1/ Identité de votre personnage:
Avatar que vous avez choisi: Mae Whitman, on l’imagine plus à 11 ans.
Prénoms : Lauren Amelia Georgia (Merlin, quelle horreur !)
Nom : Williams
Sexe : F
Année d'intégration désirée : 1ère année
Nationalité/ville : Anglaise, de Teignmouth dans le Devon
Parents : Sorciers tous les deux, mon père étant sorcier né-moldu, ma mère sorcière par la sienne (son père est moldu)
2/ Imaginez une petite histoire ou une petite anecdote à travers les pensées de votre personnage, le jour où il doit se rendre à Poudlard pour la première fois. Tâchez de glisser des événements de la vie de votre personnage, des caractéristiques de sa biographie pour commencer à le dessiner.
Enfin ! Enfin, le 1er septembre ! Pas n’importe quel 1er septembre de n’importe quelle année, mais le 1er septembre où ma vie prenait un tournant. Car enfin, j’entrais à Poudlard ! J’attendais ce jour avec impatience depuis le jour où ma mère m’a expliqué que je suis une sorcière. Une sorcière, une vraie de vraie, pas un de ces arnaqueurs qui font des tours de magie pour se récolter de l’argent, ni ceux de la télévision moldue où il suffit qu’ils bougent leurs petits doigts pour qu’il se passe quelque chose… Quoique… moi aussi, quand j’étais plus petite dès que je levais un doigt, il se passait quelque chose. Une vraie catastrophe.
D’ailleurs, c’est à cause de mes petites catastrophes au sein de la maternelle moldue que mes parents m’ont retiré de là-bas. Ils ont décidé de m’enseigner les bases de la magie pour que j’évite mes « petites catastrophes ». En fait, c’est plutôt ma grand-mère maternelle qui m’enseignait puisque mes parents étaient occupés à travailler à Sainte-Mangouste. Je lui dois beaucoup. C’est grâce à elle que je ne suis plus une catastrophe. Mais ma courageuse mamie m’a aussi appris l’éducation à la moldue : les sciences, les mathématiques, la grammaire, les langues dont le latin. J’en ai beaucoup bavé avec le latin, mais elle m’assurait que c’était essentiel vu que je suis une sorcière. J’ai donc passé beaucoup plus de temps avec ma grand-mère qu’avec mes parents, qui travaillaient comme médicomages à Sainte-Mangouste, ou qu’avec mon frère aîné. Anthony. Il a dix ans de plus que moi, et a donc été à Poudlard et l’avait déjà quitté quand j’y entrais. Et heureusement ! Ce garçon est immature. Même s’il a vite quitté la maison pour Poudlard après ma naissance, il a toujours pris le temps quand il était à la maison, pour m’embêter et me faire tourner en bourrique. Il n’a jamais manifesté la moindre bonne affection à mon égard. Un jour, je le surpris avouer à mes parents qu’il aurait préféré resté fils unique toute sa vie et avoir un chien à la place d’une petite sœur. Depuis ce jour, je le méprise profondément. A 21 ans, il n’est pas plus évolué qu’un véracrasse et aussi aimable qu’un troll des montagnes. Quand on discute avec lui (quand on y arrive déjà), on comprend pourquoi il a raté une fois ses B.U.SE et aussi une fois ses A.S.PI.C. Il l’a eu à la deuxième fois. Rien à voir avec un travailleur acharné, alors qu’il était à Poufsouffle. Mon père était dans cette maison, et il est tout le contraire de mon frère. Agréable, de bonne humeur, rieur, amuseur mais aussi travailleur, ambitieux, et altruiste. Ma mère, elle, était à Serdaigle et ressemble à une caricature de ceux qu’on pourrait trouver là-bas : sage, discrète, adorant travailler, toujours le nez fourré dans un livre quand elle n’est pas à la bibliothèque.
Mes parents n’avaient pas pu prendre un jour de congé pour m’accompagner pour ce fameux jour. Ce fut donc ma très chère grand-mère qui m’y emmena. Elle m’avait montré comment prendre le passage de Kings Cross pour aller sur le quai 9 ¾, et m’avait répété un nombre incalculable de fois toutes les recommandations. Je quittais ma grand-mère avec peine. On avait passé dix ans de notre vie toujours ensemble.
Dans le Poudlard Express, je m’étais installée dans un compartiment vide, et pris largement ma place. Les sièges étaient confortables et j e me demandais si Poudlard l’était tout autant. Je fus dérangé par une bande d’olibrius qui entra bruyamment dans le compartiment. Argh, mes oreilles, pitié !
Quoi ? Ils me disaient de me pousser, que je prenais toute la place alors que j’étais seule. Grmphnk. Même si je n’aime pas quand on me presse ou me pousse, je le faisais en manifestant aux nouveaux venus toute ma mauvaise humeur puis me cala contre la vitre. Le train ne tarde pas à siffler, et faire sortir une incroyable fumée sur le quai puis démarre. Le paysage changea rapidement, et je me plongea aussitôt dans des rêves, m’imaginant déjà ma nouvelle vie à Poudlard.
3/ Quels sont les trois choses les plus importantes dans votre vie?Ma grand-mère maternelle, rêver et ma baguette.
4/ Vous ne pourriez pas passer une journée sans...? (compléter cette phrase) Rêver.
5/ Votre personnage en quelques lignes (3 à 5 lignes)
De taille moyenne, Lauren a des cheveux châtains avec des yeux marrons. Elle a un physique banal, assez passe-partout. Sa stature, son attitude paraissent toujours froides.
Lauren sait faire preuve de patience et essaye toujours de faire des efforts. Mais elle est vite découragée, quand elle se sent sous pression ou sous compétition. Et elle fait preuve d’une grande méfiance à l’égard des autres.
Lauren a un gros problème de concentration, partant souvent dans ses rêveries et est un peu lunatique. Elle est tantôt très sensible et concernée et tantôt insensible, indifférente. Elle ne sait pas trop ce qu’elle veut vraiment. Elle est assez peureuse et peut réfléchir (un peu trop) longtemps à ce qu’elle va faire, et dont au final, elle ne fera rien. Mais elle peut parfois foncer tête baissée dans le tas, en pensant qu’elle en a marre de réfléchir trop longtemps. Ca lui brûle les neurones, paraît-il.
Lauren n’a pas vraiment de hobbies ou passion, elle passe son temps à rêver et imaginer des histoires sans queues ni têtes à longueur de temps. C’est une fille rêveuse, qui fait preuve d’une grande imagination.
Elle vit avec ses parents, Peter Williams et Agatha Williams, née Carter qui travaillent à Sainte-Mangouste comme médicomages, sa grand-mère maternelle, Yvonne Carter (qu’elle adore) et son frère aîné (qui n’en bouge pas une), Anthony.
Sa vie avant Poudlard est plutôt calme si on met Anthony de côté. Elle a toujours été proche de sa grand-mère. Elle en est un peu dépendante. Vu qu’Yvonne lui enseignant toujours tout à la maison, Lauren est toujours restée dans un « cocon » et n’a jamais vraiment eu de camarades, d’amis. Le peu de gens qui s’étaient approchés d’elle à la maternelle avait goûté à « ses petites catastrophes ».
6/ Comment ou par qui avez-vous connu le forum? Par google.
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