Cours de métamorphose: 5éme, 6éme et 7éme année.

*Purdey n'avait rien sortit sur sa table, elle avait juste posé ses mains dessus, et elle avit trouvé très désagréable le fait qu'Elinor se décale d'elle. Elle n'aurait peut-être pas dut, car si elle continuait comme ça, elle risquerait de connaître les joies de la vengeance de Purdey, ou de son amusement.

Bref, dès que la prof pleine de rides ouvrit la bouche avec grande peine, parce que forcement avec l'age, ça ne s'arrange pas. Elle aurait mieux fait d'aller chez la partie retraitée de St Mangouste la vieille, parce que là c'est sûr, elle va nous faire une crise cardiaque en plein cours. Mais ce qui serait mieux ce serait qu'elle est la maladie des trous de mémoires, ou parkinson; c'est des trucs vachement costauds comme maladie, tout fait pour la vieille McGo quoi. Le Mowana

Pense : elle va nous casser les pieds longtemps avec son discourt de début d'année celle-là ? parce que j'aimerai bien passer à l'acte moi ...

Mais là, Pour une fois dans la vie de McGo, elle réussit à dire une phrase, qui intéressait Purdey, c'était la dernière question.
Purdey ouvrit grand ses yeux, et lança au professeur :*

"Ouais ! Moi j'ai une question. On est obligé de suivre le cours ? Parce que je suis très fatigué, et j'aimerai bien dormir un peu. Dans le dortoir, il y a une fille qui ronfle ! "

Zenosa passa nonchalament la porte
e fît quelques signes de la main vers des têtes connues
quand son regard s'arreta sur une personne en particulier
Purdey! tout ce qu'il espérais c'est qu'elle ne le voie pas de tout le cours
il avais quand même envie de passer une bonne rentrée et si possible dans le calme finelement zenosa avant de s'assoir fit un petit signe de tête à Mc Go
en guise de bonjour pour ne pas interrompre le professeur dans son discours
une fois assis il sortit son matériel et le déposa sur son banc assis à coté de Jonathan Mateo qui somnolais étrangement...

-Euh...Tu vas bien ?
tu devrais songer à allé dormir plus tôt!
si tu veux j'ai des vitamines!

Zenosa esquissa un petit sourire qui se tût à la vue de Purdey...
Brrr,cette fille me fait froid dans le dos!
Pour le moment j'ai la famille LaRoche sur le dos alors je vais me tenir tranquille =_='

Jonathan vit un jeune homme du nom de Zenosa Gray, qui jouait dans l'équipe de Quidditch de Poufsouffle au poste de batteur, entrer dans la classe et s'asseoir. Il le regarda s'installer à ses côtés d'un oeil assoupi et sourit devant son inquiétude.

-Oui oui, ça va bien... Mais tu as raison, je devrais me coucher plus tôt! Pour ce qui est des vitamines, je crois bien être capable de faire sans!

Jonathan remarqua que Zenosa avait fort rapidement perdu son sourire matinal. Cherchant à trouver la cause, il lança un regard interrogateur au travers la classe. Rien de choquant ne se produisait, mis à part Purdey qui avait répondu sans demander la permission. Pour dire un commentaire fort peu utile, qui plus est! Elle n'avait simplement qu'à ne pas s'y inscrire, à ce cours, si elle ne voulait pas avoir à le suivre... Mais ça ne pouvait pas être elle qui lui avait enlevé son sourire. Après tout, tout le monde connaissait cette chère Purdey et personne ne se laissait encore affecter par ses humeurs changeantes. Soudainement pris d'un doute, Jonathan demanda à son voisin, la voix basse , sans prendre le temps de réfléchir à savoir si l'idée était justifiable ou non :

-Euh, j'ai fait quelque chose de mal?

Il réprima alors un baîllement, en se disant que de bailler devant quelqu'un était assez impoli...

Bien assise à la première place en avant à gauche (en s'assoyant de côté, elle pouvait voir la classe entière et en même temps, bien suivre le cours sans avoir la tentation de faire n'importe quoi comme lorsqu'elle s'assoyait à l'arrière), Maude était entrée dans la classe lorsque celle-ci était déjà à moitié remplie d'élève. Elle avait évidemment salué la professeure au passage et s'était calmement dirigée vers sa place favorite. Elle ne tarda pas à sortir ces effets scolaires et les disposa nonchalemment devant elle.

Chose faite, elle se tourna d'un quart de tour et se mit à observer la classe hétérogène. Son attention fut captée par la paire d'élèves incluant Purdey et Elinor. Paire qui n'avait en aucun cas l'air de se tenir les coudes. Paire, sûrement, qui ne devait pas réellement en être une. Bref, regardant ces deux élèves, Maude ne put s'empêcher de penser: 'Ce qu'elle peut se donner des airs parfois celle-là! Ça doit lui donner de l'assurance, qui sait...' Il y avait effectivement de ces gens qui déplace beaucoup plus d'air que la timide et calme Maude.

Elle reprit son observation de la classe et de ses participants et c'est à ce moment précis que l'enseignante prit la parole pour leur souhaiter un mot de bienvenue. Évidemment, Purdey y rajouta son petit grain de sel. Ils devraient, un jour ou l'autre, se partir un fan club de la jeune Serpentard.

Soudain, un bruit de tête qui se cogne sur un bureau retentit dans la salle de cours, la faisant sursauter. Maude se tourna vers la provenance de ce bruit comme le fit probablement l'ensemble des personnes présentes. Elle constata de qui il s'agissait, puis n'en faisant pas un cas bien particulier, elle n'y porta guère plus d'attention. Elle se contenta de regarder le Professeur McGonagall et d'attendre la suite des événements.

Purdey. Purdey, purdey, purdey. Que ne ferait-elle pas pour avoir l'attention? Vraiment, sa dernière déclaration vallait un million de gallions. Sérieusement, depuis quand demandait-on à un professeur si on était obligée de suivre un cours?!? Elle ne manquait pas de cran la chère Purdey. Venant de quelqu'un de bout-en-train, on aurait pu prendre la phrase à la légère, en se disant 'mais quelle bonne plaisanterie'. Mais non. Elle venait de Mademoiselle Laroche Elda, et bien évidement, la Serpentard ne plaisantait pas.

Perdue dans son exaspération, elle n'entendit pas le "Poak" sonore que fit la tête de Jonathan sur son bureau. Stupéfixer mentalement Purdey était plus intéressant...

Jonathan croyais avoir fait quelque chose de déplaisant vis à vis de zenosa,
il lui dit alors à voix basse:

Ce n'est pas toi qui m'inquiète mais Purdey...
je pense ne pas être le seul à avoir été sujet à ses changement d'humeur pour ne pas dire tout le monde...

zenosa tout en parlant dessinait sora un personnage de jeux vidéo
auquel il jouais avant cette nouvelle année à Poudlard
mais une fois lancé zenosa se mis à penser à d'autres choses...

-Au fait...
Appelle moi Zen,et toi,que pense tu delle?

zenosa se remit à dessiné en attendant la réponse de jonathan qui à son avis n'allais pas être différent de la majoritées des élèves...

Jonathan leva un sourcil en terminant d'étirer son long baillement. Sa première hypothèse était donc la bonne... étrange...
La professeur McGonnagal, ne semblait pas les entendre, Zenosa et lui. Jo se surprit même à penser qu'il était étrange qu'elle ne leur aies encore rien dit. Peut-être que son ouïe perçante commençait à décliner? À cette triste idée, la conscience de Jo fit une moue de déception, comme s'il venait de s'apercevoir que les gens vieillissaient. Il la regardait du coin de l'oeil et ne vit le dessin de Zen que lorsque celui-ci fut à peu près complété.

"Je me demande si notre batteur porte bien ce surnom... Zen... en tout cas, c'est assez drôle" pensa le jeune homme, rêveur.

Il préparait mentalement sa réponse sur Purdey. Il avait toujours la difficulté à la cerner, surtout depuis cet épisode de la bibliothèque... Finalement, il se lança, lentement et à voix bien basse...

-Je la considère un peu comme un petit chiuahua, qui fait beaucoup de bruit, ne cesse d'attirer l'attention sur lui et qui veut se montrer bien méchant mais qui est en fait bien plus fragile et faible qu'il veut le croire, et le laisser croire. Je suis certain qu'il y a des gens qui l'apprécient bien... comme n'importe qui!

Il regardait intensément Zen, pour saisir la totalité de sa réaction. Étonnement, horreur, stupeur??

Le cours de métamorphose était en train de tourner au n’import’nawak et même si ce n’était pas faute des élèves, le Professeur McGonagall décida d’y remettre bon ordre.

Il en serait dès maintenant fini des discutions sans gêne en méta. Fini des endormissements spontanés. Fini des propos d’échanges de substances –Si vous voulez mon avis- pas très licites. Fini des répliques à tordre de rire qui ne font pas rire McGo. Fini de la Purdey…

Le Professeur McGonagall fixa de toute sa sévérité Miss Purdey LaRoche Elda. Elle ignorait qu’une élève puisse encore se confondre à un tel point à son sujet mais il fallait croire que rien n’était jamais acquis comme définitif selon Purdey.
Quoi qu’il en soit les cinquante années bien passées d’enseignement du Professeur McGonagall ne l’avait pas laissé sans armes faces à ces élèves d’une arrogance excessive.

- Aurais-je oublié de préciser que je souhaitais de la pertinence dans les questions ou interventions des élèves ? demanda le Professeur caustiquement tandis que le brouhaha ambiant s’éteignait autour d’elle. Hummm… Il faut croire que oui.

Et bien… Disons que pour cette faute, je vais me donner la peine de vous répondre Miss LaRoche Elda.
Je vous donne mon entier accord. Non, vous n’êtes pas dans l’obligation de suivre le cours et oui, vous pouvez vous assoupir sur votre table si tel est votre désir mais…
Prenez bien en compte dans ceci que chaque minute n’est-ce que d’inattention lors de mes cours vous reviendras à ce temps en question quintupler dans une salle de retenue en compagnie de notre cher concierge, Rusard, et bien sûr à faire des exercices tous les uns aussi périlleux que les autres de métamorphose notés.

C’est comme vous voulez, conclu t’elle dans le silence absolu de la salle cette fois.

Le Professeur McGonagall se retourna pour faire apparaître en l’espace de quelques secondes le titre de la leçon de cette rentrée: Les métamorphomages avant de reposer son regard sur l’intégralité de la classe.

- Il me semble que nous pouvons commencer maintenant.
Vous l’aurez compris le sujet du jour n’est autre que les métamorphomages. Nous nous essaierons ensuite à la pratique mais j’aimerais avant toute chose que vous me disiez l’exactitude de vos connaissances quant à cette faculté appart.

Les idées devraient fuser. Je vous écoute.

" Enfin quelqu'un pour calmer les ardeurs égocentriques de de cette créature! Ce n'est pas trop tôt! Ah ça, ce n'est pas le professeur Rogue qui aurait eu cette brillante idée " pensa-t-elle en soupirant.

Cependant, la jeune préfète se doutait bien que l'affaire n'en resterait pas là, et que l'arrogance naturelle de Purdey reviendrait au gallop, quitte à se voir coller d'interminables retenues. Après cette démonstartion d'autorité, la classe était redevenue calme, et le Professeur commença son discours jusqu'à poser la première question.

Fendant l'air avec une rapidité fulgurante, la main d'Hermione s'éleva pour prendre la parole. Elle ne prit pas la peine de regarder autour d'elle si quelqu'un d'autre avait levé la main avant elle. Impossible pour elle de rester zen. A la moindre question posée, son cerveau se mettait en ébulition pour partir en quête de nouveaux points pour sa maison.

- Un métamorphomage est un sorcier qui possède un certain don dès la naissance. Il a la capacité de changer leur apparence à volonté. Le terme vient du grec "meta" signifiant à volonté, et "morpho" voulant dire forme.

Tout en répondant, Hermione pensa à Tonks qui en était un exemple parfait. A dire vrai, c'était même impressionnant pour quelqu'un qui n'était pas au courant.

- Contrairement aux animagus, il n'y a pas de leçon à prendre pour devenir métamorphomage puisqu'il s'agit d'un don. Un don se cultive, et se travaille aussi bien sûr. Mais il n'y a pas d'enregistrement, ni de procédure lourde pour un métamorphomage auprès du Ministère.

Pensant avoir suffisamment monopolisé la parole, Hermione décida enfin de baisser sa main.

Elinor se plia à la règle qui était la même depuis le début de sa premère année: laisser Granger répondre la première lors d'un coup au risque de la voir faire une syncope. Il fallait toujours subir ses tartines de connaissances Mefiant

. Et des connaissances, elle en avait... Dans toutes les matières, on aurait dit une encyclopédie sur pattes.

* Et nia nia ni et nia nia nia. Un jour Granger, tu finiras étouffée par un livre que quelqu'un te fera manger... Je veux bien qu'on ait fait la paix, ou plutôt une trève, mais là... Non sans rire, il faudrait la baillonner! Dudikoff dorénavant, tu resteras collé au bouche à bouche avec ta brune pour que l'ordre public soit maintenu, sinon... elle finira attachée à une pierre au fond du Lac Noir. Ma voisine a l'air très chaude pour une vengeance.*

Elinor tenta quand même de rajouter quelque chose à la réponse de Granger.

- Il faut ajouter que les métamorphomages sont très rares. Ils représentent à peu près un sorcier sur mille à la naissance. En général, ils se tournent vers une carrière d'auror ou d'espion pour mettre à profit leur don peu commun.

McGonagall avait finalement pris la parole et avait répondu au commentaire de Purdey. Maude crut déceller une pointe d'exaspération, surtout dans l'avertissement de possible retenue. Ce n'est pas que Maude doutait de l'autorité du professeur, mais était-ce vraiment nécessaire comme réplique? Ils n'étaient quand même plus en première, deuxième ou troisième année... Le système de récompense/punition ne devait plus avoir tant d'effet sur ces élèves plus vieux. Mais peut-être que Maude surestimait la maturité de l'ensemble des élèves, pas que ne se considérait très mature elle-même, mais les récompenses et les punitions pouvaient toujours se faire valoir finit-elle par conclure. D'ailleurs, ne participaient-ils tous pas à la coupe des quatre maisons? Oui, décidément, le système de récompenses fonctionnait très bien à Poudlard.

Maude jeta un coup d'oeil à ce qui s'écrivait sur le tableau. Métamorphomage. Les cours de métamorphose présentaient toujours des notions qui plaisaient et intéressaient grandement la jeune Poufsouffle. Métamorphomage. Elle avait longtemps rêvé d'être née avec ce don, comme n'importe quel rêve de petite fille sûrement.

Elle ne leva pas la main pour répondre à la question. Elle aurait bien voulu ganger des points pour sa maison (système de récompenses, quand tu nous as!), mais sa gêne faisait grande concurrence avec son désir "patriotique". De toutes façons, avec toutes ces têtes qu'il y avait dans la classe, sûrement que quelqu'un répondrait. Ce que Miss Granger s'empressa de faire.

Maude avait toujours été impressionnée par la ferveur de la Gryffondor à répondre aussi promptement et avec autant d'exactitude à toutes le questions possibles d'être posées dans un cours. Elle ne l'admirait pas, mais elle avait un très grand respect pour quelqu'un qui avait une si grande connaissance. Maude se surprit à se demander s'il n'y aurait pas un domaine où Hermione Granger n'avait aucune connaissance. La seule réponse qu'elle put trouver fut formulée clairement dans sa tête sous cette forme: 'Non, sûrement pas.'

Elinor avait également apporter un point important. Maude prit alors sa plume et, après avoir inscrit la date et le titre du cours dans son cahier, elle y nota ce qu'on venait juste de dire. Elle crut bon d'ajouter à la suite de ses notes que si les métamorphomages subissaient un traumatisme ou une émotion violente, ils pouvaient alors avoir de la difficulté à contrôler leur pouvoir. Ajout, évidemment, écrit dans des termes beaucoup plus simples et abrégés sur le papier.

Ginny sursauta lorsque le professeur éleva le ton. Non pas que c'était étonnant, sauf que la Gryffondor était trop absorbée par son exaspération envers Purdey. D'ailleurs, McGonagall avait entièrement raison. Une salle de classe, c'était logiquement pour apprendre. Le fait est que Purdey n'était pas très brillante. En effet, si elle n'écoutait pas en classe, tant pis pour elle, elle serait sans doute la première à râler lorsqu'elle n'optiendrait pas son diplôme...

"Mon dieu, Ginny, tu commences à ressembler à Hermione" se dit-elle, rigolant intérieurement.

Elle reporta son attention sur le cours qui, à son plus grand bonheur, portait sur les métamorphomages. Ça, sincèrement, c'était sans doute le plus chouette cadeau que la nature (magique) pouvait donner. Avoir la possibilité de se métamorphoser, comme on veut, quand on veut... Pratique, pratique! Un jour les cheveux courts, long, frisé, vert pomme avec des mèches en spirales bleues si on voulait! Tonks était vraiment chanceuse. Tiens, d'ailleurs, elle devrait lui écrire, il y a quelque temps qu'elle ne lui avait pas parlé, et elle s'ennuyait!

zenosa fit un petit sourire à la remarque du professeur

-Et bein celle la elle ne l'as pas volé Purdey...

zenosa rangea son dessin et pris de quoi écrire et leva la main.

-Professeur,sans vous manquez de respect,pourrions nous continuer le cours?
j'aimerais en savoir un peu plus sur les métamorphomages...

zenosa baissa la main,et se prépara à prendre des notes...
il griboullais sur un petit papier un croquis du stade de quidditch avec un petit mot parlant des prochains entrainement et de l'avenir du quidditch cette année pour Pouffsoufle
après l'avoir fini il le passa à Jo
Zenosa maintenant attendais la réaction du Professeur...

Arrivée juste à l'heure, Mélusine avait résisté à l'envie de rejoindre son amie Maude installée au premier rang. Car tel était bien là le problème. Le premier rang, réservé selon elle aux surdoués ou aux élèves dotés d'une mauvaise vue. Ne faisant partie ni des uns ni des autres, elle s'installa tranquillement à l'endroit idéal d'une salle de classe: le milieu. Ni trop proche ni trop loin, la perfection faite matière.

Restée anormalement calme, pas un soupir, pas une remarque, la jeune fille avait, comme tout le monde, eu son attention détournée par le dénommé Purdey...Certains élèves, franchement... Haussant les épaules, toujours muette, elle jeta un coup d'oeil en direction du professeur McGonagall en quête d'une réaction... qui ne tarda pas. Ne pouvant retenir un sourire triomphant, elle remua sur sa chaise pour acquérir une position plus confortable. Maintenant, elle était sûr de passer un bon moment. Le cours commençait à la perfection, et, en admiratrice relative de la perfection, ces quelques phrases la mettait dans un état de bonheur consommé, plus qu'aucune patacitrouille au monde.

Le Professeur McGonagall descendit de son estrade et avança, au milieu des rangées de banc et de tables que constituait majoritairement la pièce, la dernière intervention de Zenova encore à l’esprit.
Elle ne savait exactement quoi penser d’un: « Professeur, sans vous manquez de respect, pourrions-nous continuer le cours ? ».
C’était plutôt étrange, non ? Ça ressemblais à… Je ne manque pas de respect car j’utilise une formule de politesse pourtant je remet quelque part en doute le processus, l’allure du cours… C’est chelou.

Mais le professeur de métamorphose jugeant avoir perdu suffisamment de temps passa outre cette contribution et reprit comme souhaité le cours.

- Premier point très important: On naît Métamorphomage, on ne le devient pas, dit-elle en cheminant au travers des tables.
Chose que vous savez déjà tous, certains d’entre nous ont des pouvoirs que l’ont pourraient qualifier de… « Spéciaux ». Ces pouvoirs spéciaux sont divisés en deux classes: Ceux qu’après apprentissage, pas pour le moins laborieux, on obtient et ceux que l’on ne peut apprendre, ceux qui sont innés dès la naissance.

Comme Miss Granger vous en a fait part, les Métamorphomages sont nés avec la capacité de changer de forme à volonté.
Cela apparaît peut-être comme curieux au premier abord mais c’est tout à fait convenable véritablement. Vous pouvez assimilez l’idée à la potion qui répond sous le nom de « Polynectar ».

Le Professeur McGonagall cessa sa marche et fit demi-tour en direction de son bureau.

- Le préfixe grec « morph » indique bien le mot forme mais « méta » trouve ici plus de sens dans succession, non ? Remarque faite, les deux sens me semble correct.
Très bonne intervention Miss Granger. J’attribue 13 points à votre maison.

Nous en arrivons à l’extrême rareté qu’est ce don.
Vous avez parfaitement raison Mademoiselle Redgrave. Mettre une échelle paraît presque extravagant tellement il est laborieux de mettre avec exactitude un chiffre sur le sujet.

Je ne redirais rien du choix de carrière que font ces sorciers apparts. C’est fort probable.

J’accorde 8 points au Serpentard, conclu-t-elle avant de rejoindre l’estrade pour de nouveau se retrouver face à la classe.

Bien… Je tient juste à revenir sur l’intervention d’Hermione.
Vous nous avez dit que les Métamorphomages n’avaient guerre d’enregistrements, ni de procédures lourdes à faire auprès du Ministère si je reprends convenablement vos termes… J’aimerais connaître l’avis de la classe et pense qu’il ne serait inintéressant de débattre -un peu- sur le sujet.

Que ceux qui sont d’avis de Mademoiselle Granger, lève la main.

Dernière édition par le Mer 15 Nov 2006 - 18:26, édité 1 fois

Maude avait été quelque peu étonnée par l'intervention du poufsouffle de cinquième assis juste à côté de Jonathan. Elle n'avait pas eu l'impression que le cours s'était arrêté bien longtemps. L'enseignante attendait que les élèves disent ce qu'ils savaient sur les métamorphomages (peut-être, d'ailleurs, que Maude se déciderait bientôt à lever la main, mais elle y réfléchissait un peu avant... cette sacrée gêne!). S'il n'était pas content du rythme du cours, il n'avait qu'à débiter tout ce qu'il savait pour faire avancer le sujet, ça donnerait plus de corps aux interventions.

Toujours assise pour voir l'ensemble de la classe, elle posa les yeux sur Mélusine. Elle ne l'avait même pas vue entrer dans la salle de classe! Même en faisant son tour de classe visuel, elle ne l'avait pas remarquée, Pourtant, ce n'était pas comme si Mélusine était difficile à manquer...

Évidemment, sa gryffondor d'amie n'était pas venue s'assoeir à côté d'elle. Pourquoi n'aimait-elle pas les places au premier rang? Certes, elle le lui avait déjà expliqué, mais "bolés" et "aveugles" (ici sortis hors de leur contexte) n'avaient pas été des arguments assez convaincants pour Maude. Donc, de sa chaise relativement éloignée de celle de Mélusine, elle lui fit son éternel sourire de bonjour et reporta son attention sur ce que le Professeur McGonagall disait. Évidemment, elle notait tout ce qu'elle trouvait pertinent.

Au-dessus de ce qu'elle avait noté des paroles d'Hermione, elle fit une petite flèche qui partait du mot "méta" et qui sortait dans la marge pour pointer le mot qu'elle écrirait ensuite (succession) pour "corriger" ou "apporter une spécification" au sens de la particule "méta".

Maude leva soudainement la tête et laissa ses notes comme elles étaient pour regarder plutôt l'enseignante qui invitait ses élèves à débattre sur un point qu'avait avancé Hermione. Maude aimait bien les débats, mais on se doutait fort bien qu'elle ne ferait qu'écouter et n'interviendrait pas beaucoup. Or, McGonagall sembla trouvé un espèce de compromis pour faire participer tout le monde en demandant à ceux qui croyaient que les métamorphomages n'étaient pas enregistrés -comme l'étaient les animagi- au Ministère de la Magie. S'était chose rare, mais Maude était en désaccord avec Miss Granger. Elle croyait qu'ils étaient enregistrés et peut-être même suivis de près. Pourtant, elle n'aurait pas pu y mettre sa main au feu, mais elle était pratiquement convaincue que le Ministère les avaient dans leurs registres. Elle ne leva donc pas sa main.

*"Mickey" Stonebridge était venu suivre le cours passionnant de son professeur préféré, à savoir le gentil professeur McGonagall. Il était installé à sa place favorite, au premier rang face au bureau. Il écoutait avec la plus grande attention chaque parole, qu'il buvait tel un nectar des plus fruité. Il n'avait de cesse de noter toutes les informations nouvelles qu'elle leur donnait si généreusement.

Ah quand même ils avaient là bien de la chance d'avoir un professeur avec une si grande connaissance et expérience. A ses yeux personne ne pourrait jamais la remplacer à son poste.

Il était tellement subjugué par ce merveilleux professeur qu'il en avait perdu la parole et se contentait d'écouter les autres élèves intervenir au fur et à mesure que la connaissance leur était savamment distribuée.

Le Serdaigle se redressa un peu alors que son idole quittait l'estrade et marchait maintenant entre les rangs.
Quelle aisance elle avait quand elle se déplaçait, quel maintien du corps !

Tout en elle lui inspira admiration. On avait beau dire mais il n'y avait que la vieille école qui avait encore une certaine classe.

N'en pouvant alors plus, il se leva et se jeta à ses pieds l'implorant de bien vouloir lui donner des cours particuliers. Il aurait donné n'importe quoi pour passer plus de temps avec elle.
Il resta accroché à ses pieds, alors que ses petits yeux humides l'implorait d'accepter…*

hj : j'espère que ça te convient mon post^^

Le regard perdu dans le vague, Mélusine apperçut un vague mouvement à l'endroit où était supposée se trouver Maude. Levant les yeux, elle la vit effectivement la fixer avec son habituel sourire chaleureux, sourire auquel on ne pouvait pas ne pas répondre. Répondant donc à son salut codé par un signe de référence, à savoir un des sourires mcewannien les plus lumineux, l'attention de la jeune fille se reporta ensuite sur un sujet plus conventionnel: le cours. Il n'était sans doute pas préférable de s'attirer les foudres du proffesseur, sévère mais juste. Et puis, pour être sincère, elle appréciait ce cours, toujours bien développer où même le plus savant des élèves -hormis peut-être Hermione- sortait la tête plus pleine et l'impression d'être au moins un soupçon plus intelligent qu'une heure plus tôt.

Elle s'empressa donc de prendre en note tout ce que la professeur McGonagall avait dit et expliqué, ajoutant de ci de là une fioriture, de manière à rendre son cours plus attractif, à ses yeux du moins. Relisant rapidement le tout pour y trouver un sens, elle reposa sa plume, satisfaite.

Restait maintenant à se consacrer à la question du professeur. Les métamorphomages étaient-ils ou n'étaient-ils pas répertoriés? Elle n'en avait aucune idée. D'un côté, elle penchait à penser que puisque les animagus l'étaient, il serait relativement injuste que les métamorphomages ne le soient pas. Mais d'un autre, elle trouvait également injuste, bien que justifié (n'était-ce pas contradictoire?) ce listage des dons de chacun. Aussi, espérait-elle qu'une liste des métamorphomages n'était pas à l'ordre du jour. enfin, Hermione semblait penser que non, il s'avérait qu'il y avait infiniment plus de chance de trouver de la neige dans l'enfer des moldus que de voir Hermione se tromper. Mais comme l'option 'n'a pas d'opinion' ne semblait pas avoir de place dans cette salle, elle garda la main baissée, suivant la logique et non pas l'espérance, en complète contradiction avec sa nature. Mais on était en cours pas dans une séance de discussion entre amis.

Jonathan prit le petti bout de parchemin que lui avait glissé Zénosa. Il était en train de l'observer et de songer qu'il fallait impérativement que Poufsouffle, comme toutes les autres équipes, se trouve les quelques joueurs manquant pour occuper les sept postes de l'équipe de quidditch. S'il le fallait, il irait bientôt faire du recrutement actif...

Il s'apprêtait à répondre à son coéquipier, lorsque celui-ci adressa la parole, à la volée, dans la classe. Jonathan dut quelque peu estomaché par un tel culot. En fait, il se retenait de ne pas être pétrifié. Il voyait déjà dans sa tête le professeur, enlevant 50 points à perpétuité à Poufsouffle.
Cependant, assez étrangement, McGonnagal ne répondit pas de front à cette agression et n'a pas soustrait le moindre point. Jonathan en fut soulagé et ne se demanda pas l'origine d'une telle attitude. D'ailleurs, il était déjà étrange que la classe ait atteint un tel seuil d'excitation et d'exhubération. On était tout de même en métamorphose, avec Minerva McGonnagal...

Jonathan notait et renotait les explications du professeur à un rythme effrené qui rendait sa main légèrement floue. Ses notes étaient un dédales de mots et de flèches entremêlées. Finalement, elle demanda un vote à main levée. Jonathan n'eut pas à réfléchir longtemps : tout le monde savait que les animagus devaient avoir un signe distinctif, or les métamorphomages ne pouvaient pas en posséder. Qui plus est, il est rare qu'un ministère recense les pouvoirs des gens qui les ont de naissance, et comme on naît généralement métamorphomage, il serait surprenant que le ministère ne les surveille autant que les animagus. Sans dire qu'aucune ébauche de liste n'existe, il est fort probable que celle-ci soit bien moins exhaustive, voire complète, que celles des animagus.

Jonathan levait donc la main pour appuyer Hermione (en plus, elle avait toujours, ou du moins plus de 99.9% du temps, raison...), mais son mouvement fut interrompu à mi-trajet par Mickael -Vice-Président-Stonebridge qui se jetait aux pieds de leur professeur. Décidément, à leur prochaine assemblée générale, Jo devrait lui proposer d'aller consulter à l'infirmerie pour son état de santé mentale...

*Purdey avait eu la fégnantise [Edit McGo: Fainéantise Purdey. Fainéantise. Tu mériterais que je t’enlève 2 points pour c’tte vilenie. D'ailleurs, j'te les enlève ces deux points. Là.] de répondre au professeur, de plus si elle lui aurait répondu, elle aurait peut-être eu un infarctus ? Rolling Eyes

Oui, mais non, car elle n'aurais pas pu poursuivre sa mis en scène pour faire foirer le cours de son professeur.

Elle s'affala donc sur sa table, accoudé, la tête sur sa main, comme si elle s'ennuyait grandement, se qui n'était pas faux en fait.
Elle écouta alors les paroles de McGo, plus qu'endormante, c'était un peu style berceuse, et à plusieurs reprisent, Purdey piqua du nez, mais se reprit. Ses paupières lui paraissaient aussi lourde que la chougrass. Elle bailla à coeur ouvert, car plusieurs élèves, trop absorbés par le cours fusilla Purdey du regard; mais elle ne vit rien, elle baillait.

Mais à un moment, la vieille McGo, parla, enfin elle sortit une phrase que ~~Granger~~ la sang-de-bourbe avait dit.
la vieille voulait qu'on en fasse un débat.

Pense : Elle est folle ? Moi je ne débats pas pour une greluche dans ce genre, elle a trop cru au papa noël celle-là.

Mais le fait de le penser n'était pas suffisant. Purdey se redressa donc, puis balança à voix haute dans toute la salle, en visant Granger plus particulièrement:*

"Dit donc Granger, tu devrais peut-être te faire enregistrer au ministère pour la section "Greluche de service trop dérangée pour ne jamais s'empêcher de vouloir être la meilleurs en proposant des dénats en cours dont on s'ennui". "