Présélection Elliot O'Malley

Quel est mon plus grand désir ?

Pour Ewana la réponse était évidente, elle a vécu toute son enfance entourer de moldus & celui-ci pouvait paraître quelques peu banal à quelqu’un pratiquant plus souvent la magie, néanmoins celui-ci lui tenait particulièrement a cœur.
Mon plus grand désir se serait de finir mes années au conservatoire en tant que pianiste & par la suite pouvoir devenir Pianiste, dans le monde mortel ou sorcier pour le moment je ne fais pas de différence pour moi la musik peut-être comprise par tous, sorcier ou moldus. J’ai commencé le piano alors que j’étais très jeune, en faite dès que j’ai pu toucher les pédales de mon premier piano & pouvoir poser mes mains sur le clavier j’ai commencé, depuis je continue. Avant les personnes plus âgées qui fréquentaient la même école de musique que moi disait que j’étais la petite blonde qui jouait du piano debout. J’étais toujours presser de jouer, des fois je ne prenais même plus le temps de m’assoir. Avant je n’avais pas de but précis à tout cela, aujourd’hui je veux vraiment en faire un métier, s’était un rêve lointain qui aujourd’hui se rapproche de plus en plus, année après année, mais cela reste un apprentissage long & complexe. Aujourd’hui je pleur, si l’on m’avoue subitement que demain je ne pourrais plus jouée de piano. J’ai passé beaucoup d’audition, je me souviens même de ma toute première j’avais joué une extrait du Matin d’Edvard Grieg, finalement je suis arrivé deuxième sur le coup je n’ai pas réalisé, je me suis demandé : Was It a dream ? Par chance & avec beaucoup de travail & de progrès j’ai très vite atteint le plus souvent les premières places dans les auditions, j’étais beaucoup demandé en t’en qu’accompagnatrice pour les violons ou flûte. On m’a alors proposé de faire quelque chose de plus congrès, j’avais huit ans, avec mes parents on m’a expliqué comment pouvoir faire de cette passion un partage, j’étais encore jeune & con & toute ses études me faisaient penser à L’infini.
Oh & puis il y a eu les premiers concerts, d’abord ceux de fin d’année, dans les coulisses s’était l’hystérie s’était vivre de beaux rêves les yeux ouverts, c’est alors que j’ai rencontré June elle aussi était passionné par le piano malheureusement celle-ci était gravement malade, je n’ai d’ailleurs jamais su de quoi elle souffrait, bien souvent elle me disait qu’elle avait un homme dans la bouche ; Aujourd’hui je comprend qu’elle parlais alors du Virus qui la dévorait jour après jour. Elle est décédé il y a 3ans après avoir été mis sous morphine pour soulager sa trop forte douleur. J’ai gardé de nombreuses photos d’elle & de moi, une fois par trimestre un photograph passait pour faire une photo de l’équipe. Un jour, après avoir longtemps observé, j’me suis mis dans la tête l’idée d’arrêter la piano pour me consacrer à la guitare, je voulais devenir une Rock Star j’ai vite fait d’arrêter, cette instruments ne me convenait pas, avec moi il ressemblait à l’acidité d’un Lemon.

Il y a deux ans j’ai reçu la lettre qui m’a annoncé que j’allais pouvoir participer à la fête de la musique. On attend toujours notre tour de passage & après on profite de la liberté on saute à travers les rues, on court, lors de ses soirées on s’était promis qu’un jour on ira jouer à New-York, oui parce que nous on « I Love New-York » On rêvait, On rêvait puis l’on rentrait tard pour finalement se lever seulement à 9h de l’après-midi.
Voila, s’est un peu près un grand morceau de ma vie, je l’ai passé entre cher moi & l’école de musique avec un piano sous le bras ^^ & j’espère que je vais pouvoir aller encore loin avec lui. Finalement je vais bientôt rentrer au conservatoire & on ne sera jamais allé à New-York, mais je pars n’empêche quelques temps cet été à Dakota aux Etats-Unis avec quelques personnes de la musique.

Spoiler:

Mon plus cher désir serait sûrement d’avoir un petit ami et voir l’effet que ça a sur la santé morale. Sur les hormones. Là, il est question des hormones femelles qui se trouvent essentiellement dans le corps et qui se cachent dans la tête ou dans les zones zeterogénes de la femme. Il est en revanche une créature moins connue appelée hormone mâle. J’ai toujours soupçonné l’un des élèves de l’être sans le savoir. Elliot o’Malley…

Il serait amusant de faire une description de cet Elliot qui nous intéresse tant… Il y a plusieurs possibilités quand à sa vraie nature. Soit il s’agit d’une hormone déguisé sous un costume d’homme, ou soit c’est seulement un garçon dont les hormones ont pris la totalité de son contrôle, mais il revient quand même assez difficile de faire son portrait… Mais essayons quand même.

Appelons notre créature, l’Elliotinaus, car ce n’est qu’une description de l’élève Elliot O’Malley.

Il est originaire d’Irlande, mais est capable de voyager parfois en se déplaçant par les moyens moldus, de ce fait, il est très difficile de le repérer. Le transplanage et le balai lui permettent de se trouver n’importe où, n’importe quand. Il est repérable à la horde de filles dégénérées qui lui courent après façon groupie. Ce qui est étonnant car même s’il est poursuivi par beaucoup de filles, il fera tout pour rester avec d’autres. L’Elliotinaus n’aime pas les filles qui lui courent après, ils n’aiment que celle qui ne courent pas. Après lui, oui c’est ça, après lui…

L’Elliotinaus est une créature qui aime transpirer à grosses gouttes, pendant qu’il travaille son corps, qui doit être irréprochable, vulgairement appelé aussi, masse de muscles. Et piége à filles ou Barbe à papa à l’usage exclusif des filles. Il aime aussi, mais cela n’est dit dans aucun livre, être aspergé de baves par une fille, ou être embrassé par une multitude de filles, à tel point qu’il croulera sous leur nombre…

Si jamais on venait à devoir capturer cette créature, pour l’attirer, il suffirait de se munir d’un cor jouant l’air de l’hymne d’Irlande, ce qui ferait rappliquer notre créature à la seconde. Pour le faire aller dans une cage, remplissez la de sous vêtements féminins afin que la créature aille s’y loger, car c’est bien connu, les hormones masculines sont attirés par les hormones féminines, alors que les hormones féminines ne font que tenter de fuir…

Pour finir, il est malheureusement pour moi, nécessaire de mettre beaucoup de personnes en garde contre ce genre d’hormones, qui n’a de cesse de nous suivre, brisant ainsi, et par exemple, la tranquillité d’un bouquin qu’on était en train de lire, la balle rouge qu’on s’amusait à s’envoyer innocemment, ou une petite course en balais…

C’est pourquoi il est nécessaire de capturer l’Elliotinaus, et ce, au plus vite, afin de pouvoir vivre plus tranquille, entre nous les filles, et je rappelle à toutes les groupies, que si elles veulent le garder en cage pour leur consommation personnelle, c’est deux biéreauxbeurres et trois câlins minimums avant qu’il aille se coucher…