[Couple N°12] Sandwi Polyandre Nya

Ma tenue





Edit Juge Lara Impartial: Ton avatar est trop grand et tu es encore une fois décapitée

Précision: Sandwi, puisque tu as décidé de te mettre avec un garçon (le Prefet Poussin Falcon), tu entres dans la catégorie Ultimate Couple en compétition. Dommage, ce n'est pô ce que je pensais que tu allais faire. Enfin, bon...

Ta première épreuve compte pour le Couple Enki/Sandwi ou Julian/Sandwi, selon les votes des gens.

Pour attribuer des points à Enki/Sandwi sur la musique, il faut lire celle qu'ils font tous les deux dans le post d'Enki et la mettre en parallèle avec celle qu'elle fait ici. Il en va de même pour les demandes (à répétition )

A partir de la deuxième épreuve, tu joueras donc pour le Couple Falcon/Sanwdi et ce jusqu'à la fin.

Les points de l'UC avec Enki lui seront rajoutés car j'ai eu encore une déferlante de "Mais pourquoi Enki on peut pas lui mettre 50 points"

Par contre, en créditant les points d'Enki avec Sandwi, cela nuit aux points de ton partenaire (a.k.a. le préfet Poussin) et en créditant des points avec Julian, cela nuit à ceux d'Enki...

En outre, Préfet Poussin et Préfet Youshenko étant tous les deux border en ce qui concerne les règles*, l'option 50 points leur est toujours fermée, ainsi qu'à toi si l'ont vote pour le Couple Sandwi/Enki.

On n'a jamais rien sans rien

En outre, parce que vous me compliquez la vie, j'annonce que le nombre de points que gagnera Enki sur ce vote, devra en partie être reversé à l'amiable à Icare car il est réellement injuste que je pénalise Icare et pas Enki


*Préfet Poussin aurait dû être disqualifié car sa partenaire initiale, miss Wind, ne pouvait pas se présenter aux concours.

Je suis toute embrouillée, si quelqu'un à suivi ce que je viens de dire, pourrait-il me faire un résumé de moi-même siouplé

eidt dwi: moi je ne peux po trop te faire de résumer, je suis pas sûre d'avoir tout saisi, on va faire comme siet continuer à violer les règles (niak niak niak)

Après sa magnifique demande, et sa saisissante envie de délirer une fois de plus dans un événement pompeux comme le bal officiel de fin d'année avec son tendre ami Enki Youshenko.

Suite à une demande catastrophiquement interféré par plusieurs éléments comme une multitude de demandes au même moment, ou un entraînement de plusieurs sortilèges de la charmante Mowana Beckett:


Première demande:

Citation :

Surprise, prise au ventre, le coeur serré, l'estomac à l'envers, les poumons comprimés, les trippes retournées, elle n'avait prononcé aucun mot, tant l'air était bloqué, et les muscles contractés, les doigts crispés.

Le vent frais de la nuit fouettait ses yeux ecarquillés, figés sur le noir profond. Duquel survient le sol qui s'approchait dangeureusement, trés dangereusement . Quand elle crut à un impacte inévitable ...
L'orientation du balai changea pour remonter dans une douce sinusoïde.

Elle sentit de nouveaux ses systèmes vitaux, et put en faire une rapide inspection mentale.
Les palpitations énergique du coeur, l'estomac serré, les poumons sous-oxygénés, les trippes retournées, des douleurs au niveau de ventre.
Bienqu'elle adorait voler, qu'elle arpentait souvent des voltiges tortueuses, elle n'avait jamais fait ça en étant passager, encore moins derrière un inconnu, et encore moins de moins avec une telle perfide surprise .

Cette expérience exaltante, l'avait essouflé tant elle était éprouvante.

Les mots que le zigoto entre les mains de qui elle avait osé laisser sa misérable vie lui était rentré dans l'oreille sans creer de connection avec son cerveau.

Après un grand blanc, elle les entendit de nouveau comme s'il venait de les prononcer.

"-Hein? génial, on voit rien... On est dans le noir, un violent saule cogneur est dans le coin, on flotte à l'aveuglette... c'est vraiment génial... t'as ma vie entre tes mains...
Espèce de psychopathe...Au moment où elle prononçait ces mots, elle se rendait compte d'une chose, dont elle était sûre. Tu veux venir au bal de fin d'année avec moi ?"

Seconde demande:

Citation :

Dwi avait perdu Enki de vue depuis un moment déjà. Elle était en haut des escaliers lorsqu'elle vit une silhouette qui lui ressemblait vaguement, elle s'approcha alors de la rampe et fixa attentivement la silhouette pour la voir d'avantage lorsque celle-ci se tournerait pour regarder derrière.

Voilà qu'on l'interpelle. C'est une fille.
Rhôo, c'est Shanty qui lui fait gaiement un signe avant de se diriger doucement vers lui.

Là, elle se penche par dessus la rampe, et pousse sa voix:

Eeeeeeeeeeeeeenkiiiii, atteeeeeeeeeeeeeeeeeennnd, je desseeeeeeeeeeeeeeeeeennnnnd !

Elle dessend rapidement les escaliers, en trébuchant ici et là, et en tombant sur une fille de Serpentard, qui ne manqua pas de lui jeter une remarque acide malgrès son jeune âge !

-pardon

Lui jeta-t-elle en passant.

Quand elle arriva enfin au niveau de Enki, Sandwi lui jeta rapidement, avant que Shanty n'arrive, car après elle serait trop génée pour oser. (Quoique ?)


-Estcequetuveuxveniraubalavecmoi ?Lui projeta-t-elle sans prendre le temps de respirer.

Je vous épargne la lecture des demandes sans intérêt des autres.

Forcément après ça, sa copine Miss parfaite, qui n'avait pas réagi jusqu'à maintenant, l'invita enfin. Et monsieur plein de principe après m'avoir embrasser, oui, vous entendez bien, il m'a embrassé. Bon c'est vrai on était suspendu la tête en bas mais quand même, il a répondu à mon baiser volé.
Mais ne donna pas de réponse claire à la foule qui nous épiait comme un spectacle divertissant.



Suite à ça, assez ennervé, un peu jalouse, ell trouve un nouveau moyen de se ridiculiser dans les couloirs de Poudlard, ce fut une grosse, grosse, grosse boulette:

Julian Falcon

Citation :

*Assez enervé du temps d'attente pour prendre deux malheureux livres a la bibliothéque, il se precipite dans les couloirs et les escaliers de Poudlard, poussant un peu ceux qui se mettent en travers de sa route. Non, mais que croyait-il, qu'il n'avait que ca a faire? Le respect dû aux Prefets semblait ne plus exister. A part les Serpentards, les autres élèves feraient mieux de laisser la place a quelqu'un d'important et de faire diminuer leur ego.*

"Place, laissez place au Prefet"

*Puis arrive l'incident, causé par elle, causé par une vulgaire serdaigle, un accident qui le retarde encore un peu plus. Il avait accélerer le pas, et ne l'avait pas vu. Et c'est le choc. Il la heurte de plein fouet, il ne pouvait pas la voir, elle se tenait à l'angle, hors de sa vision donc. Et elle tombe, au sol, assez durement. Il grimace, il est déséquilibré, et ses livres tombent un par un sur la tête de... Sandwy. Oh, non pas elle... Il se contente de lui repondre*

"Et alors j'ai dit place, tu ne m'as pas entendu!"

*Puis il ramasse les livres, alors qu'un léger attroupement se forme autour de la déséquilibré encore au sol.*


_________________
Sandwi Nya


*Sandwi projeté au sol.
Sandwi reçoit un livre sur la tête.
Sandwi reçoit un deuxième livre sur la tête.

Puis se la (sa tête biensûr) couvre de ses bras, et jette un regard fébrile sur la source de danger. Il s'agissait de ce crétin de Serpentard de Julian Falcon. Elle se leva, la tête douloureuse.*

- T'es dingues.

*Elle lui donne un coup de baguette sur la tête, et eut soudain une idée diabolique qui lui traversa la tête. Elle jeta un coup d'oeil à Enki qui venait de s'échapper dans un couloir, celui-ci n'était pas trés loin. Alors Sandwi saisit l'instant, et lança une demande sonore à son agresseur espérant qu'elle fasse réagir son camarade :*

- Je t'invite au bal !

*Elle pensait que ce crétin de préfet ne pouvait qu'accepter, il aurait été trop flatter de venir au bal avec une septième année de provenance de Serdys.*


_________________
Julian Falcon


*Il se contente de lui rire au nez*

"Moi, aller au bal avec toi? Tu veux vraiment m'injurier a ce point! Ou me faire souffrir? Il est hors de question que j'y aille avec toi."

*Il sourit trés largement.*

"Je savais que les gens qui m'entourent en ce moment même, ont le don de rendre les personnes soit cinglé (il fixe Mowana), soit trop naive, et trop malléable (il fixe enki et Shanty). Mais peut être que tu étais comme ca par nature... Et j'ose esperer que tu n'as pas mis de poussiére sur mes livres dans ta chute."

Bref, la nuit du même jour, j'ai reçu une charmante lettre, on ne peut plus clair sur les choix de Monsieur l'indécis.

Une lettre de Monsieur Youshenko:

Citation :

"Dwi,

J'ai le coeur c'est de la compote depuis que tu m'as invité au bal et depuis Mowana dans le grand hall. Ca aurait pas du arriver.
Ca m'empêche de dormir d'avoir eu tes lèvres contre les miennes,
je m'attendais pas à toi, et je m'attendais pas à Shanty dans ma vie.

Il reste que Shanty, c'est avec elle que je suis et avec elle que je vais y aller à ce bal, car il me reste peu de temps à passer à poudlard et ce temps je le passerai avec elle.

J'espère qu'on aura d'autres heures mes les dernières je les lui donne, et faut que tu me pardonnes,

Enki"

Voilà!!!
Après avoir corrompu les deux vigils à l'entrée de la salle qui surveillaient les passages, je me pose, seule, au milieu de tout plein de couple mièvre, un peu idiot, à ce dire des "je t'aime", des "t'es jolie ce soir". J'aurai tendance à penser et les autres jours alors, hein?. On peut aussi avoir la joie d'apprécier des rires stupides, des sourires niais, des regards lumineusement arriérés.

Sandwi était assise à la droite de la table d'un couple radieux : Elbereth Varda et Ron Weasley .
A sa gauche, à une autre table, Julian Falcon attendait sa, sûrement, ravissante cavalière.
Alors que Sandwi avait revêtu ses parures et peintures de guerre. Elle avait réussi à affronter cette terrible chanson qu'elle avait faite en duo avec son camarade qui l'avait laissé chanter les "je t'aime" seule. Mais aux répétitions c'étaient différents, il chantait ces trois mots à deux.


Elle se rendait alors compte qu'il la quittait vraiment...
Elle n’y avait pas vraiment cru jusqu’à maintenant.


Autour d'elle, des regards mielleux, des sourires crèmes, de doucereuses mimiques, des timbres de voix sucrés, et des paroles que chacun déguste comme des friandises.

Beuhhh




Sandwi était seule .




Mièvrerie ambiante. Un regard sur la table où était le couple de Miss-parfaite et Monsieur-je-t-embrasse-mais-je-te-quitte-en-public. Elle lui avait promis qu'elle ne ferait pas ça, elle lui avait promis qu'elle le laisserait en paix, elle lui avait promis qu'elle accepterait ce tragique raisonnement. Mais, elle n'en put plus, elle craqua, elle se leva de sa chaise en souriant à son assemblé du même sourire hypocrite qu'elle avait fait une fois à Shanty.


Elle leva le regard sur la scène et effaça toutes les mimiques grotesques de son visage. Elle avait un air, comment dire, un air inquiétant, effrayant même, néanmoins résolu. Lorsqu'elle se mit en marche en direction du podium, on pouvait ressentir l'énergie bouillonnante qui s'extrayait de son corps par les pores de sa peau.


Elle s'arrêta prêt des Bizarr' Brothers pour indiquer au groupes son choix musical. L'un d'eux monta avec elle sur la scène en lui tenant galamment la main, et en la guidant à sa position. Elle prit alors une posture atypique, la jambe sur laquelle elle se porte est fléchit tandis que l’autre s’élance sur le côté, son buste se tourne dans une direction différente que son bassin, ses bras encadrant son visage, ses mains savamment positionnées.

Son regard fixe une seule personne : Enki Youshenko. Mais la distance qui sépare Sandwi des spectateurs trompe ces derniers par le pouvoir séparateur de l’œil, ainsi, chaque personne se trouvant face à elle se sent visé par son profond regard inquisiteur.


Pas besoin de sonorus pour cette chanson, elle chanterait de sa voix, voire de ses trippes. Elle avait trop d'énergie à sortir pour se permettre de l'amplifier un peu plus par un sort.

Elle inspira et expira trois profonds coups et…




…La musique commença


Les premiers tintements de guitares : Les doigts de Dwi ondulent au-dessus de sa tête. Cette main remuante glisse sur ses propres formes. Seule cette main naïve et heureuse bouge sous le regard foudroyant de son cavalier et ébahit de la foule.
La musique s'emporte :Le B’B s’approche à pas puissant et…lui saisit la main, tend son bras sur le côté. Il déshabille Dwi du regard, celle-ci le soutient de ses grands yeux bleus. Il glisse sa seconde main sur sa taille à une diabolique lenteur.

Des couples de danseurs qui viennent dont-ne sais où, faisant parti du groupe des Bizarr’ Brother là pour animer la soirée, s’éparpillent dans la salle et entrent dans la danse. Ils se mettent au pas de leur modèle sur scène. Modèle qui se voit aussi entourer de quelques autres couples de danseurs.

Le B’B serre Dwi avec un sourire défiant à la foule, il la maintient contre lui, ensemble, ils tournent. On sent les talons des chaussures faire trembler le sol.

Un tango enflammé s'exécute sur scène.


Bizarr' Brother:
Will drive you!
Will drive you!
Will drive you!
MAD!


Ils s’arrêtent. Les corps s’éloignent mais la poigne des hommes réagissent, et les ramène dans leur bras. On ne peut plus proche. Le B’B reprend sa chanson, sans jamais la toucher, il caresse les formes de sa cavalière en allant placer sa main gauche dans le creux des reins cambrés de Dwi, et serra fermement la main droite de cette dernière. Elle soutient son regard autoritaire. Leurs pas se croisent sans jamais se toucher. Il la tire vers elle, et tous se retrouvent dans des regards perçants, profonds et pétillants. Statique, elle sent son souffle chaud sur ses épaules frémissantes. Voilà que la main de mademoiselle tremble sous la tension (elle s’imagine qu’il s’agit d’Enki).

ROXANNE
You don't have to put on that red light
Walk the streets for Enki
You don't care if it's wrong or if it is right

Après plusieurs positions transitives, effectuer en rythme. Dwi se retrouve un genou à terre le dos tout contre le danseur. En défiant du regard Enki, elle dessina un sourire sur ses lèvres et remonta le dos plaqué au danseur. Une fois debout, il la saisit de nouveau et la fit tourner. Le B’B dans les yeux de sa cavalière, un mouvement la cambra en arrière, avant de se relever dans plus de langueur sensuel.

ROXANNE
You don't have to wear that dress tonight
ROXANNE
You don't have to spend your wit on it tonight

La passion du danseur se réfléchit dans ses mouvements torrides, des jeux de jambes agitent le bas du corps, alors que les bustes fixes se font faces, les regards se confronte, s’affronte, aucun sourire ne se dessinent sur les visages de cette troupe moite.
Conduite par son cavalier, elle se permet de jeter un regard inquisiteur et jaloux au couple Shanty/Enki, elle continua de danser sous la main pilote du B’B. Elle souffla sur un ton à faire glacer le sang les mots :

Dwi:
Her eyes upon your face
Her hand upon your hand
Her lips caress your skin
IT'S MORE THAN I CAN STAND!


La pointe de son pied caresse le sol, glisse, chemine autour du couple avant d’être stoppée par la fermeté despotique de celui de son cavalier. Un demi-tour, il la soulève, elle virevolte dans les airs, au dessus de son bras et se retrouve en grand écart au sol. Il la happe par le bras el la tire pour la mettre debout, avant de la réceptionner dans l’enceinte de ses bras.
( Les danseurs et le Bizarr'brother continuent de chanter en choeur derrière (là ils chantent des Roxannes et des sons inarticulés) Dwi dont la voix portait toujours)
Dwi:
Why does my heart cry?
Bizarr' brother :
ROXANNE! (ect.)
Dwi:
Feelings I can't fight!
You're free to leave me but
Just don't deceive me!
...And please believe me when I say
I LOVE YOU!

Un éclat de puissance pour la jeune Dwi, tout en émoi dans sa robe fluide, elle s’éloigne élégamment de son cavalier, tout en prenant des poses typiques dans la ferveur de cette danse. Elle descend du podium, et se place au milieu de la salle. Nous présentant encore, l’une de ses majestueuses cambrures voluptueuses.
Pendant ce temps, la musique ralentit




(silence, quelqu'un dit quelque chose en espagnol)

Y yo que te quiero tanto que voy hacer
Me dejaste, me dejaste por un momento de monedas
El alma se me fue
se me fue el corazon
Ya no tengo ganas de vivir
porque no te puedo convencer
que te acompañas te corazon
(Demander traduction si nécessaire)


La musique retourne à son premier tourment intense. Le B’B intrépide rejoint sa cavalière. Ils entrent à nouveau dans un tourbillon alléchant et passionné. Les regards foudroient dans une danse endiablée.

La fougue s’extériorise dans ce ballet.


Bizarr' Brother (pendant que Dwi chante):
ROXANNE!
You don't have to put on that red light!
You don't have to wear that dress tonight
ROXANNE!
You don't have to put on that red light
ROXANNE!
You don't have to wear that dress tonight!
ROXANNE!
ROXANNE!
ROXANNE!
ROXANNE!

Dwi:
Why does my heart cry?
Feelings I can't fight!
ENKI!
ENKI!
I love you!
I love you!
I love you!
I love you!







El Tango De Roxanne Lyrics
Artist: Jose Feliciano
Album: Moulin Rouge Soundtrack
Changement de parole en italique


Ils restèrent un moment dans leur position finale, dans cette tension, le temps d’un dernier frisson, le temps de frémir une dernière fois dans les yeux de l’inconnu, inconnu qu’elle transformait mentalement en un autre. Le temps de sortir de ce corps pour visualiser la scène du dessus. Jusqu'à y être violemment replonger alors que la salle tonnait sous les applaudissements enjoués des spectateurs.

Bon Dwi, n'était pas dupe, elle savait bien que ces "clap-clap" étaient d'avantage destinés aux danseurs qu'à elle. Bien qu’elle sache parfaitement danser le tango, elle aussi (bon, grâce à un sort discrètement jeté sur elle par un membre de la troupe avant qu'elle ne monte sur scène).


Elle fut raccompagnée triomphalement auprès de sa table par son adorable cavalier d'un tango passionné.

*Le Juge Lara Impartial passait de table en table et de couple en couple.
Le Juge n'était pas une personne à part entière mais une sorte de d'ombre rouge qui semait derrière elle ses sentences et ses verdicts comme une traînée de poudre.*

*Elle déposa sur chaque table deux feuilles de parchemin pour l'épreuve suivante mais n'expliqua pas encore de quoi il s'agissait.*

*Par ailleurs, flottant au-dessus de la scène, on pouvait voir les points que gagnaient chaque couple s'ajouter sous forme de sable magique qui coulait dans de petites répliques du sablier des points des maisons.
Chaque sablier était orné ses prénoms des intéressés.*

*A chaque fois qu'elle passait devant l'un des Couples, apparaissait le sablier là-bas, au-dessus de la scène, et au fur et à mesure qu'ils préparaient la deuxième épreuve, les sabliers se remplissaient, s'arrêtant sur les gradations suivantes: Lui: 0, 10, 25, 50 et Elle: 0, 10, 25, 50.*

*Quand le Juge passa à cette table, après maintes négociations et gallions filés sous la table, elle consentit à laisser les gens estimer le Utimate Couple Sandwi/Enki... mais non sans qu'ils y laissent quelques plumes chacun. *

- Très bien, dit le Juge, à cause de vous je me suis beaucoup pris la tête... et sachez que ma décision est celle-ci: je ne sais pas quoi faire de vous. Alors je ne vais rien faire de spécial pour l'instant. je vous demande de surveiller la temproralité de vos deux sujets sinon je les fusionne. Voici tout de même les points...



Julian: 205 points de jeu ajustés qui vous rapportent 17 points pour vous et votre maison. A ces points sont ajoutés les 10 gagnés pour vous remercier d'être passé , ce qui fait un total de 27 points.

Enki: 320 points de jeu. Cependant vous avez décidé de reverser par solidarité 120 points à Icare pour avoir fait la même erreur que vous. Cela fera donc 200 points ajustés qui vous rapportent 13 points pour vous et votre maison. A ces points sont ajoutés les 15 gagnés pour m'avoir défié et pour avoir imposé votre choix auprès de l'école en chantant dans votre autre sujet une chanson pour votre deuxième Amour (j'aime les gestes héroïques, ca fait pleurer) Total final: 28 points.

Sandwi: 740 points de jeu ajustés qui vous rapportent 27 points pour vous et votre maison. A ces points sont ajoutés les 40 gagnés pour l'originalité, la différence et le grain de folie de votre prestation, ce qui fait un total de 67 points. Vous auriez eu 20 points en plus si vous aviez suivi la consigne qui stipulait que les femmes chantaient des chansons de femmes et les hommes des chanson d'hommes Je n'ai aps retiré de point pour le mal de crâne que vous m'avez donné car vous avez été suffisemment punie" en faisant perdre à l'un et l'autre de vos camarade la possibilité de gagner un maximum de points.

Shanty était plus que chamboulée.
Toute retournée,
Emue,
Furieuse,
Triste,
Elle ressentait des tas de choses toutes plus différentes les unes que les autres qu’il serait impossible de décrire, ni même de lister.

Enki avait bien chanté, certes, mais en gros, ce qu’il lui disait, c’était « J’m’attendais pas, à toi, t’es un peu mal tombé… »



° Non Shanty, tu sais très bien qu’il n’a pas voulu dire ça.

Si, il ne pouvait pas le dire plus explicitement.

Non, il est juste un peu perdu, il s’attendait pas à te rencontrer.

Hum… N’empêche, il lui a presque dit " je t’aime "…

Non, il ne lui a pas dit, donc, il ne l’aime pas.

Même s’il ne l’aime pas, qu’est-ce qu’il ressent pour elle alors?

…

Et qu’est-ce qu’il ressent pour moi, hein?

… ° Pensa-t-elle, tiraillée entre deux pensées complètement différentes l’une de l’autre.



Hélas, toutes ces questions restaient sans réponse.
Et elle ne savait pas si un jour, Enki se déciderai à lui donner des réponses concrètes.

Ce que ressentait Shanty, c’était un sentiment entre tristesse et colère. Un sentiment qui bloquait toute ses pensées. Un sentiment qui la rendait incapable de réfléchir posément. Un sentiment qui la brûlait, lui donnait envie d’hurler
Malheureusement, il n’y avait pas de mot pour traduire ce sentiment.

Shanty était trop plongée dans ses réflexions pour voir que Sandwi venait encore une fois de monter sur la scène.
La jeune fille ne fut tirée de ses pensées que lorsqu’elle entendit une voix grave, celle du Bizar’Brother qui accompagnait Sandwi dans sa chanson.

° Encore?! Mais quand est-ce qu’elle s’arrêtera?!!!°

Toujours avec ce même sentiment, cette fois ci beaucoup plus intense, elle la regarda danser, chanter, sans jeter un regard à Enki qui devait être en extase devant ce machin bleu.



° Non, tu sais très bien qu’il doit être super gêné

Si, je suis sure qu’il se rend compte qu’il a fait une grave erreur en décidant, un beau jour de février, de m’inviter au bal à la place de Sandwi.

Il ne doit pas savoir où se mettre.

Il la trouve super sexy.

STOP!!! °



Une chose était sûre, Sandwi était allée beaucoup, mais alors beaucoup trop loin.

Shanty allait se lever lorsque le Juge Lara Impartial distribua une feuille de parchemin vierge, ainsi qu'une feuille d'instructions.
La deuxième épreuve était un poeme sur le thème de l'odorat.

° Bon... Je fais ce poème et après, je vais la voir. °

La préfète se pencha donc sur la feuille, et délibéra assez froidement avec Enki, à qui elle n'avait pas adressé la parole depuis son " Je t'aime ", des mots que chacun utiliserait dans son poème.
Puis, après avoir relu plusieurs fois les consignes, commença à écrires quelques strophes, tentant de les faire rimer, tentant de rester sur le même nombre de pieds, tentant... De retranscrire ses émotions sur le papier.

Après de longues longues minutes, elle retourna la feuille de parchemin de façon à ce que personne ne puisse lire ce qui y était inscrit, et se leva brutalement de son fauteuil , faisant au passage sursauter le couple d’à côté, interrompant ainsi leur réflexions poétiques.

Elle s’éloigna d’un pas rapide et plus qu’énervé vers Sandwi dans sa tenue d’extraterrestre qui faisait encore la fière après sa prestation.
Arrivée à sa hauteur, elle lui attrapa fermement le poignet, et l’entraîna dehors, sous les regards intrigués de Julian, du danseur et de quelques élèves.

Lorsqu’elle fut sortie de la bruyante salle de danse, elle lui lâcha le poignet, et avec un regard noir, lui dit, abandonnant ses sourires hypocrites et sa fausse amabilité.

« T’en as pas marre?! Cette situation a déjà assez durée… Qu’est-ce qu’il faut que je fasse pour que tu lâches l’affaire? »

Shanty ne savait pas si elle attendait un réponse elle ne voulait qu’une chose, que Sandwi arrête.
Qu’elle arrête de la faire souffrir. De les faire souffrir. Parce qu’elle savait qu’Enki aussi en avait marre de cette situation.
Mais Shanty, voulait surtout quelque chose qu’elle savait impossible:
Que Sandwi n’aime plus Enki.

Traînée par Miss parfaite, sandwi tentait de faire bonne figure en souriant à ces camarades qui les ragardait passer au travers de la salle.

Elle attirait pas mal d'attention après sa prestation.


A l'extérieur, Shanty la lacha enfin, et son doux sourire illuminant son joli visage se transforma en une moue sombre et menaçante.
Shanty passait enfin à l'action. Mais en y réflichissant bien, c'est la thérapie de Mowana dans le Grand hall qui l'avait réveillé.

pense: Si elle s'était mélée de ses affaires celle-là, Enki serait sûrement venu au bal avec moi ce soir...


Tiens, Miss Pârfaite me demande ce qui me ferait lacher l'affaire... humhum... Mais Sandwi ne lachera jamais l'affaire... Oh non, jamais!

*Un sourire exquis s'étendit au travers de son visage. Sourire qu'elle garda fixé à ses lèvres de manière démoniaque*

-Il y a bien quelque chose...

(silence effroyable)

Vend-moi une parcelle de ton âme et je te le laisse.



*Cette proposition ne ressemblait pas à Sandwi, mais elle avait encore une idée farfelus dans la tête, elle attendit la réponse de mademoiselle .*

Sandwi semblait réfléchir, ce qui surprit Shanty, car elle n'aurait vraiment pas pensé que schtroumfette puisse concevoir de laisser tomber Enki.

° Woh! Vas y Sandwi, dit moi ce que tu veux et je le ferais... °

La préfète guettait l'instant où elle lui ferait pare de sa requête, et faillit tomber à la renverse quand elle l'entendit.

° Ok, soit cette fille est tout simplement conne, soit elle est complètement folle et mériterai Askaban à vie °

" Tu veux que je te vendes une parcelle de mon âme?! " Répéta t-elle, comme si elle avait mal compris.

" Et quelle parcelle tu comptes prendre? Et comment? Et tu promets qu'après tu lâches l'affaire alors? " Lui demanda t-elle, les yeux ronds et toujours aussi stupéfaite.

Shanty l'imaginait assez bien dansant autour d'un feu, après avoir gravé sur les dalles de la terrasse des symboles mystérieux et allumé bougies et encens.

° Elle est malade... Une thérapie à Sainte Magouste serait inutile...°

° Hummmmm............... Pourquoi elle fait ça? Pourquoi elle veut me prendre mon âme...
mmmmmmmmmm....... Elle est folle, me prendre mon âme!
C'est pas possible!
D'un côté, j'aurais tout à y gagner puisqu'elle arrêtera d'harceler Enki... Et de toute façon, je l'aurais toujours mon âme! Ça part pas ce genre de choses.
Mais qui sait si machin tiendra parole... °

-Bien

*Toujours avec le même sourire effroyable avec lequel elle avait habillé son visage depuis que cette conversation s'était entamée en ces lieux, elle tendit la main dans le vide. D'un informulé, elle lança un sort d'attraction...

Après quelques instant une fiole vint à elle. Dans cette fiole, contenait une mixture violette aux lucioles lumineuses qui se promenaient à l'intérieur.


A Shanty, miss-parfaite-plus-pour-trés-longtemps, elle demanda sombrement:*

-Es-tu prêtes?


A cette question, elle n'attendait pas de réponse.
Les torches s'éteignirent tout au long du couloirs, les unes après les autres. Sandwi d'une coup de baguette alluma un feu artificiel entre elle et mistinguette.

Elle ne semblait pas trés à l'aise avec l'idée de donner son âme, mais c'était un moyen de tester son amour. Serait-elle capable de dépasser ses propres craintes.


Sandwi lacha le flacon à l'étrange mixture.Celui-ci, par un informulé de lévitation, vint se placer à une hauteur afin de faire tiédir, et liquifier son contenu.

Puis elle commença un simulacre de rituel, pour impressionner la jeune poufy.
Elle fit des grands signes avec ses bras, puis s'agenouilla avec une voix détimbrée qui semblait lancer une incantation dans un dialecte étrange. Puis elle se leva, toujours dans le même chant murmurer elle leva les bras au ciel.
Elle continua son show, donnant un spectacle inquiétant à la pauvre Shanty. Le feu accentuait d'atroces ombres sur le visage diabolique de Dwi, elle était monstrueuse. Et prennait un plaisir à danser à la manière des ethnies iendiennes aux croyances animistes.


Puis dans une flexion de jambe, les bras écartés elle s'arrêta brusquement, et incita mademôiselle à faire son choix.*


-Bois...
-Montre nous que tu l'aimes
...
-une gorgée suffira!


*Dwi jubilait intérieurement, elle s'ammusait bien, mais elle était trés forte et ne laissait rien paraître à sa jeune victime.
Elle prit la fiole tiède.
L'ouvrit.
Les lumières qui s'agitaient dans le flacon en jaillir, offrant à ces filles une pluie d'étincelle.
Puis elle tendit le flacon. La bouteille n'était séparée que d'une vingtaine de malheureux pouces de la bouche de Shanty.

Sandwi ne bougea plus, attendant que Shanty fasse son choix.

La question étant: Jusqu'où est-elle prète à aller pour prouver son amour à Enki?*

° Elle est barge!!! °

Une fiole qui contenait une substance étrange, de couleur violette avec des lucioles lumineuse qui semblait y nager vient léviter à quelques centimètre de la tête de Shanty.
Puis, Sandwi commença une sorte de rituel super effrayant, ou elle parlait dans une langue inconnue, en faisant une sorte de prière et en dansant d'une façon peu banale.
Elle affichait un sourire démoniaque, et le feu artificiel qui brûlait à ses pieds se reflettait dans ces yeux, lui donnant une alure démoniaque.

Soudain, "la chose" arrêta sa petite danse, et ouvrit le flacon, d'où s'échappa les petites lucioles qui voltigeaient de toute part.

° Hey! Mais elle fait quoi là?! °

Shanty repoussa la main de schtroumfette, et s'exclama

" Non! Je vais pas boire ton truc comme ça! Qui sait si c'est pas du poison où un truc du genre... "

Shnaty ne pensait pas vraiment que Sandwi voudrait l'empoisonner, Enki la détesterait.
Mais elle voulait avoir plus d'informations.

" Répond à mes questions! Quelle partie de mon âme tu compte prendre? Et tu promet que si je bois ça tu lâche l'affaire?! "

Pour la première question, Shanty n'attendait pas vraiment de réponse, car elle savait bien que l'âme, ça partait pas comme ça. Mais elle tenait vraiment à ce que Sandwi promesse d'arrêter d'harceler Enki.

-N'ait aucune crainte, je ne ferais rien qui puisse réellemment te nuire, ou lui nuire ... Et tu peux avoir confiance en ma parole!

*Un sourire méphistophélique s'accrocha à ses lèvres, une lueur infernal brillait dans ses yeux, une lueur presque hypnotique qui proférait à Shanty: "Prends cette fiole, accepte, accepte, accepte"*

*Soudain, prit d'un doute:*

-Tu n'as pas peur quand même?


pense: Mais qu'est ce que je suis en train de faire, Enki va me détester... dois-je faire ça ou pas...
Mais non, ce n'est pas grand chose, c'est juste une petite potion, c'est juste une petite blague. Un petit tour marrant et farfelus, c'est juste pour impressioner mademoiselle parfaite ... allé, tiens bon, ne rigole pas ... tu pourrais être découverte...
Inspire, expire, inspire, expire...
Voilà...
Tranquille...

pense: Héhéhé

*Elle approcha un peu plus la fiole de Shanty pour l'inciter à la saisir.*

D'une main tremblante, Shanty saisit la fiole, et l'inspecta de plus près encore.

Lui faire confiance? Non, Shanty ne faisait pas vraiment confiance à Sandwi...

Un sourire machiavélique lui barrait le visage, et cette flamme, encore plus intense, qui brillait dans ces yeux, oui, faisait un peu peur à Shanty.

° Bois ça, de toute façon ce n'est qu'une potion... D'accord tu ne sais pas ce qu'elle contient, mais ça ne va rien te faire du tout et tu n'auras plus ce truc bleu collé aux baskets. °

Alors, Shanty approcha de ses lèvres le récipient de verre, qu'elle pencha, pour en boire une petite gorgée.

La potion avait un gout de menthe caramélisée, mélange assez étrange d'ailleurs, et Shanty sentait aussi un autre goût, mais elle n'avait aucune idée de quoi il pouvait s'agir.
L'odeur était également assez spéciale, et la texture un peu visqueuse.
Le tout formait un mélange pas vraiment agréable.

La préfète reposa la fiole dans les airs.

° Tu vois, c'était vraiment rien du tout... °

Pensa t-elle avec néanmoins une assez désagréable sensation.

° Et si c'était vrai? °

Elle avait la tête qui tournait, et elle fut soudain prise d'une horrible envie de vomir.

" Qu'est ce que tu m'as donné! C'était du poison! Je n'aurais jamais du te faire confiance " Hurla t-elle à l'attention de Sandwi.

La préfète s'appuya contre le mur extérieur de la salle de danse, ferma les yeux, attendant que le mal passe. D'une main moite, elle tenta de trouver sa baguette qu'elle avait glissée dans sa robe en début de soirée.

° Je vais la tuer, je vais la tuer! °

Shanty était hystérique, mais malheureusement, l'état dans lequel elle se trouvait l'empêchait de nuire à la Serdaigle qui, plantée là, profitait du spectacle.
Et elle ne tarda pas à se rendre compte qu’elle n’avait pas sa baguette avec elle, l’ayant oubliée sur l’estrade.

Au bout d’un moment, l’envie de vomir passa, laissant place à une grande confusion qui envahit alors Shanty.

° Et si c’était vrai ? °

Et si, par le simple fait d’avoir bu cette potion, elle venait de perdre un bout de son âme ?
Sandwi n’avait sûrement pas fait toute cette préparation pour un simple somnifère, ou une potion sans effet spécial, mais avec ce goût si étrange.
Elle s’assit sur les dalles froides, l’esprit complètement ailleurs, ne sachant quoi penser, ne sachant quoi faire.
Et si ce n’était qu’un rève ?
Avait-elle réellement quitté la salle de bal ?
N’allait-elle pas se réveiller, d’une seconde à l’autre, assise auprès de Lui.
Elle ne savait pas.
Elle se cogna violement la tête contre le mur, histoire de revenir sur terre.

Non, elle ne rêvait pas, elle était bel et bien présente.

hj: T'as eu chaud Dwi. J'ai bein faillit dire que Shanty avait révé toute cette histoire...

-Finite Incantatem

*Retentit dans le hall. Tout redevient parfaitement normale, comme à l'origine. Seul la potion continuatit à faire son effet sur Miss-Parfaite.

Un sourire tendre illumina le doux visage de Dwi. L'ultime geste de la pouf-préfete afin d'avoir la paix l'avait touché, réellement touché, profondemment touché.*

*soupir*

Elle s'agenouilla devant le trouble de la jeune fille, et posa amicalement sa main sur son épaule.


-Shanty...

Puis, de la même main avec laquelle elle lui avait saisi l'épaule plus tôt, elle la prit par la main et se leva. L'entraînant dans son élan. De toutes évidences, elle était un peu dans la lune. Euhh... Que dis-je?... Elle était totalment à L'Ouest, oui...
Elle se laissait faire sans broncher.

Sandwi un peu inquiète demanda:

-Euhh... Ca va?

En fait, elle savait trés bien que c'était normal, et elle savait déjà ce qu'allait lui répondre sa camarade poufy. Elle allait lui dire un "oui" évasif et lointain, un peu comme son état actuel. Elle savait aussi que tout ça était parfaitement normal.
Maintenant elle se demandait comment allait le prendre Enki, à l'image de la tête de ce dernier, lorsqu'il comprendrait qu'un truc ne va pas, elle fit une mimique de coupable qui venait de se rendre compte qu'elle venait de faire une grosse, grosse boulette.




Elle se dirigeait vers l'entrée de la salle de bal et fut saisit d'un énorme doute: Est-ce que je ne vais pas le regretter ?


*Après une minute de réflexion dans un silence de plomb...

pense: Non. C'est cool. C'est pas quelque chose de grave. Juste une petite potion de Morphée. c'est une petite blague ... et une grande preuve d'amour


Sa décision prise, elle ouvre la porte et raccompage Shanty à Deux tables de la sienne, espèrant qu'elle trouve seule les derniers mètres à parcourir sans trop se cogner.*

pense: Je suis un peu bête quand même de lui donner l'occasion de prouver aussi courageusement son amour pour Enki


*Elle alla s'assoir à sa table, et jeta un dernier coup d'oeil sur celle de sa victime. Elle constata tendrement que tout allait bien.
Puis offra enfin son attention à son cavalier, qui l'avait rejoin bien tardivement pour des raisons obscures, dont la première était que sa propre cavalière était malade .
Elle rougit se rendant compte qu'elle ne lui avait pas porté beaucoup d'attention.

Puis se déculpabilisa en repensant à l'humiliation qu'il lui avait fait subir dans un couloir un jour.

Elle porta à ses lèvres, le verre et le reposa, et ne put s'empécher de jeter encore un oeil à ce qui se passait plus loin, à la table des poufs-préfets.*

*Assez surpris, voila le sentiment qu'il éprouvait en ce moment,il avait suivi leur discussion assez étonné que Sandwy ne lui ait pas fourni de reponses quand à sa chanson. Elle avait suivi Shanty au dehors et sa curiosité avait été attiré. Il se rapellait les avoir suivi, essayant de ne pas paraitre à leur regard, et il avait de ce fait pu entendre la discussion la plus étrange, auquel il ait assisté dans toute sa vie. Ainsi Sandwy, la fille pour qui il se sentait attiré, avait a peu prés autant de liens avec les caractéristiques de sa maison Serdaigle, que des liens avec un ange. Elle tenait beaucoup plus du demon, et il avait était sidéré d'apprendre qu'elle avait réussi a s'emparer de l'âme de Shanty et que Shanty ait été assez bete pour accepter. Un acte d'une telle gravité, aurait du lui faire jouer son role de Prefet et il aurait du en parler au directeur de sa maison, mais tout cela avait un certain coté assez pervers... Tout cela l'intimidait, il ne savait pas ce qu'il devait faire à cet instant. Puis avant que les deux élèves cessent leur discussion, il était retourné s'asseoir. Et il ne cessait de ressasser ces événements, mais il avait surtout entendu une chose qui le troublait plus encore, c'était que ces deux jeunes femmes étaient attirés par... Enki? Il réprima une moue de dégout, qui se serait trop vite lue sur son visage.*

*Pourquoi ce Poufsouffle les interessait-il donc toutes? Pourquoi donc, est ce qu'il n'avait pas autant de succés auprés des filles? Bon Elisa lui plaisait, mais en ce moment, son esprit restait fixé sur Sandwy, l'apprenti suprême en démonerie en tout genre. *

*Puis les deux sont revenus, Shanty est allé rejoindre son Enki, et Sandwy est revenu a ses cotés, lui jettant un rapide coup d'oeil, mais sans pour autant lui dire ce qu'elle pensait de sa chanson. Dites le avec des fleurs... Ou avec un Poeme! Voila la solution qui lui venait à l'esprit. Un Poeme, Julian Falcon, écrit un poeme pour plaire a une fille... Il se sentit défaillir. Mais qu'importe, il était temps de passer a l'attaque, et d'essayer de lui faire comprendre ce qu'il ressentait.*

"Sandwy, tu sais..."

*Il la fixe dans les yeux, un regard gentillet, qu'il ne voulait pas intimidant.*

"Je t'ai entendu tout a l'heure, prendre l'ame de Shanty, c'était courageux, il fallait la vouloir surtout la sienne..."

*Mais non, qu'est ce que tu dis, c'est pas ca abruti! *

"Tu as sorti cette fiole et j'ignore ce qu'elle contenait... J'aurais du jouer mon role de Prefet et te faire renvoyer de l'école pour ca, mais j'ai été indulgent. Tu representes un mystére que j'aimerais percer. Que j'aimerais connaitre... Et j'espere que je n'aurais pas a te donner mon ame pour ca, car tu ne l'auras pas."

*Il souleve légerement la tête et se masse la nuque.*

"Ma chanson de tout a l'heure n'a pas eu l'air d'attirer ton attention. J'espere que ces quelques vers feront le difference."

*Il se prépare a déclamer.*


Assis a la table, seul, en pleine impatience.
Regardant toutes les personnes qui dansent.
A travers la foule déchainée,
Il apercut cette fille, si jeune, excité
Dansant tel un ange enivré,
Chantant sur la piste, avec sa voix de poupée.

C'était un jeune Prefet qui s'avance,
Ne connaissant pas ces pas si tendance.
Les traits tirés et les mouvements aussi durs qu'un souaffle.
La gorge serré et ayant intérieurement cette soif.
Il chantonna, fredonnant faiblement une chanson et c'est alors…
Que sans l'écouter, elle repartit avec Shanty tout d'abord.

Décidant de les suivre,
Il vécut ce spectacle horrible,
De la main portant une fiole de mort,
De shanty qui en absorba, bien plus que le bord.
D'une âme si fragile et si pure qui s'envolait,
Et qui atterrit finalement entre les mains de Sandwy, ici d'une grande perversité.

Lâche comme le crapaud,[color=violet] ou faible par amour.
A cause de cette femme, dont il aime les contours.
Un coup d'expelliarmus et son regard m'a terrassé, désarmé.
Mais pourtant, je ne cesse de vous aimer.
D'une envie persistante, de vous jeter dans un puit,
Comme mowana Beckett l'aurait fait, et puis…
Ce sentiment de chocosgrenouille fondant sur la langue,
Au goût subtil, me rappelle la saveur de votre langue…
D'un baiser subtil que vous m'offrirez,
C'est a ça que je verrais si vous m'aimez…

[color:1cbd=green:1cbd]*Il attend maintenant une reponse, un baiser, quelque chose... *

*Sandwi, toujours en gardant un œil sur le couple à qui elle venait de voler une âme, elle écoutait attentivement les déclarations successives de son cavalier.*

*Puis, attendrie, elle sourit.*

*Mais elle trouvait ça absurde. Il n’y avait aucun réel sentiment dans ce que lui déclamait. Il avait juste été envouté par le charme fascinant d’une danse suave. Ce garçon aussi glaciale que le zéro absolu lui-même, pas très débrouillard et on ne peut plus mesquin lui dévoilait des sentiments improbables. En tout cas c’est ce qu’elle se disait pour se rassurer.*


*Pestant pour elle, en regardant le contenu de son verre:*

-Ciel et Terre !

Elle le vida d’une gorgée avant de reprendre la parole.



Julian, mon ami, elle dit ça mais en fait elle n’était plus très sûre au moment ou elle prononçait ces mots s’il était vraiment son ami et son visage prit l’image d’une moue douteuse.

-Tu vois…

Elle posa un coude sur la table et se pencha pour se rapprocher près de son cavalier, comme pour lui dire un secret, elle leva un index.

-Tu vois, tu es très gentil, mais,…
Elle se rassie au fond de sa chaise.

-Mais, je t’aime… bien, et c’est tout.

Elle remplie son verre qu’elle trouve bien trop vide. Elle le porte à ses lèvres avec une grâce légère. Adossée au dossier de son siège, le verre dans la paume de sa main, elle joue avec le liquide du contenant. Un tourbillon volupté se crée en son centre.

Pense : Sonnet de l’Absinthe

Absinthe, O my lively liquor,
It seems, when I drink you
I inhale the young forest’s soul
During the beautiful green season.
Absinthe, ô ma liqueur alerte
Il me semble quand je te bois
Boire l’âme des jeunes bois
Pendant la belle saison verte.

Your perfume disconcerts me
And in your opalescence
I see the full heavens of yore,
As through an open gate.
Ton frais parfum me déconcerte
Et dans ton opale je vois
Des cieux habités autrefois
Comme par une porte ouverte.

What matter, O refuge of the damned,
That you a vain paradise be,
If you appease my need
Qu’importe, ô recours des maudits,
Que tu sois un vain paradis,
Sit tu contentes mon envie;;

And if, before I enter the gate,
You make me put up with life,
By accustoming me to death.
Et si, devant que j’entre au port,
Tu me fais supporter la vie,
En m’habituant à la mort.
RAOUL PONCHON


*Elle sourie toujours en fixant ce liquide fascinant.*

-Je ne suis même pas sûre de t’aimer.
Mais, je te remercie de ne point m’avoir inculpé pour ce que j’ai dit à Shanty.
Ou fait.
Et le poème que tu me proclames est finalement assez gentillet.

*Elle se lève, et se penche au-dessus de la table, pose un baiser tant désiré sur les lèvres de son cavalier. Se rassoit, récupère son verre. *

-Ca ne veut pas dire que je t’aime, encore moins que je t’apprécie, ne voit pas par ce geste une quelconque marque d’affection. Mes sentiments n’ont pas changés. Je ne t’aime pas. Et si un Scroutt nous pourchasse, ça sera à chacun ses poils de tête. Autrement dit, « compte pas sur moi ». Je tiens à te dire que je te trouve antipathique.
Euh… C’est claire là ?

*Pour point finale, elle lui offrit un petit sourire de travers et coquin.
-Maintenant, pour toi un poème, prends une plume et un parchemin, tu vas le copier.

*Elle prit sa voix théatrale et, au lieu de lui réciter son poème, elle lui joua :*



*Silence*
-Si tu veux que je t’explique, demande !
Elle s’adossa à nouveau à son siège, fixant tour à tour, son verre, son cavalier, et celui dont il aurait aimer qu’il soit son cavalier et sa cavalière respective.

Pense :

*Tout au long de cette soirée Mickael avait jeté de petits regards aux couples qui emplissaient la salle de bal. Certes la vue de sa cavalière lui était préférée mais il avait quand même voulu avoir un petit tour d'horizon des pseudo-couples de Poudlard. Certaines tables retinrent cependant plus sont attention mesurée que d'autre. Ainsi en était-il pour la table de la dénommée Miss Nya, première du nom, qui avait au grand étonnement du Serdaigle toujours un verre à la main, qu'elle n'hésitait pas à vider d'une traite. Clairement choqué, mais pas scandalisé non plus, il était resté de marbre face à cette façon d'agir qu'il considérait comme déplacée dans un tel lieu. Bien sûr il savait très bien que des septièmes années devaient avoir l'habitude de boire autre chose que du jus de citrouille ou même de la Bieraubeurre, mais de la à le montrer dans une école… Il ne fallait pas exagérer ! Il était d'ailleurs assez surprenant de voir que le professeur Dumbledore, pourtant très sage en règle générale, permettre que de l'alcool soit servit pendant une soirée à Poudlard.

Peut être qu'Ernest a raison, il devient quand même sénile…

*Le bal continua de plus belle par une épreuve consistant en la rédaction d'un poème destiné à sa "moitié". Après s'être acquitté non sans mal de cette exercice il avait du en faire lecture puis écouter la réponse fort agréable de sa cavalière. Ils avaient discuté un peu ensemble, partageant leurs impressions, quand l'attention de Mickael fut une nouvelle fois attirée par la Demoiselle Nya. Elle venait d'avaler un nouveau verre de cette "potion" qu'elle semblait tant apprécier, quand elle se leva pour embrasser, chastement, son cavalier. Se remémorant une expérience qu'avait eu Ernest et dont ils avaient discuté, il se dit tout de suite qu'elle devait être ivre, tout au moins assez euphorique. S'excusant auprès de Helena, il se leva et se dirigea discrètement mais d'un pas sûr vers la table située un peu en retrait, derrière la jeune fille qu'il venait de quitter temporairement.
Atteignant la table d'un instant à l'autre, il réfléchissait à la façon d'aborder ce "couple" et à faire part à la jeune femme du sentiment qu'il avait à son encontre, aux vues de son comportement. Peut être faisait-il une erreur, après tout rien ne lui disait qu'ils ne sortaient pas ensemble, il aurait l'air bien stupide si tel était le cas. Cependant il ne pouvait plus reculer à présent, quelques pas le séparant à peine de ces "adultes" encore à l'école.*

-Je m'excuse de vous déranger. Je vous ai observé un peu durant la soirée… enfin surtout toi Sandwi et je voulais dire que je suis un peu outré par vos comportements respectifs. Il ne me semble pas que Poudlard soit un lieu propice à la consommation de liquides enivrants or il m'a semblé que tu ne te gênais pas et que tu passais outre cette morale. Je trouve que toi aussi ton comportement n'est pas digne d'un gentleman. Vous ne paraissez pas former un couple or elle t'embrasse après s'être délectée de ce breuvage et tu n'as aucune réaction pour l'éviter. Loin de moi l'idée de t'imposer ma vision des choses, je ne le pourrais de toute façon pas je pense, mais je crois qu'il n'est pas correcte de profiter d'une jeune femme, aussi belle et stimulante soit-elle.

Cool tu as encore fait ton gros sec… t'aurais mieux fait de rester avec Helena au lieu de passer pour un imbécile ! Bon autant finir en beauté maintenant.

-Je pense ma chère demoiselle que vous devriez très sincèrement cesser de boire, vous donnez une mauvaise image de vous et de plus vous offrez l'occasion à certains garçons de profiter de vous d'une quelconque manière ! Bien que je ne te connaisse pas personnellement j'avais tout de même un bonne estime de toi… estime que tu viens de perdre si cela peut t'intéresser.

*Alors que sa voix se tut il se rendit compte qu'il avait pu parler librement, sans qu'aucun des deux élèves n'interviennent, ce qui à son avis ne pouvait signifier que deux choses : il avait réussit à leur faire comprendre le message et ils acceptaient… mais cela était aussi probable que de voir le professeur McGonagall courir en robe de chambre dans la grande salle, en hurlant qu'elle aime les Chocogrenouilles. La deuxième possibilité, moins plaisante, était qu'ils avaient respecté sont temps de paroles et qu'à présent une tempête allait s'abattre sur lui.*

Le Professeur McGonagall s'était jusqu'à maintenant enfermée à doubles tours dans son bureau une tasse de chocolat chaud à la main relevée avec un peu de liqueur d'ananas. Elle s'était permis cette « petite » entorse au règlement vu qu'apparemment tout Poudlard était à la fête ce soir. Et à son plus grand malheur.

Sa sévérité se serait sans doute opposée à cette idée saugrenue qu'un bal soit organisé. Elle imaginait déjà les conséquences désastreuses d'une telle allégresse sur la réputation de la pourtant plus grande école de sorcellerie : Poudlard.
Edit Juge: Et pourtant si McGonagall était un poil plus à la mode, elle verrait qu'il n'avait jamais été de plus belles intéractions entre les étudiants de Pouldard que durant ce bal. Oh, comme Dumbledore était heureux d'avoir eu l'idée de rassembler tous ces coeurs pour une dernière soirée ! Alors le Juge regarda entrer la vieile prof de Métamorphose sans rien dire mais en lui assémant un regard torve qui en disait long sur sa façon d'être à la mode du 12 ème siècle avant Merlin.
Pense: 'Tain McGo...détends ton string et mets du fuschia, ça donne bonne mine...

Mais voilà. Jamais, ô grand jamais elle ne se serait permis de contrarier Dumbledore et ses idées si… Si… Loufoques. Non. Car sans paraître, le grand homme commençait sérieusement à de faire vieux.


Cependant, tandis qu'elle picolait sirotait tranquillement son assortiment chocolat/ananas – et dont les dernières traces de chocolat avaient disparu, il y a bien longtemps déjà- quelqu'un vînt frapper se manger la porte du bureau.
McGonagall dont il était laborieux maintenant de connaître la véritable humeur entre colère et euphorie précisa malgré tout à travers la porte que celle-ci était fermée. Des grognements s'en suivirent avant que Rogue fasse enfin son apparition. A son allure enivrée, le maître de potion avait probablement fait un détour par l'office de Dumbledore…
Joyeux comme pas deux, une bouteille d'un violent whisky dans une main et deux énorme chopes dans l'autre, il titubait légèrement et gueulait pour dire : « Bah alors McGo ! On t'attend ! Qu'est-ce tu fais ?! Albus a organiser une fête un peu plus –Entre guillemets- privé dans la salle de derrière. Tu sais celle… »

Là, McGonagall eu la perspicacité de le couper parce que si elle-même avait légèrement bu [Hum hum… ], Rogue aux vus de son haleine n’y était pas, mais alors vraiment pas aller de main morte. Sans plus attendre, elle acquiesça, elle le poussa -avec le peu de raison qui lui rester encore- hors de son bureau.

Et là, c’est l’éclipse temporelle !

Le deux Professeur pénétrèrent dans la salle de bal se soutenant l’un à l’autre, la bouteille de TRES violent whisky toujours à la main de Rogue mais… Vide.

*Un brin de conscience lui traversa l'esprit se rappelant que s'est bien le Professeur McGonagall qui le soutenait, et vis versa. Leur regard se croisèrent, puis ils s'écartèrent l'un de l'autre comme s'ils venaient de s'appercevoir qu'ils avaient la peste.*

*Il reprirent une tête sérieuse et se tenir droit, remettant correctement en place leur robre de sorcier, puis il se jetèrent à nouveau un regard et expllosèrent de rire. Rogue s'approcha à pas feutré de sa collègue et la prit par l'épaule.*

-Chère collègue

*Sur ce mot, sa lèvre inférieure s'était retroussée machinalement comme par dégoût.*

-Je vous propose un jeu, pour savoir qui est le plus respectable professeur de cette maudite école appelée Poudlard. A celui qui atteind le premier la porte de l'autre coté de la salle, où il y a la seconde fête VIP

*Il chercha du regard laporte à l'autre bout de la salle.*

... Biensûr c'est une question de rapidité, ...mais.... aussi d'agilité, car il faudra zigzaguer entre les tables se trouvant sur cette ligne, ...je veux dire celle qui sépare le point où l'on est au point l'où on doit aller,... je veux dire...
*Il se retourna vers le professeur McGonagall et lui demanda: *

Vous m'avez compris?

*Il n'attendit pas sa répnse pour lancer le top départ presque chuchoté pour pas qu'elle l'entende*

-C'est parti!


*Et s'élança aussitôt dans la salle, il savait vu l'âge de sa collègue qu'il serait facile de la doubler, et de gagner!*


HJ: L'abus d'alcool est dangereux pour la santé!

*Mickael qui attendait une réaction de la part du jeune couple fut surpris et même horrifié de voir débarquer les professeurs McGonagall et Rogue de derrière une porte, dans un état d'ébriété pour le moins évident. Ils se mirent à rire sans raisons apparentes, se lançant de petits regards. Leur comportement était inqualifiable et surtout incroyable !! Comment penser même pris de folie qu'un de ces professeurs puisse un jour se retrouver dans un état aussi déplorable et irrespectueux du règlement de Poudlard. La bouche grande ouverte sous le choc, des pensées fusèrent dans sa tête.*

Je deviens fou ou quoi ? Cee ne peux pas être vraiment eux ! Ils ne pourraient jamais faire ça !!

*Il observait les deux professeurs qui discutaient, ou plutôt le professeur Rogue qui semblait vouloir faire comprendre quelque chose à la directrice de la maison Gryffondor. Soudainement le maître des potions s'élança au triple galop en direction de l'autre bout de la salle, avec pour obstacles les tables où se trouvaient les couples mais aussi Mickael. Alors que le professeur s'approchait rapidement, une idée traversa l'esprit du jeune homme.*

Pourquoi pas… après tout je ne risque pas grand chose, le vrai Rogue ne se serait jamais montré comme cela en public !

*Certainement pas, encore moins devant des élèves dont il aimait se moquer et blâmer à tout va. C'est alors que le professeur était encore à quelques foulés de lui que Mickael tendit discrètement le pied afin de faire tomber cet imposteur, qui ne pouvait qu'en être un ! Il n'osait même pas penser que cela ne puisse pas être le cas.*

*Ne prenant garde, le professeur zigzaguait, courrait aussi vite qu'une flèche tranchant le vent ( enfin, c'était son impression)*



-Monsieur Stonebridge, moins 20 points pour votre maison !

Dit-il sur un ton sec, il cherchait des yeux sa concurrente qui s'était arrêter pour rire aux éclats.
Ni une, ni deux il reprit sa course !