Poésie de Québecois!

Bon voilà, j'ai écrit ca il y a un petit bout déjà... mais il me fait toujours un peu penser au jeu d'échec du premier livre.. dites-moi ce que vous en penser ... (il devrait pas y avoir beaucoup de fautes, mais je m'excuse d'avance s'il y en a...!)


Échiquier

Je suis le carrelage pâle et foncé
Paradoxal dans ma propre existence
Difficile à déchiffrer, mais pourtant bien ordonné
Je suis tout et rien, à la fois confiance et méfiance

Je suis les huit pions à la fois
Fidèles serviteurs s’avançant les yeux clos.
Pouvant faire un départ de deux petits pas
Puis, pas à pas, on m’utilise dans une voie à sens unique

Je suis la tour, forte et inébranlable
Qui ne peut trembler qu’en son for intérieur
Je marche droit, presque imposant
Sans trop oser voir ce qui m’attend

Je suis le cavalier, prompt à réagir,
Je passe par-dessus les obstacles dressés,
Toujours prêt à servir et protéger
Dans une confiance aveugle qui peut me détruire

Je suis le fou : rigolo au cœur tendre
Parodiant mes pairs pour me faire entendre
Je marche de travers, mais le plus tragique
Même lorsque je suis sérieux, on me dit comique

Je suis la reine, à qui tout est permis
Je dois toujours intervenir, pour mes amis,
Et je me fait abattre par derrière
Lorsqu’on profite de mes faiblesses passagères

Je suis le roi, par qui tout se joue
Vieux, las et malade, mais toujours vif
Je commande, j’affronte l’ennemi
Il y a espoir, tant que je reste debout

Je suis la planche bicolore, indispensable,
Siège de tant de combats, tant de silences
On peut toujours compter sur moi, sur ma table
Pour ouvrir le jeu, ou le laisser en latence

Je suis un échiquier et n’ai jamais connu
D’autres échecs que les amitiés qui m’ont déçu.

J'aime beaucoup.
J'aime beaucoup l'idée.
J'aime beaucoup l'idée et la simplicité.
J'aime.

Un seul truc sur lequel je me suis un peu arrêté mais c'est que j'ai l'esprit très mal tourné :

Citation :

Je suis la reine, à qui tout est permis
Je dois toujours intervenir, pour mes amis,
Et je me fait abattre par derrière
Lorsqu’on profite de mes faiblesses passagères

Pauvre reine, se faire prendre par derrière si on profite de ses faiblesses passagères...
Ce genre de phrase à double sens (même si je pense que tu ne l'as pas cherché...quoique lol) est assez fréquent en poésie mais alors là, je dois dire que c'est assez fort!

Je n'avais pas du tout vu ca comme ca Egon... jy avais meme jamais pensé... je suis un zentil garcon moi

suite a la pression épouvantable de miss Wind, je vais mettre un poème qui m'a gagné un laurier au cégep :

Un mot, et puis...


Les paroles s'envolent, alors dites-moi,
Parlez-moi, que vous me donniez ces ailes
Dont je rêve et désespère même parfois,
Que je me sente geai et crécerelle,
Pour me lier au vent, qui me supporte,
Sans plus de raison qu'une liberté éternelle ;
Les arbres neigent, un soupir m'apporte
Les fruits de l'été, duveteux et légers,
Des arbres, droits et beaux, peu pliés.

Les écrits restent, alors par pitié,
Ne m'écrivez pas, j'aurais affreuse mine,
Ma personne en serait bien moins colorée,
L'aventureux soldat de plomb, j'imagine,
Ne pourrait voyager hors de la maison,
Lourd de l'ancre retenant la marine
De quitter un port où il fait trop bon,
Où tout est merveilleux, la mer oisive
Laisse des plumes humides collées sur la rive.

Transformez-moi en mot, que je puisse voyager,
Je volerai, à temps perdu, entre deux airs,
Sur les zéphyrs étoilés, sur les ailes de l'alizé,
Suspendu à une réalité céleste, je remettrai pied à terre,
M'emparerai des trésors des lieux,
Changerai en eux, en terre étrangère,
Sachant parfois m'enraciner de mon mieux
Pour reprendre mon infini vol,
Plus riche de ce que je puise du sol.

Je veux être un mot, faire rêver,
Être nommé, prononcé et écrit
Faire voyager les esprits, les rencontrer
Inspiré la joie, l'amour et la vie,
Être un son différent selon les accents,
Comme un joyau qui brille et réunit
Des gens si peu semblables, pourtant,
Je veux être une fête inoubliable
Qui brûle en chaque être sociable.


et puis, selui là, c'est pour les MACHO... en fait je l'ai écrit pour l'ex d'une de mes amies (support moral), mais elle le sait pas et j'aurais aimé la mettre en chanson, mais je n'ai aucun talent musical...

Salaud


Pourquoi tu m'as dompé là sans dire un mot?
T'as claqué la porte sans dire bye, juste «c'est fini»
Pis j'tai vu prendre le téléphone, parler à tes amis,
Partir à brailler pendant que j'séchais comme un beau!

Toutes tes amies savent que j't'un salaud
C'est s'que tu leur a dit, j'sais qu'c'est pas faux
Mais j'ai vu dans les yeux d'tes chums de gars
Qu'ils savent ben qu'j'suis pas si méchant qu'ça

J'ai pris mon char, juste une idée en tête
Prendre le pont, oublier que ça sert à aller
D'une rive à l'autre, mais le Richelieu est trop beau
J'veux pas l'salir, faq j'passe comme si rien n'était
Que'ques jours après, j'apprend qu'c'est moi qui t'a la
J'suis un trou de cul, si j'avais su
J'aurais pas cru au coup d'foudre,
Mais y'est trop tard pour r'venir en arrière!

Toutes tes amies savent que j't'un salaud
C'est s'que tu leur a dit, j'sais pas si c'est faux
Mais j'ai su dans la voix d'tes chums de gars
Qu'ils savent ben qu'j'suis quand même un bon gars

T'aurais voulu que j'te supplie à g'noux d'me r'prendre
Mais ma belle on est pas dans un soap américain...
Ces choses-là t'ont donné une mauvaise idée d'l'amour :
Tu m'as dit d'partir, c'est ça qu'j'ai faite...
Un peu malgré moi, pasque j'te respecte,
Mais t'inquiète, je continue d'avancer...
J'suis la vie, on l'a jamais vu r'culer
De toute façon, tu voulais pus me r'voir!

Toutes tes amies savent que j't'un salaud
C'est s'que tu leur a dit, j'sais pus si c'est faux
Mais j'ai entendu parler tes chums de gars
Pis ils savent que'qu'chose que tu sais pas

C'est moi l'gars, pis si on s'fie à s'quon entend
Ca d'vient évident que j't'un beau crotté...
Quand est-ce qu'une princesse a eu l'mauvais rôle
Quand est-ce qu'on a vu un prince être abandonné?
Mais s'pas grave, j'pile sur mon orgeuil,
J'ravale mes pensées amères, j'bloque mes larmes
Pasque si j'pleure, c'est la honte pour toujours
Faut j'fasse semblant d'pas r'gretter s'que j'ai pas fa

Toutes tes amies pensent que j't'un salaud
C'est s'que tu leur a dit, j'sais que c'est faux
Mais même si tes chums de gars sont pas bavards
J'sais qu'ils ont d'viné que j't'aime encore.

J'accepte s'qu'on dit, j'fais semblant qu'c'est vrai
Pis j'assume les conséquences de s'qui sont pas mes actes.
Fait ben attention, tu gardes tes chums de gars sous silence
Mais j'suis pas sûr qu'ils sont aussi prêts à jouer l'jeu

J'en ai plein d'autres, ya qu'a demander

et toi, Egon, t'en écris?

EDIT : Javais pas mis la bonne version de salaud...la cest la bonne

Ouais...*bouche-bée* J'aime beacoup ce que tu as écrit..t'as une bonne plume, mais si tu permet, pour ton poème Salaud, j'la vairai bien sur une musique style NickelBack...

Je n'avais pas vu que tu avais posté des poèmes... Mais maintenant que je les ai lu, je les trouves très.... Il n'y a pas de mots pour mes qualifiés tellement ils sont magnifiques! ^^

Celui que j'adore vraiment c'est " Un mot, et puis... " !
Je trouve, dans ce poème, une sensibilité vraiment belle et une pudeur incroyable... J'ai vraiment été touchée par ce poème... Tu as vraiment une écriture très légère mais profonde, et j'aime beaucoup ( c'est sûr que tu as eu un prix avec ce poème et ce n'est pas avec celui de mon chat féroce que tu en aurait eu un ^^ )

J'aime aussi beaucoup l'échiquier ^^
Ca sort de l'ordinaire et c'est aussi très bien écrit!

J'en attend encore beaucoup d'autres de ta part!!!! ^^

Suite aux pressions commentaires positifs d'une jeune Griffondor, je rajoute un poème que j'ai écrit durant mon séjour d'1 mois à Windsor, Ontario... Personnellement, je l'aime parce qu'il est simple et vrai et qu'il m'a sauver de la totale immersion anglaise

Odeurs d’être


J’ai marché dans une roseraie
Où une multitude de roses poussaient,
J’en ai alors cueilli
Une jaune pour chacun de mes amis
Parce qu’ils sont des rayons de soleil joyeux,
Deux bleues pour ma sœur
Parce qu’elle est précieuse à mes yeux,
Pour mes frères joueurs et rêveurs,
J’en choisis trois pêche et veloutées,
Quatre blanches pour ma douce mère
Et autant d’orange pour mon jovial père
Qui m’ont toujours tout donné,
Cinq mauves à mes grands-parents
Avec qui j’ai partagé de bons moments,
Six roses pour mes tendres enfants
Qui me rappellent mes joies d’antan,
Sept rouges à celle que j’aimerai toujours
Et me permet d’apprécier chaque jour,
Huit crème pour ceux que je n’ai pas nommés
Mais qui m’ont enseigné la vie ou la liberté,
Neuf, une de chaque couleur,
Que je rassemble en un bouquet
Pour me rappeler tous ces grands cœurs
Sans oublier leurs vérités ni leurs secrets.

Il est très beau ce poème (de même que les autres d'ailleurs)

Wah!
J'adore!
Jpeux pas faire mieux comme critique... Mais en tout cas bravo!

wow, j'aime beaucoup ce poème particulièrement odorant. Il est simple et si...authantique. Montre nous z'en d'autres, j'en mange de tes poèmes lol.

Comme ca toi aussi t'as fait une immersion Anglophones?

Merci à tous pour vos beaux commentaires
Oui, j'ai fait une immersion, mais c'était dans la famille, tout de même...
Je ne sais pas quoi d'autre je peux vous montrer, mais tous mes poèmes sont là :
http://poesie.webnet.fr/vospoemes/1836/liste.html

et bé, n'en a une tripoté de poèmes...

* émue *

J'adore ton dernier poème posté ici!!!
Je suis contente que tu l'es mit!!! ( * sourire angélique * )

Je te l'avais bien dit que ton poème était M.A.G.N.I.F.I.Q.U.E !
Et tout le monde l'aime en plus!!!! ^^
ViVe Jo'

Maintenant, tu écouteras toujours la voix de la sagesse, qui est la mienne bien sûr ^^

Si tu en fais des nouveaux ( en plus de tes nombreux magnifiques autres poèmes ) ça me plairait beaucoup que tu les postes!

j'en ai écrit un sur mon bled, dernièrement, mais je l'ai perdu dasn le rush de fin de session et le déménagement... comme je part faire du ménage live maintenant, ca se peut que je le retrouve!

EDIT : Voilà, je l'ai retrouvé, avec mes papiers du concours de chimie... bon bon bon, ya un mot que je vais surement changé un jour, et puis le titre aussi, mais pour l'instant, ça donne ceci ... (en exclusivité pour vous )

Mont noir

Maternel mamelon Montérégien
Siégeant au sein d’antiques champs,
Symbole constant du changement
Exprimé jusqu’aux noms qui furent sien.

Rocailleux amas de pommes et d’érables
Dont les disamares fous convolent
Avec les fleurs rosées sous l’obole
D’un brumeux nuage à la transparence aimable

Colline surplombant bois et vergers,
Rivières et prairies blondes et vibrantes
Bordées de saules et de peuplier entre
Les branches desquels la faune va s’héberger

Douceur blanche et dorée dès qu’éclosent
Les bourgeons après la coulée annuelle ;
Écorces teints de fiel et de miel
Sous la pluie lente d’un soleil rose.

Peut-être que quelqu'un peut déterminer de quel village je viens suite à ce poème, mais il faudrait être très culturé en géo...!

(Waou! Ca fait longtemps que j'étais pas passé ici!)
Voilà! J'ai écrit ce poème après avoir regardé l'international des feux Benson & Hedges, à Montréal. C'est pas évident parce que j'ai plutôt utilisé un champ lexical floral, amis je jure que ca traite de feux d'artifice. Et l'écriture est un peu maladroite, je le sais...

Jardin lumineux
(L’art attire l’art)


Gerbes de mauves et d’or
Cascade printanière au-dessus des nénuphars
Pommiers en fruits,
Puis en feuilles et en fleurs
Quatre saisons côté à côte (alignées)
Canna aux feuilles cuivrées
Tulipes tant attendues finalement
Montrant leurs cinq étamines
Pivoines, lilas, lys, jasmin
Aux blancs pétales enroulés
Perce-neige aux sépales d’espoir
Coquelicots sous les grondements
De l’écume de feu
Graminées montant en tige vers les astres
Devant le rosier timide et remarquable
Cerisier s’étiolant à travers le temps
Tapis de petites pensées bleues
Fleurs sauvages et multicolores, courant
Depuis le cœur saigné, tout à l’envers
Samares suivant un courant indécis
Multiplication hâtive des fraisiers par les racines
Lavaterres, grandes et filiformes
Gaillardes impétueuses et envahissantes
Fusées de vrilles, ylang-ylang,
Montant en vrille avant d’éclore en fleurs
Aucune marguerite, aucun iris à l’horizon

Aucune pluie pour éteindre cette moisson

Impressionée... impressionée tout simplement...
Wahou, vous avez un don pour la poésie... Trouver les mots justes sans oublier les sentiments sous-jacents... Un seul mot...ou peut-être deux... Bravo et merci...

(je copie ici pour etre sur de pas le perdre si ya une razzia dans le topikaflood...)

[Et Maude, l'Est vraiment super ton poème ]

Jonathan Mateo a écrit:

Je crois que c'est le temps... Destiny, je crois qu'elle sait ce que je veux dire...

Je vous fait un DJ avec une teinte de HJ... ici, parce que Mo m'en a donné envie, ici.

Jonathan avait été un élève calme et sans histoire pendant 5 ans et demi, presque 6. Mais un jour, une ombre passa au-dessus de son lit. L'ombre de la grande juge. Elle lui permit de s'éclore au grand jour dans Poudlard. Ainsi il délaissa un peu Griselda pour l'amour. D'abord l'amour de sa nation, grâce à une petite souris au fond d'un couloir, puis en voulant jouer les trouble-fêtes, il obtint son premier baiser.
Mais dans son petit monde, il voyait aussi passé des élèves plus âgés. Une serdaigle fantasque avec toujours un plan derrière la tête ; méconnue de Jo. Une serpentard originale qui ne se posait pas de question avant de jeter un sort, ou un élève, à quelqu'un, ou à son puits ; et qui parvenait toujours à dire les choses véritables, éblouissant Jo. Un gryffondor voulant se montrer sévère mais assez généreux pour offrir son dernier bal à une demoiselle en besoin de prince charmant ; Et que Jo parvenait toujours à se mettre à dos sans le vouloir, mais s'en amusait bien, dans le fond. Aussi, un poufsouffle mystérieux qui faisait gagner plus de points à sa maison qu'elle n'aurait jamais rêvé en gagner auparavant ; Et dont Jo apprciait plus que tout les rares discussions dans les bas-quartiers. Ceux-ci étaient entourés de bien des gens, mais surtout deux poufsouffle féminines. Deux amoureuses un peu déçues, selon l'oeil de Jo.
Parfois, sans trop savoir pourquoi, Jo rêcait à leur aventure. Une nuit dans une cabane, après un entraînement de quidditch. Un rendez-vous dans le château qui se termine en demande de bal sur un balai. Une danse dans un couloir sombre au bal. Une scéance de spiritisme avec un jeune serpentard effrayé. Du réconfort entre ami(e)s à plusieurs occasions.
En classe, Jo était au milieu de leur petites guérilla. Il les voyait tous gagner ou perdre des points à leur rythme, alors que lui faisait sa petite affaire sans s'en mêler, sans s'en soucier. Mais à l'intérieur de lui, il admirait ses aînés. Il les aimait d'une façon bien étrange. Comme on aime un inconnu qui nous rend service.
Jo avait alors été entraîné dans le championnat. Il avait assisté à la course pour y être et surtout, il avait vu celle pour ne pas y être. Il avait deux de ces personnages tant appréciés, quoique secrètement, comme concurrents.
Il avait aussi assisté, après un cours de danse trop peu concluant, à une multiple demande d'accompagnement pour le bal, une pointe de jalousie et un amas de pitié sur le coeur.

Puis il y avait eu le bal. Où tant de choses s'étaient passées, tant de vérités s'étaient dites, tant d'événements s'étaient ressentis. Un moment magique vite passé. Puis plus rien. Jo ne revit quelques-uns de ces grands que pour le championnat, ou au détour d'un couloir, dans le grand hall, à errer. Il n'osait plus leur adresser la parole, ayant réussit à en faire un petit deuil, il avait peur que ses paroles, ses faits et gestes, ses posts ne soient jamais à la hauteur. Et pourtant l'ombre qui s'était glissée au-dessus de lui, une nuit, lui avait donné assez de confiance et de courage pour parvenir, peu à peu, à peu près à leur hauteur.
En plus, avec la nouvelle direction et les enlèvements, il ne savait plus que penser. Ni que faire.
En classe, tout était généralement calme. Les cahuteurs se comptaient sur les doigts d'une main à six doigts. Du coup, sans cette folie qu'il avait connue depuis son éclosion, Jo commença à perdre un peu de son sérieux. Il dormait dans les cours, à force de n'être plus réveillé par les remarques périlleusement longues d'un confrère, ou les sortilèges d'une consoeur. Tout cela parce que tout le monde avait peur de perdre des points. Mais Jo s'en fichait de ses points à lui. Tellement, qu'il les dépensait dans des trucs pour faire sourire les gens. Ça ne lui apportait que cela : des sourires qu'il ne voyait meme pas, mais imaginait de son coté de l'océan. Ce qui comptait, c'était les points de Poufsouffle, et déjà, ca suffisait à le faire agir comme ses aînés l'avaient si bien fait. Ou peut-être avait-il simplement aucune idée de comment faire?
Ainsi, il s'ennuyait de ses élèves qui, bien qu'ayant terminé, étaient parfois plus présents pour lui que bien d'autres. Il appréhendait aussi la fin de sa scolarité, mais c'était une autre histoire. Alors qu'il se fichait de de devenir un sorcier parmi tant d'autres, dans le monde sorcier, il ne voulait pas devenir un souvenir dans le chateau, mais se faisait peu à peu à l'idée...

Un peu tout et n'importe quoi lui rappelait ces gens qui mettaient la vie à Poudlard depuis son arrivée, mais disparaissaient maintenant peu à peu, remplacés par des élèves trop timides pour faire leur place de la même façon.

Voila. Destiny, tu comprends pourquoi j'avais la flemme?
Et je continuerai de cliquer toutes les fois que je vois ce petit icône du château, en pestant lorsqu'on me dira d'attendre 2 heures...
J'vous Ème, tout le monde (Vraiment, pas juste ceux de ma p'tite histoire)

Quoi? Une promise?
Euh, une surpresse...
Je veux dire, une promesse
Une surprise
J'avais oublié, imagines-tu,
Encore, que tu m'avais offert
Un cadeau cet hiver...

Ouais bon. J'espère que tu vas dire qu'il est SUPER-HYPER-QUALIFRAGILISTIQUEMENT EXQUIS-DÉLICIEUSEMENT MERVEILLEUX, ton cadeau!?!?! Pour que je puisse te rétorquer "Oui oui V-ro, t'as raison"...
Sérieusement, je l'Adore
et si c'est ces deux vers sans verdure qui te déçoivent, ne t'en fait guère, car les vers à double verrerie les compensent largement!
Sérieux, tu es trop top cool
Je comprend que ca t'aie pris du temps
j'aurais meme jamais pensé faire ca... alors réussir...???...!!!...???.... N'y pense même pas.
Pour conclure : Merci!