un petit trapu à la carrure robuste, les cheveux foncés et bouclés et le regard clair. J’ai son regard mais pas leur couleur. Mes yeux sont marron, comme ceux de ma mère. Tout le reste, je le tiens d’ailleurs de ma mère. Elancé, la peau brune et lisse, les sourcils noirs et fins, les lèvres charnues.
Caractère:
Je suis une personne honnête qui n’aime pas beaucoup la tricherie ou le mensonge. Je m’en sers comme cas de force majeur si je dois protéger quelqu’un par solidarité. Mais j’ai été élevé dans d’autres valeurs où affronter la vérité et la réalité étaient plus formateurs que la fuite par le mensonge. Etant mauvais menteur, je ne parviens pas non plus à le déceler chez les autres. Sauf par une déduction qui me prouverait qu’on est en train de se foutre de moi, je suis incapable de voir la malhonnêteté.
Je suis un peu naïf, je fais confiance à tout le monde car tout le monde me paraît gentil. J’aime bien trouver la bonté en chacun. Avec le temps, je renforcerai mon caractère et il ne sera plus aussi facile de me prendre pour un scroutt mais ça ne m’empêchera pas de croire que le monde est potentiellement bon et que c’est la vie qui nous déforme.
Autrement, comme trait assez fort chez moi, on peut trouver que je suis d’une tolérance qui confine à la sagesse. Je suis prêt à accepter tous les idéaux et les fonctionnements sans pour autant les partager. Je crois que nous avons tous des croyances et des fonctionnements différents et je ne supporte pas de croire qu’il n’y a qu’une façon d’être et d’arriver à nos fins ou que la façon dont je pense est meilleure que celle d’un autre. Je suis ouvert aux autres, curieux de leur façon de penser plus que de la façon dont ils vivent.
Loin de faire partie des indiscrets, un secret qu’on me révèle est un secret qui est sûr d’être gardé. Je suis loyal pour ceux qui me font confiance.
Cependant, toute cette pondération est compensée par un fait indubitable: il ne faut pas essayer de me forcer ou de me plier à une règle séditieuse en laquelle je ne crois pas. Je peux concevoir qu’on établisse des règles mais si je ne la trouve pas bonne, je ne pourrai pas m’y plier. Je suis naïf mais pas scroutt. Si je ne vois pas les francs mensonges, je peux du moins sentir quand on essaye de me manipuler. Je suis bien trop pacifique pour me venger ou pour répondre mais perdre une fois ma confiance, c’est l’avoir perdue pour toujours.
Pour finir dans les grandes lignes, je ne suis pas bavard quand je ne me sens pas en terrain conquis. Je suis pudique et réservé mais pas forcément timide. J’aime rire, je suis assez détendu et désinvolte. Je suis sociable et généreux.
Hobbies:
Je n’ai pas de hobby magique à part le Quidditch que j’ai découvert en entrant à Poudlard. J’aime tous les sports aquatiques, nager, la voile, le kite, la planche, le surf. J’aime aussi escalader et les balades aux confins de la nature. Sinon, je bouffe des livres toute la journée et j’aimerais bien en écrire un. J’aime beaucoup la poésie, qu’elle soit moldue ou sorcière.
Situation familiale:
Je suis fils unique. Mon père, est l’aîné de Grâce O’Malley. Il était pêcheur jusqu’à il y a deux ans, ensuite il s’est fait sa propre petite affaire. Il travaille désormais avec deux hôtels ouverts par des sorciers près de Boca Catalina et de Baby Beach. Il fait faire des tours de bateau aux touristes.
On a quitté le village parce qu’un hôtel a racheté les terres. Ca a fait des conflits avec les indiens mais le gouverneur s’en fout.
Ma mère est maintenant enseignante à l’école internationale d’Aruba. Pendant les vacances, j’aide mon père ou je fais des petits jobs, j’organise des petites compétitions de surf avec les locaux ou les touristes. Une année, j’ai même travaillé à la récolte de l’aloès. L’année où il y a eu l’ouragan Dean, j’étais volontaire pour nettoyer les décombres sur les plages. Une fois, aussi, j’ai été l’assistant de Luis, un potier. J’aime bien travailler.
La vie avant et pendant Poudlard:
Jusqu’à onze ans, j’ai été à l’école où travaillait ma mère. J’aimais pas trop avoir ma mère comme maîtresse mais au moins j’avais l’avantage de l’avoir à la maison pour m’expliquer ce que je ne comprenais pas. Il me fallait travailler deux fois plus que les autres.
On ne vivait pas loin de Duif dans un des rares villages indiens qui n’était pas encore trop entouré d’hôtel. C’était près de la plage de sable fin. Mon père qui a toujours baigné dans le monde sorcier n’a pas mis longtemps à se faire à la vie moldue. Le soleil d’Aruba le changeait des bourrasques d’Irlande. On se fait toujours plus vite au soleil qu’à la pluie. Il a été intégré parmi les indiens grâce à ma mère qui était déjà enceinte de moi. Comme beaucoup d’O’Malley, mon père a un petit quelque chose avec la mer. On navigue tous. On a ça dans le sang. Alors, il est devenu pêcheur.
J’avais mes amis, les autres enfants, et je ne savais pas que j’étais le fils d’un sorcier jusqu’au jour où, à huit ans, j’ai surpris mon père en train de retourner son bateau avec sa baguette magique pour le vider de l’eau salée et le nettoyer. J’ai fait une crise, je croyais que mon papa était un monstre. Je l’ai grondé, je lui ai dit d’aller tout de suite en parler à maman... ah ca, maman elle allait pas être contente de s’être mariée avec un monstre.
Mon père m’a raconté que maman le savait déjà et qu’ils attendaient que je sois un petit peu plus vieux pour m’en parler. Il m’a dit que, comme Elliot, j’irai un jour à Poudlard ou à l’école de magie du Mexique... j’avais le choix puisque j’avais la double nationalité. J’ai choisi Poudlard pour faire comme mon père, ma grand-mère et Elliot. Je n’étais pas très content d’apprendre qu’Elliot m’avait caché un tel secret.
Il m’a aussi expliqué que les sorciers n’étaient pas des monstres. A mon anniversaire, pour mes neuf ans, il m’a offert plusieurs grimoires qui parlaient du monde magique. Je les ai lu si vite... il a dû m’en trouver souvent parce que j’adorais ça. J’adorais apprendre la vie qui m’attendait. Des fois, je me surprenais à réaliser de la magie sans m’en rendre compte. Des petits trucs, surtout quand j’étais effrayé par quelque chose.
Ensuite, je suis enfin entré à Poudlard. Je me suis fais quelques amis et je découvre encore de nouvelles personnes toutes les semaines. J’aime bien la pratique de la magie mais je le fais seulement quand c’est nécessaire, je n’aime pas abuser... je ne voudrais pas devenir un assisté. Chaque semaine que j’apprenais de nouvelles choses, je voulais changer de métiers. Quand je suis monté dans le Poudlard Express, je voulais être conducteur de trains magiques. Quand j’ai appris l’existence des elfes de maison, je voulais être elfe de maison - ne vous moquez pas, c’est pas sympa - ensuite, j’ai vu à quoi ils ressemblaient et j’ai vaguement changé d’avis. Quand j’ai découvert la métamorphose, je voulais être alchimiste, quand j’ai appris la potion, je voulais être médicomage, quand j’ai rencontré le Quidditch, ah!! je voulais une star du Quidditch, comme James Alhambra... ça m’arrive encore aujourd’hui de vouloir changer de métier à chacune de mes découvertes. Je n’ai plus envie d’être trader ou docteur Ross. Les métiers moldus me semblent fades maintenant que je connais les métiers sorciers...
En début de quatrième année, je me suis rapproché de Japhet Cullen. Elle ne parlait plus autant que dans mes souvenirs... une fois qu’on a été réparti, on est resté amis mais sans plus. Elle a eu ses copines et elle s’en est contentée.
Moi, de mon côté, je faisais de terribles efforts pour effacer mon accent espagnol. Elliot m’aidait. Maintenant, j’ai encore un vague accent hispanique mais je ne bredouille plus.
Pour Japhet, il a dû se passer quelque chose de grave pour qu’elle devienne aussi taciturne. Elle ne fréquentait plus autant ses amies, elle se fondait dans le travail.
Une fois, en cinquième année, nous avons été mis en paire pour un devoir de métamorphose et elle m’a semblé de nouveau plus loquace. Elle m’aimait bien. Avec le temps, on s’est rapproché et à Noël, avant qu’elle rentre chez elle à Carlisle, elle m’a embrassé. Elle m’a dit que c’est moi qui aurais dû le faire depuis le temps.
A la rentrée, elle m’a conseillé de ne pas trop en parler à Liam, son grand frère. Que moins Liam en savait à son sujet, mieux c’était. Je l’ai cru sur parole. Son frère n’était pas ce qu’on pouvait appeler un garçon conciliant. Seth était le seul des deux frères à être au courant pour notre couple et ça m’allait très bien.
J’aime bien Japhet, nous nous entendons bien. Je sais qu’elle a plein de secrets mais je ne pose jamais de questions. Dans notre couple, c’est plutôt elle qui parle et je ne l’oblige jamais à s’ouvrir à moi si elle n’en a pas envie. Elle choisit les discussions. Elle sait que si elle veut le faire un jour, je suis là. |
| | | Choixpeau Magique Administrateur
Nombre de messages : 339 Maison : Aucune Gain de Gallions : 20698 Date d'inscription : 06/01/2006
| Sujet: Re: [Serdaigle] Clarence O'Malley - 5ème année (15 ans) Mar 29 Avr 2008 - 20:36 | |
| Hum... je me demande bien dans quelle maison tu vas bien pouvoir aller mon cher Clarence O’Malley. Franchement, je me tâte.Ah! Un nouvel O’Malley, comme c’est étrange, je...Elli... heu... Clarence, ça boome?Comment te dire? J’espère que tu vas bien, moi, ça va depuis la dernière fois. Tu nous as encore pondu une sacrée répartition, si je m’écoutais, je t’obligerais à te répartir tout seul parce qu...Arf... Clarence O’Malley, tu viens d’horizons lointains pour découvrir à Poudlard ce que le futur peut réserver à ton esprit curieux et enjoué. En espérant qu’un jour tu trouves enfin le métier qui te convient, je t’invite à rejoindre la maison de Serdaigle où ton gang tes amis sauront bien t’accueillir.HJ: sans commentaire, file.
Quoique. Juste un. J’aime bien tes persos Aller, ça c'est fait aussi... |
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| Sujet: Re: [Serdaigle] Clarence O'Malley - 5ème année (15 ans) | |
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